Kant époque éclairée

marquée par l’illuminisme. C’est à la fin du XVIIIe siècle, à l’heure où la philosophie des Lumières connaît le plus grand succès, qu’en marge de ce rationalisme régnant, un désir de beauté et de merveilleux vient ébranler le matérialisme ambiant. Kant lui-même s’intéresse aux phénomènes de voyance de Swedenborg ; les rois et les princes se tournent avec curiosité vers les sciences occultes. Sectes, loges, confréries se multiplient dans toute l’Europe. Ainsi des sociétés théosophiques s’inspirant

que le salut ne venait que par l'Église.Saint Thomas d'Aquin a introduit Aristote dans la religion chrétienne et il a essayé de montrer que la raison et la foi n'entrent pas en conflit.Elle apprend également que l'une des femmes philosophes de cette époque s'appelait Hildegarde, qui a eu une vision dans laquelle elle a vu Sophia, le côté féminin de Dieu.Cela effraie Sophie, tout comme le fait qu'Albert le Grand était le professeur d'Aquin.Chapitre 16 – La RenaissanceSophie rentre chez Joanna puis rentre

rares, en période de guerre, encore que la guerre est aussi soumise à des règles bien formalisées. Mais les sociétés sont en transformation : différentes approches pour aborder ce changement, traditionnellement approches matérialistes, ou celles de Kant ou Hegel. Ici, on défendra une approche « constructiviste » : idée qu’il existe des structures sociales stabilisées sans cesse remises en cause par des échanges sociaux et des dynamiques de lutte auxquelles ces échanges donnent lieu. Deuxième

que, pour la première fois, l'Europe commence à désigner une réalité géographique : cet espace est encore très vague et désigne simplement le nord de la Grèce. Puis, ça va se préciser peu à peu entre le 8°siècle et le 5° siècle avant JC ; à cette époque, l'Europe va devenir une réalité un peu plus précise (grâce a Hérodote, historien grec). Il explique que les grecs divisent la terre en trois parties (l'Asie, la Libye = Afrique et l'Europe). L'Europe pour lui se prolonge bien au delà de la Grèce

des droits de l’homme par exemple, et la fausse tranquillité de ce processus d’égalisation des conditions qui n’est pas sans dangers, et qui a également pour nom démocratie. Aussi avons-nous interrogé sur ce thème l'un des auteurs que notre époque redécouvre, Alexis de Tocqueville, et tenté d'expliquer quelques aspects de son œuvre, encore aujourd'hui féconde. Pourquoi ce choix d'Alexis de Tocqueville? Sans doute parce que du point de vue des grands paradigmes explicatifs, les choses ont basculé

avec le sacerdoce universel et l'éclairage indispensable du Saint Esprit) Considérée comme porteuse de la parole de Dieu, la Bible est à la fois la seule autorité théologique et le seul guide, en dernière instance, pour la foi et la vie. Elle est éclairée par la prédication de ministres appelés par l'Église et formés par elle (mais le Saint-Esprit peut appeler d'autres prédicateurs que seulement ceux-ci). À travers les témoignages humains qu'elle transmet, elle dessine des principes de vie à partir

vouant un culte à la « raison éclairée ». Le prédicat est simple : l'Homme instruit ne pourra pas faire mauvais usage de sa liberté, par conséquent le droit des contrats doit être le plus libre possible. C'est pourquoi l'article 1101 du code civil dispose : « Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. ». Cette autonomie de la liberté, empruntée à Kant par opposition à la théorie

conceptions s’oppose de fait à ceux qui ne jugent pas comme lui et il peut être tenté de se servir de son pouvoir pour contraindre les récalcitrants à adopter des croyances morales plus vraies. Un Etat partial (paternaliste) est un Etat despotique (Kant, Projet de paix perpétuelle). 3)La possibilité d’une philosophie morale : Si la morale peut être définie comme l’ensemble des devoirs auxquels les hommes doivent obéir afin de vivre conformément au bien, alors la philosophie morale doit avoir

techniques merveilleuses, en particulier ses techniques de communication, est en rupture radicale avec un passé même relativement récent, et bien des pédagogues actuels ne voient pas ce que Socrate, Platon ou Aristote, ou même Descartes, Rousseau ou Kant pourraient leur apporter; et, d’ailleurs, dans un monde en pleine transformation, à quelle citoyenneté préparer ceux qui seront les adultes de demain? D’où les incertitudes des éducateurs, et les vives oppositions qui traversent le monde de l’éducation

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