L'Amant

rencontres. Georges jaloux de son épouse à laquelle le député Laroche-Mathieu fait une cour assidue, entreprend de séduire Virginie Walter (l’épouse de son directeur) et entame un liaison avec elle. Le comte de Vaudrec dont Georges comprend qu’il a été l’amant de Madeleine décède et laisse sa fortune à celle-ci. Georges son mari en récupère la moitié tant par cupidité que pour éviter le scandale. Mathilde comprend la liaison entre Georges et Virginie (qui plus est facilitée par l’appartement qu’elle

dernier, après avoir joué l'amant dévoué, essaie dans une vaine et dernière tentative de ''raisonner'' Araminte en la manipulant en lui mentant: « elle n'est point entrée ». On constate donc dans cette fin de scène la présence de la dualité, une double apparence dans l'attitude des deux protagonistes: chez Araminte, la femme sensible s'oppose à la femme cruelle qui n'hésite pas un seul instant à exclure l'amour pour garder son honneur et sa dignité. Chez Dorante, l'amant romanesque est lui opposé

ses vertus sont célébrées et c'est grâce à l'écriture qu'elle atteint une forme d'éternité. On voit donc bien qu'un lien étroit se tisse entre d'une part l'amour porté par l'amant à sa dame, amour soumis à caution par le temps qui passe et qui érode la relation. Et d'autre part le dessein artistique, celui du poète et non de l'amant, qui prend la relation amoureuse pour sujet de sa création poétique. Dès le poème liminaire, il semble que ce projet poétique soit bien défini par Maurice Scève et ce poème

bénit « votre nom de louange immortelle » : remise en scène + la gloire de la dame célébrée par le poète. Ceci montre une vassalité du poète se situant dans le passé : bénissant Hélène : dans laquelle nous avons pu reconnaître Hélène de Surgères. L’amant pétrarquiste fait l’éloge de la femme aimée mais ici nous pourrions noter le sens ironique de l’adjectif « immortelle ». En effet, le sizain est en rupture totale avec l’huitain en présentant un nouveau tableau, sinistre celui-ci, vision prophétique

puisse passer ainsi de mains en mains jusqu’à la mort ? »  Lucienne est fidèle, mais rancunière :Métaphore :« Je suis de l’école de Francillon » Alcème prône la fidélité absolue. Elle a une conception idéalisée de l’amour.Anaphores : « Parce que l’amant est toujours plus près de l’amour que de l’aimée. Parce que je ne supporte ma joie que sans limites, mon plaisir que sans réticence, mon abandon que sans bornes. Parce que je ne veux pas d’esclave et que je ne veux pas de maître. Parce qu’il est mal

de style sont d'autant plus utiles car elles amènent la morale petit à petit cela met du supsense, ça embelli la fable. Et enfin la morale : La Fontaine y a aussi touché. En plus de ce qu'a dit « Phèdre » il ajoute que « l'Amant » est comme « le Maître » : il voit tout. « l'Amant » n'est autre que Dieu qui aime ses enfants, les hommes. Dieu voit tout de ses enfants ce qui signifie que l'on ne peut rien lui cacher qu'il faut penser à son âme, au salut de son âme. Tout ces procédés sont ceux que La

lui dit que le chapeau lui va bien, très bien même, que c'est ... originalIls deviendront amants, malgré toutes les différences qui les séparent. Le père de l’amant est un banquier autoritaire a dors et déjà arrangé le mariage de son fils à une jeune Chinoise. La mère de la narratrice, pauvre et raciste, veut profiter de la générosité de l’amant de sa fille. Celle-ci doit un jour repartir pour la France : elle reste sur le pont du navire qui l’emmène pour voir son amant, resté sur le quai. Plusieurs

personne. C'est un misanthrope qui ne reçoit pas compagnie , qui ne donne a manger a personne. Dans sa pièce, Molière place un personnage qui est l'amant chagrin et aussi le rapport entre la haine des hommes et l'amour pour la femme. C'est donc de sa , qu'est né le personnage d'Alceste. 1- Analyse des personnages : ALCESTE : C'est l'amant de Célimène. Il prétend se comporter sans hypocrisie . Il déclare : « je hais tous les hommes/Les uns , parce qu'ils sont méchants et malfaisants/Et

la pariade qui " unit ", sur le pont du négrier, les femmes noires aux marins, Tituba est, dès ses premiers instants, un enfant de la douleur car sa mère Abena lui porte peu d’affection ; elle trouve cependant chaleur et réconfort auprès de Yao, l’amant d’Abena. Mais Abena est pendue, pour avoir blessé le maître blanc qui tentait de la forcer, et Yao se suicide. Tituba est alors recueillie par Man Yaya, une vieille femme qui l’initie aux secrets de la guérison par les plantes et lui apprend à entrer

rôle de ce monologue dans le déroulement général de la pièce pourra fournir une autre clé de lecture : en effet, Arnolphe, qui entendait obtenir la main d’Agnès par la manipulation, endosse ici le rôle de l’amant douloureusement refoulé, et en exprime les sentiments typiques – le monologue de l’amant refoulé est en effet un lieu commun du théâtre - : on comprend alors la valeur ironique de ce passage, puisqu’Arnolphe, qui, dans toutes les scènes précédentes, s’est révélé comme un manipulateur sans sentiments