L'Amant

mort » montre qu’il adore sa femme et non pas dieu ce qui, une fois de plus, est un péché En définitive c’est le mari qui est le premier pécheur 2) Le châtiment de la femme -Horreur du châtiment : les plaisirs sont substitués en cruauté : l’amant devient un verre, « la tête toute tondue »  (allitération en [t] pour souligner la cruauté + squelette = pierre précieuses) -Il y a substitution de la vie et de la mort : boire et manger sont désormais associés à la mort, -A cause

empêcher Sosie d’entrer. Il lui prouve qu’il n’est pas Sosie. Mercure ne se prive pas pour rouer Sosie de coups. Scène entre Jupiter et Alcmène. Celle-ci pense avoir passé la nuit avec Amphitryon. Jupiter, dans ses adieux, lui demande de penser plus à l’amant qu’à l’époux. Dispute entre Cléanthis et Mercure (qui a l’apparence de Sosie) car celui-ci ne lui dit plus de belles paroles. Il lui répond qu’elle n'a qu’à se trouver un galant mais elle est trop honnête femme. Acte II : Sosie tente vainement

dans ce lit qui est tâché de sang, le bruitage de la naissance rend cet événement des plus réalistes. Suite à cette naissance, Emma se lasse de cette routine avec son époux et rencontre un homme qui lui fit rapidement tourner la tête. Lorsque l’amant d’Emma lui rend visite à sa fenêtre, le jardin est représenté à l’aide de quelques arbustes. Une fenêtre, derrière laquelle Emma se tient, fait comprendre au public que cette dernière attend son amant et le guette par la fenêtre de sa chambre. A l’aide

femme qu'il connaît est Rachel, une fille de joie qui travaille aux Folies-Bergères une salle de music-hall parisienne. Il devient ensuite l'amant d'une amie de Mme Forestier, Madame de Marelle. Après la mort de Forestier, Georges Duroy épouse Madeleine, la femme de Forestier, et prend ainsi la place de ce dernier à la Vie française. Il devient alors l'amant de madame Virginie Walter, la femme de M Walter, propriétaire du journal. Il finit par surprendre sa femme en flagrant délit d'adultère et divorce

qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison Nucingen). Il devient banquier dans le Bal de Sceaux. Fréquentant les meilleurs salons (le Cabinet des Antiques), il est très

femme, Marie-Christine et celui de l’amant de sa femme puis plus tard de celui de Paula Delbeque et de Louison. Il est donc recherché par la police, il se cache dans son agence pendant que Barbara, secrètement amoureuse de lui, mène son enquête. Ils la finissent ensemble en faisant arrêter Julien car c’est la seule façon d’être sûr que la personne qu’ils suspectent est réelement le meurtier. Le véritable meurtrier est Maître Clément l’avocat de Julien qui a été l’amant de Marie-Christine et été toujours

référer à l’iconographie et à la sémiologie, de chercher un groupe de texte ou de poèmes incluant le chien dans le discours amoureux, mais cela ne « fonctionne » pas. Certains poèmes hollandais font mention du chien, il serait une personnification de l’amant domestiqué par la femme, mais cette explication ne pourrait convenir au mieux qu’à la femme devant un miroir de Mieris. Il faut donc se référer à la peinture, et écouter ce qu’elle a à raconter ; c’est la théorie qui doit s’adapter à l’image et

dans les tercets. Les hyperboles traduisent le sentiment de l’absolu et servent de transition au thème de la mort. Ce poème est aussi un moyen de s’exprimer : on remarque une prédominance du « moi » dans le poème. L’amant est totalement effacé et seul compte les sentiments que l’amante éprouve. Les nombreuses figures de style utilisés dans ce poème m’ont beaucoup plu, je l’ai trouvé très riche aussi bien dans le vocabulaire utilisé que dans le thème abordé. La poésie est un genre à par entière

J’ai choisi de lire un incontournable du théâtre « classique » en vers, Le Cid, écrit par Corneille en 1637. Ce titre « Le Cid » est mot définit à l’acte IV, scène 3 comme étant un titre honorifique équivalent à celui de seigneur. Don Rodrigue, l’amant de Chimène, est nommé ainsi par les deux rois Mores qu’il a fait captifs. Cette pièce, dans sa première édition était une tragi-comédie : c’est-à-dire une tragédie dont la fin est heureuse. Cependant, Corneille l’a modifié pour qu’elle soit prise

triomphe hors compétition à Cannes. C’est le seul film de l’écrivain à obtenir un succès commercial. 1984 L’Amant obtient le prix Goncourt en France, le prix RitzParis-Hemingway aux États-Unis et est traduit dans plus de quarante langues. Ce succès littéraire mondial conduit le réalisateur Jean-Jacques Annaud à porter le roman à l’écran en 1992 mais l’adaptation déçoit l’auteur, qui publie alors L’Amant de la Chine du Nord, sur la trame narrative duquel une œuvre filmique aurait pu s’élever.