Keynésiens Et Monétaristes

pays encore à dominante rurale. Cette durée et cette intensité font que le chômage de masse tend à devenir un phénomène permanent. C’est ce chômage de masse durable qui est à l’origine d’une éclosion et du renouveau de la pensée Keynésienne. L’apport de la pensée Keynésienne, c’est l’idée selon laquelle le marché livré a lui-même peut engendrer des situations de déséquilibre durable en particulier sur le marché du L. Cette crise est d’autant plus mal ressentie, qu’elle touche les pays occidentaux alors

politique monétaire en quelques mots : Priorité à la stabilité des prix, la politique d’inspiration libérale est essentiellement restrictive et a pour but de limiter les prix. 3) La politique monétaire Keynésienne) * Soutenir la croissance et l’emploi D’après la politique Keynésienne, l’injection de monnaie a un effet sur la production // libéraux. La hausse du taux d’intérêt rend l’emprunt + coûteux, ce qui limite la consommation des ménages et les investissements des entreprises.

Selon les économistes monétaristes, une augmentation de la masse monétaire provoque une hausse des prix mais ne modifie pas la sphère réelle : une politique « généreuse » aura comme seul effet d’augmenter les prix due à l’augmentation de la demande donc la hausse des salaires n’entrainera pas une hausse du pouvoir d’achat. La monnaie est donc neutre pour la sphère réelle de l’économie, elle ne modifie pas les mécanismes de marché. Pour les économistes keynesiens, l’augmentation de la masse

baissant leur prix. Il existerait donc une relation inverse entre inflation et chômage : on ne pourrait avoir simultanément plein emploi et stabilité des prix. Il faudrait donc choisir entre inflation et chômage, et l'Europe aurait fait le choix monétariste de la lutte contre l'inflation (l'indice des prix à la consommation n'augmente que de 2% par an) au prix d'un chômage de masse. L'exemple allemand des Trente Glorieuses montre pourtant le contraire : il est possible de concilier stabilité des

Division du travail Ecole de Chicago Ecole de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur Théorie quantitative de la monnaie Théorie de la régulation Walras Léon 9 PLAN I. LE COURANT LIBERAL A. Le courant

Division du travail Ecole de Chicago Ecole de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur Théorie quantitative de la monnaie Théorie de la régulation Walras Léon 9 PLAN I. LE COURANT LIBERAL A. Le courant classique

prix, hypothèse d’absence « d’illusion monétaire ». En d’autres termes, les classiques privilégient uniquement la fonction moyen d’échange de la monnaie : le seul motif de détention de la monnaie est le motif de transaction. ! L’analyse keynésienne et néo-keynésienne KEYNES prend en compte les deux fonctions d’« intermédiaire des échanges » et de « réserve de valeur » de la monnaie, il les juxtapose en distinguant deux motifs de détention de la monnaie : • Le motif de transaction KEYNES élargit cette

n’augmentent pas car l’augmentation de la demande est satisfaite par une augmentation de la production. Ce qui amène notre démonstration au point où l'inflation n'est pas obligatoire et inévitable lorsqu'on augmente la masse monétaire. Pour les keynésiens, la monnaie n’est donc pas neutre ; elle a une influence sur la sphère réelle. Nous pouvons donc déduire qu'il est possible de lutter contre le chômage grâce à la mise en œuvre d'une politique monétaire expansionniste. Ce qui reviens à l'augmentation

I La BCE : gardienne des prix I 1 L’évolution de la monnaie I 2 Les différentes politiques de la monnaie I 3 La BCE : un combat contre l’inflation II La FED, moteur de la croissance américaine II 1 Les avantages d’une politique monétariste II 2 Ses inconvénients III Les banques centrales en quête de crédibilité III 1 L’indépendance III 2 La transparence Introduction Les personnalités politiques françaises, de tous bords qu'elles soient, tel que Ségolène royale et

les néo classiques. ¤ Les Monétaristes o Mouvement lancé par Friedmann, leur vision de l’économie a dominé jusqu’à la crise de 2008. Ils basent leur système sur les politiques monétaires (création de monnaie, prêts, etc.) et les politiques budgétaires (création d’emplois publics via l’état et ses investissements publics). Pas d’intervention de l’état dans cette politique. ¤ Les Postkeynésiens o L’état doit intervenir, politique fortement basée sur le modèle keynésien.