L'Aveu

cache un drame profond qui affecte autant le détective que la coupable. Plan : I. L'éloge funèbre et la relique 1) les regards et le portrait 2) les attitudes face au portrait II. Le détective et la coupable 1) un douloureux secret 2) l'aveu tacite Conclusion : Au beau milieu d'un moment familial, Pierre est donc parvenu à déstabiliser sa mère en lui faisant comprendre qu'il n'était pas dupe de ses cachotteries. L'évocation du vieil ami donne lieu à une scène chargée de double

interrogé sur ses intentions, ils les énonces donc clairement (vers 1 à7). Cependant, Théramène, lui, le pousse peu à peu dans ses retranchements en lui posant de nombreuses et incessantes questions (vers 8, 16, 32, 43 à 44, 52 à 55, 57 à 65...). L’aveu se fait alors par étapes. Ce sont les méprises de Théramène qui le rendent possible. En effet, croyant qu’Hippolyte par à la recherche de son père il lui démontre que Thésée est introuvable en lui contant sa propre quête (vers 8 à 21), puis croyant

humaine. René Pommier, Etudes sur la princesse de Clèves, avant-propos, site de René Pommier. Dans le roman « La Princesse de Clèves », Madame de Lafayette met en scène un épisode qui a pu paraître invraisemblable à l’époque. Il s’agit bien entendu de l’aveu de Madame de Clèves à son mari, et cette scène centrale est censée manifester la bonne foi désespérée de la Princesse, dont la vertu et l’authenticité détonent par rapport à la cour d’Henri II, hypocrite et sournoise. En effet, Madame de Clèves semble

Elle se dénonce brutalement avec l'accusatif "c'est moi" -Groupe Nominal avec attribut du sujet « moments chers » et allitérations M ; assonances O-EN- = l’ultimatum, la fin de la tragédie (suicide)-Impératif = attirer attention de Thésée, urgence de l’aveu : allitération T, assonance forte en É comme un

cas de doute le juger peut nommer des expertises. L’AVEU L’aveu est régi par l’art. 1354 à 1366. Judiciaire et extrajudiciaire L’aveu judiciaire est fait par une déclaration en justice, devant le juge. Ce qui est rare. Selon le Code civil, l’aveu judiciaire a une valeur probatoire remarquable. Il est toujours recevable et fait pleine foi c'est à dire qu’il doit emporter la conviction du juge. Il ne peut être que convaincu. On dit que l’aveu est indivisible et doit porter sur des points de faits

présent d'énonciation. Correspondance, dialogue à distance (« oui » et « non » comme des réponses à des questions posées précédemment). Passé commun : idée de vie de couple. Lettre qui paraît théâtrale. b) L'aveu L'ouverture de la lettre sur le « oui » apparaît comme le mot de l'aveu. Le premier aveu concerne le crime conjugal (l'adultère) : vocabulaire de la tromperie et de la séduction. Présence de l'amant : périphrase « le seul homme qui me retenait à la vie » et superlatif « le seul »

Leurs sentiments sont révélés lorsque le duc dérobe un portrait de la princesse qui, s'en étant rendu compte, préfère le lui laisser. Mais elle décide alors de ne plus paraître à la cour, ce dont s'étonne le prince auquel elle est amenée à faire l'aveu de sa passion pour le duc qui, d'ailleurs, assiste, dissimulé, à cet entretien confidentiel. Le prince de Clèves en meurt, après avoir accablé la jeune femme de reproches qu'elle ne mérite pas, allant jusqu'à déplorer qu'elle se soit confiée à lui

II- L'évolution des deux personnages et leurs aveux 1. Evolution des sentiments: au début Silvia a de l'amertume et a la fin elle est soulagée. Et Dorante était troublé puis il est heureux. 2. Chemin vers l'aveu: Pour Dorante (question, les deux raisons pourquoi il part) Chemin de l'aveu pour Silvia ( elle lui donne tort, impose une épreuve. tirade: but Dorante, argument de l'oublie, expose ses craintes= dévoile ses sentiments) Conclusion: Cette scène permet de mieux comprendre le titre. Le

s'appesantissent [...] vous aimez, vous brûlez.» v.134). De la même façon, préfigurant les scènes d'aveu dramatique, Hippolyte se trouve ici confronté, comme Phèdre plus tard, à l'impossibilité de dire un amour pour lequel l'aveu est cependant une nécessité dramatique absolue. b) L'aveu impossible et pourtant nécessaire. L'organisation de la scène. Elle se construit sur un glissement successif et incohérent de raisons fournies par Hippolyte pour expliquer son départ de Trézène. - La première raison invoquée

Il semble submergé par une émotion incontrôlable qui se manifeste par de nombreuses négations. Il ne croit plus à un amour possible entre eux deux. On relève un effet de gradation ascendante dans le trouble du personnage. Il passe du doute total à l’aveu d’une adoration. Il est passé d’une extrême à l’autre. Dans ce passage, c’est encore Silvia qui a le beau rôle puisque, dès le retour de Dorante, elle a repris confiance en elle et a retrouvé la direction du jeu. II Le triomphe de Silvia Silvia