Kant Impératif Hypothétique

Section 3 : La philosophie du droit comme conception démocratique du droit : Certains juristes considèrent cependant que la philosophie du droit n’a pas pour autant un rôle d’arbitre ce ne serait pas une philosophie de conscience comme la décrivait Kant ou encore Hegel car le jugement d’une seule personne concernant le projet juridique importe peu. Prise dans sa dimension argumentative la philosophie du droit devrait ainsi considéré comme l’un des participants de ses projets. Elle devrait donc présenter

Ses règles sont les égards mutuels, la confiance et la réciprocité (Treu und Glaube, fidélité et confiance). Elle sert à interpréter un contrat et peut compléter l’application de la loi : par exemple un contrat lacunaire se fonde sur la volonté hypothétique des parties 6. Cas Le cas montre que la coutume interne ne peut primer la loi. En revanche, une coutume internationale fait partie du droit international, et selon l’art. 5 IV Cst, elle est supérieure à la loi. -13- VII – Comment déterminer

existence. Pour cette raison, Sartre dénie l’existence d’une nature humaine : l’homme est libre, il improvise son existence de part sa liberté absolue. Il se fait lui-même et doit donc être totalement responsable de ce qu’il est.     Dans l'optique de Kant cependant, l’homme a tout de même à sa manière une « nature », mais cette nature est paradoxale, puisqu’elle est celle d’un être libre. L’homme se doit donc de prendre en main les dispositions qui ont été déposées en lui par la Nature afin de porter

au-dessus du temps, par-delà ce qui se meut et ce qui change, en dehors, par conséquent, de ce que nos sens et notre conscience perçoivent. Dès lors elle ne pouvait plus être qu'un arrangement plus ou moins artificiel de concepts, une construction hypothétique. Elle prétendait dépasser l'expé­rience ; elle ne faisait en réalité que substituer à l'expérience mouvante et pleine, susceptible d'un approfondissement croissant, grosse par là de révéla­tions, un extrait fixé, desséché, vidé, un système d'idées

Erasmus (1469-1536) 39 57. FINKELKRAUT Alain (1949-) 39 58. FOUCAMBERT Jean 40 59. FREINET Célestin (1896-1966) 40 60. FREUD Sigmund (1856-1939) 41 61. GESEL (1880 – 1961) 41 62. HEGEL Georg Wilhem Friedrich (1770-1831) 41 63. KANT Emmanuel (1724-1804) 42 64. KERGOMARD Pauline (1838-1925) 43 65. KINTZLER Catherine ( ? ) 43 66. KLEIN Mélanie ( -1960) 44 67. LAHIRE Bernard 44 68. LEWIN Kurt (1890-1947) : 44 69. MERIEU Philippe (1949-) 44 70. MEYER Philippe

mondiale. La plus grande expansion qui lui ait été donnée a été le principe kantien d’’universalité’ : ‘Agis toujours selon une maxime dont tu peux en même temps vouloir qu’elle soit érigée en règle universelle’. Mais le philosophe allemand Emmanuel Kant (1724-1804) donnait probablement au mot ‘universel’ un sens très limité, comprenant seulement tous les êtres humains actuellement vivants. Au contraire, le concept de ‘mondialisation’ englobe non seulement tous les êtres humains actuellement vivants

  au   beau   génère,   il   faut   se   défaire   de   cette   habitude   de   pensée,   historiquement   datée   (18ème   et   19ème   siècles   avec   les   philosophies   de   Kant   et   Hegel   notamment).   J’emploie   le   terme   esthétique   ici   pour   désigner   l’ensemble   des   discours   et   approches   critiques   sur   le   monde   de   l’art.  

Société et politique I. L’approche génétique des sociétés politiques A. Les Origines hypothétiques de la société 1. La leçon biblique, une mise en garde conter les sociétés politiques 2. Les discours étiologiques de PLATON B. La société politique comme produit de la nature : ARISTOTE 1. Le concept politique de sociabilité 2. L’analyse de la société politique C. Les théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste :

conscience. Ce sont des valeurs supérieures qui s’imposent à tous et qui chevauchent les règles religieuses. (Exemple : la charité, le respect de la parole donnée pacta sunt servenda, il ne faut nuit à autrui). Ces règles morales, ce sont donc des impératifs catégoriques qui expriment des valeurs fondamentales supérieurs et qui dictent un comportement mais on considère que les règles morales relèvent du for intérieur (=conscience individuelle), elles scrutent les intentions (ne pas convoiter les biens

à des quantités et à des grandeurs, de là la distinction entre arithmétique et géométrie. Elle est donc au croisement du sensible et de l'intelligible, de l'intuitif et du rationnel. Les définitions mathématiques sont créatrices ou décisoires. Pour Kant (1724 -1804) « les définitions mathématiques ne peuvent jamais être fausses ». C’est ainsi que les trois angles d'un triangle seront toujours égaux à deux angles droits (180°), quelle que soit l'existence ou la non-existence de triangles dans la nature