Keynes Et Les Classiques

th´ ories de la croissance e e 1.2.1 Les classiques . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 Joseph A. Schumpeter (1883–1950) . . 1.2.3 Les th´ ories modernes de la croissance e 3 3 5 5 6 6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Le mod` le keyn´ sien de Harrod (1939) e e 8 2.1 Equilibre

PLEIN EMPLOI ET CHOMAGE 1. Le niveau d’emploi se détermine sur le marché du travail. Cette approche correspond à l’approche néo-classique (pour les keynésiens il n’y a pas de marché du travail) qui se situe dans le courant libéral de l’économie. Dans cette approche, le travail est une marchandise comme les autres qui s’échange sur un marché. Dans l’optique néo-classique c’est la flexibilité du salaire qui permet l’ajustement sur le marché du travail, toute personne qui veut travailler au salaire

objet de satisfaire les besoins illimités avec des biens rares. 3.Les principaux courants de la pensée économique : A/ Le courant libéral : classique et néoclassique : Pour les libéraux, l’état perturbe le marché qui doit se réguler par lui-même.  Les physiocrates étaient les précurseurs des classiques. Ils considéraient que l’agriculture était la principale source de richesse. Le leader des physiocrates était Quesnay (1694-1774), un médecin français. Mots clés de cette

libre concurrence. Elle est ainsi fondée sur la conviction qu’il existe un ordre économique naturel réalisé par des mécanismes qui ne peuvent jouer dans le cadre du libre jeu des initiatives individuelles. Cette école comporte deux écoles : l’école classique et l’école néoclassique. 2 .1-Les idées essentielles du libéralisme économique Ce sont : . La liberté économique et la condamnation des interventions de l’Etat dans la vie économique. Les individus doivent exercer librement leur activité économique

(Prix et production, 1931) privilégie l’impact d’une variation autonome de la masse monétaire pour expliquer le cycle. Hayek s’est opposé à Keynes dans l’analyse de la crise des 1930s, car pour lui elle repose sur une insuffisance de l’épargne, alors que Keynes met au contraire l’accent sur l’excès d’épargne. I) Une filiation marquée par rapport aux classiques dans sa vision de la crise… A) L’adhésion à la loi des débouchés de Say et à la main invisible de Smith… Hayek s’inscrit dans la tradition

IS/LM En 1937, un néo-classique, J Hicks, moment d’incertitude entre les néo classiques. Les politiques des 30 glorieuses s’inspirent davantage du modèle ISLM que de la théorie générale de Keynes. Comment construit-on le modèle IS / LM ? (courbes). Comment les courbes se déplacent elles ? Sachant que les courbes se déplacent, quelle est l’efficacité des politiques conjoncturelles de relance ? Dans quelle mesure le modèle IS/LM est il fidèle à la théorie générale de Keynes ? Ce modèle n’est

sens du mot « libéralisme » qui est revendiqué par d’autre économiste. Il veut conserver un libéralisme dit « classique » (qu’on retrouve chez David Ricardo). Même s’il propose quelques modifications, il n’est pas favorable à un laisser-faire total de la part de l’Etat. Ainsi, avant Milton Friedman l’Ecole adoptait un mode de pensée dit « classique ». Ils étaient appelés les néo-classiques B. L’Ecole de Chicago après « sa création » ; les monétaristes Milton Friedman est souvent

période classique : A- La pensée libérale classique : Smith : - La richesse des nations est fonction de la productivité - Théorie de la Main invisible Ricardo : - Le libre échange favorise la croissance. JB Say : - La loi des débouchés : un produit terminé offre dés cet instant un débouché à d’autres produits pour tous le montant de sa valeur. - L’équilibre général sera toujours atteint entre l’offre & la demande globale. B- Les économistes classiques réformistes :

Keynes et ses combats Gilles Dostaler Paris, Albin Michel, 2006 Extrait du chapitre 6, ´†L’emploi†: la rÈvolution keynÈsienne contre le chÙmage†ª Mais qu’il puisse parfois y avoir une main d’œuvre privÈe de travail, alors que tout le monde dÈsire davantage de biens, est une aberration qui ne peut rÈsulter que d’un imbroglio, auquel on pourrait remÈdier ‡ la condition de rÈflÈchir et d’agir avec luciditÈ. ´†Currency policy and unemployment†ª, 1923 Qu’il y ait 250 000 ouvriers du b‚timent

par les physiocrates. L’école physiocratique annonce les économistes classiques. Ainsi, Turgot est l’ancêtre de ceux qui préconise un état minimal ; et les physiocrates pensent que l’économie est régit par des mécanismes naturels et qu’aucun obstacle ne doit être opposé à ces mécanismes naturels pour un fonctionnement naturel et optimal (fait penser à la main invisible). II°/ Les économistes classiques La pensée classique débute avec « la richesse des nations » d’Adam Smith (1776). Elle se développe