Keynésiens Et Monétaristes

C'est la "formule quantitative de la monnaie ". L'inflation, pour cette école, est un phénomène purement monétaire qui vient d'un trop plein de monnaie mis en circulation (offre de monnaie trop importante de la banque centrale). La théorie keynésienne résulte d'une longue critique de la théorie classique par son père Keynes et ses proches, les post-cambridgiens. En réalité, La monnaie est désirable pour elle-même, en effet les agents désirent et veulent de la monnaie, on parle de demande d'encaisse

comprendre ces phénomènes ou interdépendances économiques. La théorie économique permet aussi de placer les différents problèmes économiques dans des cadres de problématique différente, par exemple : l’analyse de la crise aujourd’hui avec la théorie keynésienne des années 30. La théorie économique nous donne des outils d’analyse ayant une portée générale. L’analyse théorique peut utiliser différentes méthodes, elle peut partir des faits. Ou utiliser une démarche logique (la microéconomie). Elle peut

et la France connaît la période mythique des Trente Glorieuses. Cependant, dans les années 70, les politiques keynésiennes s’avèrent inefficaces pour la reprise de l’économie après le premier choc pétrolier. En réaction à cela un renouveau libéral voit le jour avec deux économistes fondamentaux, Friedrich Von HAYEK de l’école autrichienne et Milton FRIEDMAN, chef de file des monétaristes. Ainsi, les années 70 permettent à HAYEK de connaître une certaine consécration, une revanche par rapport à 1936

2.1. L’épargne des ménages TP pages 84, 85 Activité 1 L’épargne est l’excédent de revenu par rapport à la dépense de consommation. La définition est la même chez Keynes et dans la comptabilité nationale ce qui montre l’inspiration Keynésienne de la comptabilité nationale. L’épargne nationale est la somme de l’épargne des différents secteurs institutionnels. Cependant on privilégie l’étude de l’épargne des ménages car ceux si ont structurellement une capacité de financement. On distingue

et des recettes. La politique monétaire consiste à agir sur la conjoncture du moment en utilisant les taux d’intérêts et les taux de change. B/ Les grands types de politiques conjoncturelles 1) Les politiques de relance : une inspiration Keynésienne Consiste à stimuler la demande afin d’accroitre la production et l’emploi. L’Etat peut pratiquer une relance par la conso – en favorisant la demande des ménages – ou une relance par l’investissement en favorisant l’investissement des entreprises

de la crise 
actuelle : d'abord stagflation (dans les années 70) puis lutte contre l'inflation au détriment du chômage (des années 80 au milieu des années 90) * Toutes les autorités monétaires des pays capitalistes appliquent les principes monétaristes d'un contrôle de la progression de la masse monétaire. IDEES DE L'AUTEUR * Milton Friedman va combattre vigoureusement le message optimiste de Keynes. Il considère que toute politique budgétaire active engendre rapidement une attitude inflationniste

pas de besoin de détenir la contrepartie pour ne pas freiner l'activité économique et ne  pas risquer de manquer de liquidité.  Quantitativistes : Trop de monnaie = inflation    Milton Friedman   économiste libéral américain contemporain chef de file des    : monétaristes reprend l'analyse des quantitativistes. Illusion monétaire :  Consommateurs croient que leur pouvoir d'achat augmente mais fake parce que quand  les chefs d'entreprises voient la demande augmenter ils augmentent les prix ( en mode  gros chiens ) 

8 bouleversements économiques que vont entrainer la 2nde Guerre Mondiale, i.e. l'économie de guerre qui voit le PIB chuter au profit de du soutiens de la guerre, ne s’inscrit dans aucune logique de l'analyse des cycles longs. L'approche monétariste ne nous éclaire pas plus bien qu'il nous permet d'appréhender la fin de la phase B comme un dérèglement du SMI, cependant la fin de l'étalon-or vient remettre en cause leur analyse. Les difficultés monétaires qui sont liées à des problèmes institutionnels

économique afin de rétablir les grands équilibres de la Nation (plein emploi, moindre inflation, équilibre extérieur, croissance économique) lorsque le marché rencontre des difficultés à s’autoréguler. Cette fonction est héritée de la tradition Keynésienne. L’État agit soit de manière conjoncturelle, sur l’année, notamment avec la politique budgétaire ; soit de manière structurelle, sur un temps plus long, notamment par la politique de l’Aménagement du Territoire. Les objectifs de cette fonction

général pour la neutralité de la monnaie, cette idée a été reprise par les néoclassiques. Pour l’école keynésienne ce qui est déterminant c’est l’effet revenu perçu par les agents. Il a deux incidences : d’abord sur la richesse perçu et un effet sur les prix réels dans la mesure où ces prix sont en partie conditionnés par le système monétaire, par le jeu du taux d’intérêt. Dans l’approche keynésienne la monnaie n’est pas neutre dans la mesure où les agents économiques exercent une préférence pour la