L'Art des bruits

fait que la Fontaine Stravinsky se présente comme une sorte de « monument synthèse des arts (musique, architecture, peinture, sculpture). Elle représente, dans le quartier Beaubourg, très ouvert à la culture et au tourisme, cette volonté d’amener l’art dans la ville et de le rendre accessible au plus grand nombre. Néanmoins, son environnement obligea ses constructeurs à trouver des solutions pour que la fontaine ne reste pas dans l’ombre de l’imposant Centre Georges Pompidou, car en effet, selon

de la musique. Ce lieu symbolise la liberté de la musique sans limite, sans règle et donc la musique qui peut-être innovante avec de nouvelles techniques et donc se développer. Alors que Versailles représente, au contraire, le monde, la foule, le bruit, un lieu qui paraît étouffant; pratiquer la musique dans ces conditions semble difficile. Cet endroit symbolise les limites, l’enfermement, les lois imposées à la musique et donc l’innovation impossible pour la musique, qui ‘bloque’ son développement

roulant des omnibus » : référence à la réalité prosaïque de la ville (« omnibus ») dominée par un bruit désagréable souligné par l'allitération en [r] – v. 26 « Traversant de Paris le fourmillant tableau » : les participes présents soulignent l'agitation de la ville moderne – Au total, un espace problématique qui hésite entre la réalité (connotée plutôt négativement : laideur, agitation/multitude, bruit, => cf. « omnibus ») et l'imaginaire (ville = univers fantastique avec l'image du labyrinthe et

fonctionnelles, avec le rêve qu’on veut y mettre, avec les symboles, avec l’usage qu’on en fera. » (p.43). Il dispose de cinq mois et demi pour rendre le projet au jury. De plus, le site : une colline de glaise, rend difficile la construction, ainsi que le bruit du périphérique et l’église qui ne peut pas être détruite. Dès lors, il est intéressant de constater comment l’architecte se démène pour rendre son projet cohérent. En effet, il montre une ténacité admirable malgré des moments désespérants où il doit

veste trop courte, sa moustache... Sa gestuelle : mouvements amples et répétitifs, déhanchement, sa marche rythmique et son déséquilibre constant. Ses grimaces. Par ailleurs il danse, chante et mime des personnages, cela s’appelle le pantomime. L'art du comique se situe dans l'assemblage du chant improbable et de la gestuelle familière et appuyée. 3. L'accompagnement de la musique. La musique est découpé en 6 strophes. Une longue introduction à l'orchestre associé à des bruitages

importante) 3) Fonctions du musée  Lieu où l’on expose, on se souvient, on travaille on inventorie, on obtient une culture de propagande. Le musée propose une organisation raisonnée des œuvres  le public doit comprendre l’évolution de l’histoire de l’art. C’est aussi un lieu de formation pour les artistes qui viennent copier. 4) Comment se constituent les collections Les collections royales= biens saisis aux émigrés et au clergé. Les dons= on se dit que le musée va protéger l’œuvre et en évite

de la CR Pure, il s'agit du temps et de l’espace ( pas dans le sens de Newton) mais comme des principes établis a priori à la connaissance de la nature. Par exemple, si on voit des phénomènes dans l’espace (boutique dans la rue) et dans le temps (bruit d’avion qui s'éloigne) c'est car nous les y mettons. ⇒ Par exemple, quand nous voyons une feuille verte spontanément, on croit que la couleur verte appartient à l’objet au même titre que sa forme et sa taille. Or il suffit de penser que les animaux

jardin : nature remodelée par l’homme, un jardin est forcement artificiel et c’est un art éphémère : du jour au lendemain une espèce de fleur peut faner … Jardin, garten et garden ont pour racine commune gardo du latin qui désigne un espace clos. L’art du jardin fait partie des arts de l’espace. Pour exercer cet art, il faut être architecte paysagiste. Comme tout art, il exprime la sensibilité d’une époque et peut selon la société avoir plusieurs fonctions : être un lieu religieux, de repos, de ressourcement

l’obscurantisme de faux savants qui s’en remettent aux « miracles » plutôt que de rechercher la vérité en adoptant une démarche rationnelle. Nous nous attacherons tout d’abord à l’art de convaincre dans cette « dissertation » à la structure rigoureuse puis à l’art de persuader à travers un apologue plaisant. I. L’art de convaincre : une « dissertation » à la structure rigoureuse. 1) L’exposé de la thèse : « Assurons-nous bien du fait avant que de nous inquiéter de la cause » = Fontenelle définit

soeur bonne et tendre, D'une soeur angélique au sourire discret: Soeur qui m'enseignera doucement le secret De prier comme il faut, d'espérer et d'attendre. J'ai ce désir très pur d'une soeur éternelle, D'une soeur d'amitié dans le règne de l'Art, Qui me saura veillant à ma lampe très tard Et qui me couvrira des cieux de sa prunelle; Qui me prendra les mains quelquefois dans les siennes Et me chuchotera d'immaculés conseils, Avec le charme ailé des voix musiciennes. Et pour qui je