Keynésiens Et Monétaristes

révolution Mercantile Il faut avoir à l’esprit que les théories éco coexistent davantage qu’elles ne se succèdent. Autrement dit, il existe encore aujourd’hui des auteurs se réclament du Mercantilisme, de la Physiocratie, du Marxisme, des Libéraux, Keynésien. En un mot, aucune théorie n’a jamais véritablement disparu. Or, à certains moments de l’histoire, certains courants ont été dominants. La réflexion économique évoluant toujours sous l’effet des interactions entre la pensée dominante du moment

(stop) et politique de relance (go), principe du stop and go. Les politiques de relance (keynésienne) on pour objectif la lutte contre le chômage et la croissance. Les moyens utilisés sont; Le déficit budgétaire permet l'augmentation de la demande global de l'économie et par conséquent stimule la croissance. 3 – Le clivage entre politique de rigueur et de relance. La politique de relance est d'inspiration keynésienne, mais aujourd’hui elle n'est plus prisé par les gouvernement (dernière utilisation en

RICARDO : spécialisation des Etats dans l'échange : théorie de l’avantage comparatif Les auteurs néo-classiques et contemporains (20ième siècle) - Milton FRIEDMAN : Ecole monétariste : mouvement des prix par variation de la masse monétaire – Arthur LAFFER : Limitation de la pression fiscale 2.Le courant keynésien - J. M. KEYNES : théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la demande (1936) Le marché peut être défaillant L'Etat a une légitimité à intervenir 3.Le courant

qui en a le monopole d’émission. 2) La neutralité de la monnaie prônée par les néoclassiques peut être remise en question au regard des théories keynésiennes. Les néoclassiques défendent la thèse de la neutralité de la monnaie (à long terme seulement pour Friedman ainsi que pour ce que l’on nomme, à tord ou à raison, « les nouveaux keynesiens ») et cantonnent la monnaie à sa fonction d’intermédiaire des échanges, comme l’illustre l’expression de Say de « voile monétaire ». Autrement formulé

partir de 74, les réponses des gouvernements vont souvent être des réponses keynésiennes. Entre 76 et 81 Raymond BARRE P. Ministre est le premier qui a compris que la parenthèse des 30G était fermée. Il va mettre en place le début d’une politique de rigueur qui a commencé a porté ses fruits. Cette politique économique va être remise en question en 81 avec l’arrivée au pouvoir de MITTERAND. C’est la dernière gde politique keynésienne qui va être mise en place, durant 2 mois. A la fin des années 70, le

inversement). Keynésiens : en période d’inflation, D>0 donc les entreprises ont besoin d’embaucher pour produire plus : baisse du chômage. - critique monétariste : long terme Les consommateurs anticipent une inflation plus faible que celle qui prévaudra (ils ne tiennent pas compte des nouvelles informations mais des grandeurs passées de l’inflation). A long terme la courbe de Phillips est verticale : peu importe le niveau d’inflation, le chômage reste le même. • Croissance - Keynésiens : politique

Quelles politiques pour l'emploi ? La diversité des formes et des analyses du chômage mettent en œuvre différentes politiques de l'emploi pour y répondre. Ainsi, les politiques de relance de la demande répondent au chômage keynésien, les politiques de réduction du coût du travail au chômage classique et la flexibilisation du marché du travail comme la formation, répondent au chômage structurel. Ces politiques se fondent également sur la prise en compte du rôle d'intégration du travail fragilisé par

Les vestiges de la loi de Say 4.2.2 Les séquelles de la loi de Say Partie II : Les controverses fondatrices de la pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche monétaire de la BP 5.1 La question des réparations allemandes et la solution keynésienne 5.1.1 Première phase : de la guerre au plan Dawes 5.1.2 Deuxième phase : la solution keynésienne 5.2 Les objections radicales d’Ohlin et Rueff 5.2.1 La preuve par les faits selon Rueff 5.2.2 L’analyse théorique d’Ohlin 5

(QUESNAY, TURGOT) Les classiques : (travail sur la valeur d’échange) - 1776 : SMITH - 1817 : RICARDO - 1867 : MARX Les néoclassiques : (travail sur la valeur d’utilité) - années 1890 : WALRAS, JEVONS, MENGER Keynes 1936 Les monétaristes : ( ou école de Chicago) - années 1950 : FRIEDMAN L’école du déséquilibre : (théorie du chaos) - années 1980 : AGLIETTA Tous ces personnages sauf MARX ont été impliqués de leur vivant et sont majoritairement anglais. Il faut distinguer

relations. Selon lui, le libéralisme fait naitre la domination d’une classe par une autre. Il prône la liberté et l’égalité de tous. 4. Les néoclassiques : Ce sont des libéraux. Ils prônent les pensées keynésiennes et néo-keynésiennes. Ils réclament un marché librement organisé. 5. Les monétaristes : Ils prônent l’analyse monétaire dans une «économie démocratisée. Apparition d’une école néo libérale hostile à toute réglementation.