Question de corpus
Texte A : Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III, 1834.
Texte B : Marcel Proust, La Prisonnière, 1923.
Texte C : Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre LXXXVII, 1968.
Question de corpus :
Chaque texte montre une vision assez pessimiste de l’amour.
1 ) La souffrance que l’amour procure tout d’abord
- Dans le premier texte, le A, un amour dont on ne sait pas vraiment la réciprocité, mais on distingue bien que la duchesse refuse d’aller plus loin avec son « amant », ce qui entraine la souffrance de celui ci.
- Dans le texte B : La jalousie du mari d’Albertine, entraine la souffrance de celui ci, qui ne cesse de revenir vers elle, alors qu’il a l’impression qu’elle n’est rien pour lui, et vice versa.
- Dans le dernier texte, le texte C, l’amant de la femme nommée Ariane, se lasse de leur relation. Il veut agir en bonne amant, mais se sent seul, isolé, car il ne vit qu’avec elle, que pour elle. Il souffre de cette solitude, malgré leur amour. Ex : nombreuses répétitions, et « et il fallait parler, trouver de nouveaux sujets, et il n’y en avait plus. » ( répétition de « et » 2 fois, ce qui peut renforcer l’idée d’ennuie du lecteur . Les derniers mots nous montre aussi un sentiment du personnages, qui peut paraître un peu désespéré et ennuyé de son quotidien. La routine s’installe.
2 ) L’impossibilité d’un amour éternel, malgré certaines stratégies
- Les textes B et C montre que l’amour éternel est impossible. Ex : ( « lui procurer l’illusion de ce bonheur » texte B ( « faisait de son mieux pour conserver ce climat de passion » texte 3 ( Dans le texte 1, l’amour est impossible pour l’amant
- Différentes stratégies peuvent pourtant tenter de changer le cours de l’amour
Ex : è L’amour comparé à « un jeu d’échec » dans le texte