L'Amant

système féodal de l’époque : la Dame occupe la place du seigneur ou suzerain, et l’amant, nécessairement de rang inférieur, se soumet à ses volontés et lui prouve son amour au moyen de différentes prouesses chevaleresques ; il ne va donc pas sans dire que le courant courtois offre une nouvelle conception de la femme. Mais il existe également d’autres épreuves visant à démontrer la soumission et l’amour parfait de l’amant ; l’épreuve suprême consiste à passer la nuit chastement dans le lit de la Dame

Dieu! Je promets à Dieu dont l'appui me délaisse - puis vers la Madone,( une autre reine) Secourez-moi, madame! Vierge, astre de la mer !Vierge, espoir du martyr! Aidez-moi! Ô, reine de douceur! Venez, je vous appelle! Romanesque : idéalisation de l'amant Sans rien me demander, sans rien espérer même Sans compter les périls où tu cours Toi qui verses ton sang, toi qui risques tes jours. Un ange Un homme qui m'aime Désespérée :elle pense à la douleur et à la mort cette main sanglante blessé une goutte

la dentelle (en guise de talisman)/ la blessure. B – Le mystérieux chevalier servant La prosopopée La lettre La reine semble intriguée par ce mystérieux inconnu, prêt à se blesser par amour pour elle => idéalisation. L’amant apparaît comme un héros (sang, …).L’amant généreux, romanesque, se dévalorise (« ver de terre ») et prêt à tout donner à la reine sans rien en échange. II – La reine amoureuse Le long monologue permet un épanchement de confidences de la reine. Scène très lyrique A

s’agit donc d’un sonnet amoureux écrit en décasyllabe, une forme très utilisé au XVI. Celui-ci est écrit par une femme ce qui bouleverse les topoï établis par une littérature majoritairement masculine. Ainsi, Louise Labé, que l’on peut supposer être l’amante ici représentée, utilise un «je» lyrique grâce auquel elle exprime le désordre de son âme provoqué par l’Amour. Les quatrains décrivent la contradiction des sentiments amoureux alors que les tercets en donnent une explication. Ce sonnet mélange tous

dans le milieu du journalisme. La première femme qu'il connaît est Rachel, une prostituée qui travaille aux Folies-Bergères. Il devient ensuite l'amant d'une amie de Forestier, Madame de Marelle. Après la mort de Forestier, Georges Duroy épouse Madeleine, la femme de Forestier, et prend ainsi la place de ce dernier à "La Vie Française". Il devient alors l'amant de madame Virginie Walter, la femme du propriétaire du journal. Il finit par surprendre sa femme en flagrant délit d'adultère et divorce donc

Barrage Contre Le Pacifique. Air de Ramona La musique est très présente dans l’œuvre de M. Duras. Dans son roman Moderato Cantabile 1958, le thème de la musique apparait avec les leçons de piano données à un enfant. Dans l’Amant, le mère se met au piano et chante. Une fugue de J.S Bach à la fin de Détruire Dit Elle 1969. M. Duras dit que son écriture se situe « entre la musique et le silence ». Dans l’extrait choisi, il s’agit de Ramona, une de ces chansons des années 1930 qui s’écoutait

pleure départ d’Annie Playden pour l’Angleterre - plainte amoureuse avec répétition “Mon coeur me fait si mal” + insistance avec adverbe d’intensité - plainte associée au départ de l’amant + hiatus “où il” qui illustre douleur - champ lexical de la mort - amour et mort reliés à la fin (comme Narcisse + quand voit l’amant = mort) Critères Remarques E4 Produire un texte long Organisation de l’introduction et du paragraphe /5 (étapes respectées, ) Clarté du propos (idées annoncées, connecteurs logiques…)

tués le mari gênant. L’histoire est inspirée par le fait divers « La Vénus de Gordes », où il y a également un mari gênant, la femme et un amant, où la femme tombe amoureuse de l’amant et ils tuent ensemble le mari. Mais la différence entre la nouvelle de Zola et le fait divers est que dans la nouvelle, la femme et l’amant ne sont pas poursuivis par la justice. L’histoire parle de deux amants qui ont tués le mari gênant pour s’aimer en liberté, mais qui ne le purent pas. Malgré ne pas

M. de Nemours. Scène de voyeurisme qui évoque le clos verger du roman courtois, le conte de fée (Peau d’Ane), l’épisode biblique de Suzanne au bain ou encore le mythe d’Actéon. Problématique : Comment Mme de La Fayette réécrit-elle ce topos ? – l’amant qui contemple à la dérobée l’objet de ses vœux ? Par quels moyens narratifs fait-elle de cet instant une scène à la fois romanesque et poétique où la princesse avoue sa passion ? I. Réécriture d’un topos romanesque et poétique 1. Scène capitale A

Ici, l'acte en lui-même n'est pas tellement scandaleux. A) le mari : un rival En temps normal, le mari est celui qui se plaint de l'amant. Dans ce passage, c'est l'amant qui se plaint du mari. En effet, le narrateur est jaloux de lui, il le maudit et souhaite sa mort, puique "il avait avant [lui] eveiller son corps" Le mari devient alors l'adultère et l'amant légitime, cela créé une invertion des rôles. Le narrateur ne considère d'ailleu pas son action q=comme un crime, il se justifie par