Karl Marx

Terre pour autrui et les générations futures. Nos actions sont bien évidemment celles qui ont permis à l’humanité de s’élever, de progresser. Il est donc légitime de croire au progrès. Il faut surtout y croire car il est garant d’une vie meilleure (Marx). L’eschatologie, qui est un ensemble de doctrines et de croyance sur la fin de l’Univers, défend aussi cette idée de croyance au progrès. Cette science qui est celle de la certitude de temps meilleurs et d’une finalité de l’Histoire. L’Histoire a

consommer est la plus forte), on stimule la demande, donc la production, et on lutte contre le chômage. © HATIER 2009 2 La croissance économique, facteur de montée des inégalités A Les lois historiques liant croissance et inégalités • Pour K. Marx, la montée des inégalités entre bourgeoisie et prolétariat est inéluctable, car l’accumulation croissante du capital exige d’extraire toujours plus de plus-value. La bourgeoisie a intérêt à l’existence d’une « armée de réserve industrielle » (chômeurs)

d’imiter les lois naturelles sont des expériences dangereuses aux répercussions catastrophiques. Aujourd’hui : on retrouve cette crainte lorsqu’on évoque les expériences génétiques, le trou ds la couche d’ozone, le nucléaire… Une T déshumanisante K. Marx dénonce la déshumanisation entraînée par la révolution industrielle et l’invasion de la T moderne ds ts les domaines de la vie humaine. (ds l’usine, la machine fait de L’H son outil ; dc elle le dégrade) Une T amorale Normal ; son unique but est

Produire comme des êtres humains Marx commence cet extrait des Manuscrits de 1844 par « nous produisions comme des êtres humains ». Pour l’homme, le travail n’est pas naturel. Dans cela, il exprime qu’il n’est pas seulement un être naturel. L’homme ne peut pas vivre qu’avec ce que la nature lui a donné. Il doit produire ses propres moyens de survie. Par exemple, il doit fabriquer une hache pour pouvoir couper du bois afin de se réchauffer. L’humanité va apparaître dans ces outils. Cela va permettre

Taylorisme : Définition : Le Taylorisme est une méthode d’organisation scientifique (dit OST) qui à était mise au point par Frederick Taylor, un ingénieur Américain. Cette méthode consiste à séparer la conception de la production, c'est-à-dire que des ingénieurs « pensent le travail » et que les ouvriers l’effectuent, chaque ouvrier à une tache précise, un mouvement à effectuer en un temp déterminé afin d’accélérer le temp de production. Précision : Le Taylorisme est apparu dans les années 1880

Nous avons ici un extrait issu de l’œuvre « Dans les beaux quartiers » écrit par Monique Pinçon Charlot et Michel Pinçon tous deux sociologues français, ils sont notamment connus pour leurs travails en coopération. A travers une enquête de terrain dans les beaux quartiers de la capitale, les deux sociologues nous offrent une description passionnante de la manière dont la grande bourgeoisie peut se distinguer avec les classes dites populaire. Ils s’attardent plus précisément sur les « rallyes

Fiche de lecture : Sociologie des pratiques culturelles Auteur : Philippe Coulangeon, sociologue chargé des recherches en sociologie au CNRS, membre de L’observatoire sociologique du changement à l’IEP (Institut des Etudes Politiques) de Paris et chercheur associé au Laboratoire de sociologie quantitative du Cres (Comité régional d'éducation pour la santé) à l’Insee. Editeur : La Découverte Collection : Repères (catégorie « sociologie ») Année d’édition : 2005 Nombre de pages : 123 Les

individu elle fait son bonheur son malheur, elle doit etre craint ey respectée La religion est donc une fonction sociale elle assure la cohesion de la societe et rassemble des H Illusion et masque de la societe benefique et necessaire ! :) 2 marx la religion est l opium du peuple Rapport d un croyant a sa religion est comparable a celui qu entretient un toxico a sa drogue Il trouve ses seules satisfactions de sa vie dans les instants qu il consacre pour elle Il trouve satisfaction car

social (CM5). Pour vous repérer dans le paysage théorique, le tableau qui suit fait une synthèse des principaux paradigmes que vous allez rencontrer à propos de la sociologie et bien sur la sociologie du sport. Paradigme holiste (structuralisme)Marx, Durkheim, Bourdieu, Touraine | Paradigme individualisteWeber, Boudon | La société est le produit de forces socio-historiques qui dépassent la capacité d’action des individus : primauté de la société sur les individus E. Durkheim | La

partis politiques, syndicats…). Comme toute superstructure, elle est une « auberge espagnole » : où l’on ne trouve que ce que l’on y apporte. « La religion est l’opium du peuple »nous disais Marx parle-t-on de la foi religieuse ou de l’institution religieuse ? S’il s’agit de la foi religieuse, je pense que Marx avait raison de la considérer comme « opium du peuple » dans le sens où les religions tout comme l’opium endorment les consciences, donc endorment les douleurs et les angoisses qui y sont liées