L'Amant

retraite de sa femme pense qu'elle cache quelque chose, et la pousse à parler. Cet aveu se fait devant le Duc de Nemours qui, caché, épie le couple. D'emblée, cet aveu s'avère donc problématique, puisqu'il est forcé et que la parole est déviée par l'amant caché. Il ne peut donc être source de liberté et de vérité. Lecture. Composition: Notre passage se déroule en trois temps. Dans le premier paragraphe, la princesse de Clèves avoue une passion adultère et supplie son époux de la protéger d'elle-même

terre inculte, perpétuellement inondée, ne donne rien, et Marie, ruinée, doit reprendre l’enseignement. Cette expérience marquera profondément Marguerite[4] et va lui inspirer nombre d'images fortes de son œuvre (Un barrage contre le Pacifique, L'Amant, L'Amant de la Chine du Nord, L'Éden Cinéma). En 1930, elle entre en pension au lycée Chasseloup Laubat de Saïgon, pour suivre ses études secondaires. Son baccalauréat de philosophie acquis, Marguerite quitte l’Indochine en 1931, et poursuit ses études

 Séance 9 : Marguerite Duras, L’Amant, 1984, la scène de première rencontre « L’homme élégant est descendu de la limousine […] en direction de Saignon » Introduction Le texte se situe lors de la traversée du Mékong. La jeune fille se trouve dans un bac qui traverse le fleuve, sur la route qui va de Sadec à Saignon et rencontre l’amant : figure à la fois énigmatique qui met dès lors une tension entre le contexte historique : celui de la colonisation française en Indochine et le désir amoureux des

repart car Deslauriers a besoin de lui. Retrouvailles joyeuses. Deslauriers ne viendra pas de suite à Paris, il n’a pas les moyens. Deux caractères très différents. Deslauriers dit à Frédéric de s’introduire dans la famille Dambreuse quitte à devenir l’amant de Mme. Frédéric en oublie presque Mme Arnoux dont il n’a pas parlé. Sa mère n’aime pas Deslauriers. Il espère une invitation chez les Dambreuse qui ne viendra pas. Son amour pour Mme Arnoux est toujours là. Ennui total et désintéressement des cours

comtesse Anastasie de Restaud : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie des dettes avec ses économies et l’argent de son père. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. Elle aura des problèmes avec son mari Delphine de Nucingen, ex-roturière, est la fille cadette du père Goriot, femme du baron de Nucingen depuis 1808. Delphine est, au début de l'histoire, la maitresse de Marsay. Delphine

caché, épie le couple. D'emblée, cet aveu s'avère donc problématique, puisque il va à l’encontre des valeurs de la cour où tout est toujours lisse : l’aveu de la princesse de Clèves n’est en effet pas tout à fait confidentiel puisqu’il est dévié par l'amant caché. Il ne peut donc au final, être source de soulagement et de liberté. Tout d’abord on remarque que cette scène se présente comme une scène de théâtre où les deux personnages se répartissent le temps de paroles et où chacun adopte des postures

dernière n'est fidèle à son mari non pas par amour mais davantage par une sorte de conséquence de son mariage. B- Une conception de l'amour peu morale - l 24 « Tandis que pour l’amant c’est l’au-delà. Il faut la flamme ! C’est l’artiste de l’amour. », Métaphore, pour Pontagnac, il s'agit d'assouvir son désir, éloge de l’amant et de la relation passionnelle. -l 22 « Qu’est-ce que ça prouve le rôle du mari », question rhétorique, l 23 « on ne demande des aptitudes que comme pour être employé

le roman retranscrit la vie de cet homme de ses études à la faculté de médecines, à ses journées qu’il passe seul, aux tentatives de meurtre, jusqu'à son procès. Pour finir, le roman place le lecteur dans un trio amoureux avec la femme Florence, l’amante Caroline et le mari qui va tuer sa femme et essayer de tuer son amante. De plus, a travers ce livre, Emmanuel Carrère dresse le portrait moral de Jean-Claude Romand qui apparait à la fois comme une personne cruelle pour avoir commis plusieurs meurtres

Maître », se référant à Jésus. Il s’est épris d’une jeune femme, la fille aînée du bailli du prince, qui dans la réalité se nomme Heinrich Adam Buff. On peut voir que dès que l’amant de Charlotte arrive, Werther tombe dans une mélancolie intense, dans une dépression profonde. Il débat au sujet du suicide avec Albert, l’amant, en faisant son apologie. Le rêve est devenu cauchemar, un cauchemar de néant, dans lequel la nature n’a plus vraiment la même importance. Il n’arrive plus à peindre, il n’a plus

celui ci. - Dans le texte B : La jalousie du mari d’Albertine, entraine la souffrance de celui ci, qui ne cesse de revenir vers elle, alors qu’il a l’impression qu’elle n’est rien pour lui, et vice versa. - Dans le dernier texte, le texte C, l’amant de la femme nommée Ariane, se lasse de leur relation. Il veut agir en bonne amant, mais se sent seul, isolé, car il ne vit qu’avec elle, que pour elle. Il souffre de cette solitude, malgré leur amour. Ex : nombreuses répétitions, et « et il