L'Art des bruits

sa condition d’homme, sur sa faiblesse face à la fuite du temps. Le titre du poème s’explique : le lac retient les eaux fugitives, le poème, lui retient le temps et fixe pour l’éternité un moment de bonheur inoubliable. Lamartine montre ici que l’art est un moyen de lutter contre le temps qui passe et nous le constatons car aujourd’hui encore, nous lisons son poème et partageons avec lui son souvenir positif. Lamartine aimerait que le temps puisse s’arrêter pour les gens qui sont heureux. Comme

Dissertation ------------------------------------------------- _____________________________________________ On dit couramment « s'enfermer dans sa tour d'ivoire », surtout en parlant des artistes et des poètes, ce qui signifie se retirer loin des bruits du monde, dans un séjour idéal, au fond d'un abri mystérieux sculpté dans une matière rare, pour y savourer en paix les exquises douceurs de la rêverie et de l'étude. Cette expression a été appliquée, pour la première fois, par Sainte-Beuve, au délicat

subissons une communication à outrance et souvent exagérée, ou l’on communique souvent, beaucoup et parfois pour ne rien dire. Et paradoxalement on cantonne l’apprenti dans le silence. Comme des enfants auxquels le silence est imposé par punition. Le bruit est étroitement lié à la vie, les oiseaux qui chantent, le bébé qui pleure la ville qui se réveille.la vie est bruyante, mais lorsque la vie a peur elle se tait. Et pour ma part j’attache une part importante au silence. Surtout au silence maçonnique

indiscernables peuvent se sentir confusément jointes à d'autres. Il y a en nous des perceptions trop confuses pour qu'on en ait conscience. La conscience claire représente-t-elle tout le psychisme? Nature des petites perceptions : le bruit de la mer est l'accumulation des petits bruits des vagues ; une petite perception précède le vacarme qui nous réveille, une corde se rompt par l'accumulation de petits efforts. Signification psychologique et métaphysique des petites perceptions : dans la sensibilité, dans

............................................................................................................. 17 LE CAHIER DES CHARGES (C.D.C.)............................................................................................ 17 ETAT DE L’ART............................................................................................................................ 42 COMPTE-RENDU D’ACTIVITE ................................................................................................

I/ L'art du Portrait a) Portrait satirique d'un personnage égocentrique Omniprésence du personnage : le pronom "il" ouvre la plupart des phrases ; On déduit par son comportement qu'il ne voit que lui. Il ne se préoccupe que de lui-même : "ne connaît de maux que les siens ...n'appréhende que la sienne (de mort)". La succession de "que" est significative de son égocentrisme. Il utilise le superlatif pour désigner ses biens: " meilleur chambre, meilleur lit "

L'enlèvement des Sabines L'art d'aimer – Ovide – I siècle av JC I. Mot à mot Primus sollicitos fecisti Romule ludos | C'est toi qui le premier, Romulus, as jeté le trouble dans les jeux, | Cum juvit viduos rapta Sabina viros. | lorsque l'enlèvement des Sabines fit le bonheur de tes hommes, privés de femmes. | Tunc necque marmoreo pendebant vela theatro | Alors un voile ne couvrait pas un théâtre de marbre | Nec fuerant liquido pulpita rubra croco | et la

simplifie la cause des évènements. Le chapitre 1 s’ouvre sur le portrait de Zadig qui tend vers un moralisme didactique. Ce texte est ainsi un conte, qui exprime une satire des mentalités. Nous verrons enfin les thèmes voltairiens. I L’art du conte 1. Une fiction exotique Tout d’abord, le conte fournit un masque à la critique portée par Voltaire. Nous sommes en présence d’une fiction exotique. On peut relever la formule introductrice : - « il y avait », propre au conte,

le titre. Dans la ville, les autres sont des passants anonymes, les destins de croisent mais ne se réunissent jamais. Au premier vers, on voit un chiasme « rue/hurlait » qui accentue le bruit citadin. I. Le récit d’une anecdote 1) Le cadre de la rencontre La rencontre se passe au milieu de la ville = BRUITS. C’est exactement le contraire du poème « Paysage » = silence. Le poète est représenté par « moi » poète au centre du chiasme sonore. La ville est personnifiée : le verbe « hurler » et

le maïs), mais aussi par les bruits de la nuit. Aucune musique n’accompagne cette scène. L’angoisse monte donc naturellement. On adopte ainsi le point de vue de Graham que l’on va suivre durant les plans qui viennent. Les plans suivants montrent Graham progresser à travers le champ de maïs en mêlant un travelling arrière assez serré sur lui et sa lampe, et en contrechamp, une caméra suggestive pour se mettre à sa place. L’inquiétude est à son paroxysme car les bruits du chien se sont tus, ne laissant