L'Aveu

de trente ans. Cela donne une impression de sincérité totale envers le lecteur. Le lien de sincérité entre l’auteur et le lecteur prend également en compte l’horizon d’attente propre à un récit autobiographique : en effet, le public de 1926 attend l’aveu honteux que l’auteur doit dévoiler. La narration au présent offre donc au lecteur la sensation de vivre les événements en temps réel et accentue la tension d’une confession qui tarde à venir. La déclaration de Georges May confirme ce point de vue

rapport avec le public en essayant de jouer sur ses émotionsv.25-33Éléments « mais, s’il le faut » introduisant des nuancesAbondance de la P1 dans la première partie de l’aveu ≠ utilisation du « on », « chacun »Ch lex justice > argument de valeurHyperboles et les effets de retardements (rejet « le Berger », « force moutons »)L’aveu, la confession de son péchéSouligne une certaine hypocrisie de la part du LionLion se met en scène, insiste sur sa personne, mais au moment de condamner il inclut le public

:Phèdre, épuisée par des années de souffrance n'est plus, selon les mots de Théramène (v.44), qu'«Une femme mourante et qui cherche à mourir». 1.L'aveu longtemps retenu : Oenone, désespérée, aconjuré sa maîtresse de lui révéler le mal secret qui la ronge et les raisons qu'elle a de souhaiter quitter la vie. Phèdre se laisse entraîner peu à peu à l'aveu de son amour pour Hyppolyte. Cet... [à continuer]

beaucoup par leur prolongement. Ainsi l’aveu devient un secret et l’écriture épouse l’inquiétude des protagonistes par le recours au style indirect libre : elle ne savait que penser etc. 3° Une tradition baroque : Elles lient les points de vues sur une même aventure et permet de rendre comte des états des âmes. De plus elle se résorbe fréquemment dans une conversation. L’aventure devient une histoire comme M Nemours qui en fait une à propos de l’aveu. En devenant des histoires les av. échappent

progression de l'aveu 2. Un aveu menant à la folie Extrait du document: En plus de cela, Phèdre évoque son amour envers Thésée, fait une description de son mari sous forme d'une énumération (nombreuses virgules), utilisant plusieurs hyperboles, ne retenant que les points positifs, avec aussi un procédé d'amplification (v.638-639 : « Mais fidèle, mais fier (…) traînant tous les cœurs après soi)à jusqu'au moment où elle le compare avec Hippolyte, se rapprochant encore plus de l'aveu : « Tel qu'on

d’oral 3 : II, 5, v. 634-662, p. 56-58. • Lexique des noms propres, p. 185-188. • Éventuellement, exposé d’élèves sur le personnage de Thésée dans la mythologie. • Étude des vers 634-662 de la scène 5 de l’acte II. • « Vers le • Lecture en classe de l’aveu de Phèdre à commentaire », p. 141. sa nourrice (I, 3, v. 269-316). • Corpus d’écrit 2 (p. 164- Comparaison avec le texte d’oral 3. 167). Synthèse sur les caractéristiques de l’amour de Phèdre. • Réponse en classe aux questions du sujet « Vers le commentaire

Problématiques : Comment à travers un aveu paradoxale et pathétique, Mme de Lafayette montre-t-elle la difficulté de s’émanciper des règles de la société et de la raison ? I/ L’aveu d’un amour impossible a) L’aveu indirect des sentiments - l. 4 à 7 – peurs - Jalousie l.19-20, amour mais peur, utilisation du présent pour l’amour. b) Le refus de l’amour ou un aveu paradoxale - En même temps aveu et ruptures. L.41 « éternel » mais L.42 « Adieu » - L.27 : elle se montre forte puis refuse

ridendo mores), repris des thèmes mythologiques. Pourquoi Phèdre déclare-t-elle ainsi sa flemme ? 1 Une déclaration paradoxale a une tirade labyrinthique Il s’agit la d’un inceste tout de même l’aveu est donc monstrueuxè au bout du labyrinthe il y a un monstre. b L’alexandrin au service de l’aveu Pour exprimer la folie Racine va passer par une forme régulière (ex vers 18) ???? 2 La réécriture de l’histoire a Mythologie revisitée Cela permet une héroïsation de la figure masculine. Un reproche

ACTE I , SCENE 3 - Très grande intimité entre Phèdre et Oenone. Oenone est à genoux : « Par vos faibles genoux que je tiens embrassés » -> marque de respect. - Pour obtenir l'aveu de Phèdre, Oenone utilise : - l'affection : « Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés » - le questionnement :« Que faites-vous, madame ? », « Aimez-vous ? » - les ordres (injonctions) : « Délivrez mon esprit de ce funeste doute » «oublions-les, madame ». - les reproches : -par rapport à ce qu'elle

Hyppolite. C’est donc un amour impossible et criminel puisque incestueux. Au début de la pièce le personnage veut mourir, sa nourrisse et confidente, la presse d’en avouer les raisons. *Hymen : Mariage *feux : amour Pour la dissertat° de mercredi : l’aveu de Phèdre (vers 269 à 316) révèle une passion tragique . En quoi ? .D’abord par l’expression de l’amour le coup de foudre et ses conséquences sont exprimés la perte de contrôle et ses effets contrastés se manifestent notamment par