Jürgen Habermas

De la naissance du nationalisme allemand 2. Fichte et la nation allemande II_ Au-delà des Nations ? A) « Les nations ne sont pas chose éternelle. Elles ont commencé, elles finiront… 1. La réponse de Jürgen Habermas 2. Le retour d’une conception ethnique B) Mais telle n’est pas la loi du siècle où nous vivons » 1. La Raison des Nations selon Pierre Manent 2. La Nation : un concept d’avenir

identités culturelles. La notion de simple tolérance[2], née dans le contexte des guerres de religion en Europe, pourrait représenter selon le philosophe Jürgen Habermas, « un modèle pour penser un multiculturalisme qui ne se réduise pas à une juxtaposition de ghettos » . Et pourtant, n’est-ce pas ce que l’on constate dans différents pays ? Selon Habermas, ces « droits culturels »[3] devraient être garantis à tous les citoyens à condition qu’ils soient essentiels à leur identité personnelle. Il précise

le 28 mars 2014 M1 CESS Cours : «L'idée d'une Europe démocratique» ( UE4) Année Universitaire : 2013-2014 Professeur : Audi Etudiante : Skrapa Stavroula-Iro Titre du travail : « Refaire l'Europe, une approche philosophique» (Jurgen Habermas, sous la direction de Yves Ch. Zarka) I. Intoduction II. Vers l' Europe démocratique ? III. Comment faire une Europe démocratique ? SKRAPA STAVROULA-IRO Introduction Aujourd'hui, on constate dans un moment d'une crise profonde au

diffusion reste faible et limitée aux lettrés.La sphère publiqueLa sphère publique est l'espace de la vie sociale, réel ou virtuel, où l'opinion publique peut émerger. Ce terme a été inventé par le sociologue allemand Jürgen Habermas-terme a été inventé par le sociologue allemand Jürgen Habermas, qui la décrit comme étant composée de "personnes privées rassemblées en tant que public et exprimant les besoins de la société".L'autorité de l'État a commencé à s'étendre à tous les domaines de la vie publique

démocratie : Au travers de l’histoire de l’opinion publique, on peut observer que l’opinion est une expression de la liberté et est guidée par la raison. Cette opinion est une arme pour s’opposer à l’absolutisme étatique (Moens, 2011). En effet, Habermas (1992) décrit l’espace public comme la naissance d’un contre-pouvoir populaire qui s’oppose au totalitarisme étatique, ce qui est exactement le cas de l’opinion publique de FEMEN. Le FEMEN est un outil politique de revendication en faveur des conditions

La technique et la science comme « idéologie »Présenté à :François Pizarro NoëlSOC2006 g 109 Décembre 2019Université du Québec à Montréal Le livre La technique et la science comme « idéologie »   (1973) de Jürgen Habermas (1929-) peut être considéré comme très intéressant pour analyser l’impact du progrès scientifique sur la société, mais aussi de l’utilisation de ce progrès comme idéologie, via le concept

la téléréalité dans cette « nouvelle » démocratie ? Tout d’abord, nous entendons par démocratie un espace public qui repose sur un agir communicationnel commun et sur une constitution. Il existe cependant plusieurs visions de la démocratie. Pour Habermas le point central de la démocratie se situe dans le dialogue pratique et publicisé que les individus ont en se dépouillant de leurs égos. La démocratie est donc indépendante de ses institutions. Cependant, cette vision va très vite être soumise à

publique et l’appareil idéologique. En premier lieu, il est possible d’appuyer la thèse de Gingras en étudiant le modèle de la sphère publique qui a grandement été inspiré par les travaux du philosophe Jürgen Habermas. Malgré les critiques formulées au sujet de sa thèse, l’archétype de Habermas correspond à l’idéal des Lumières : «valorisation de la rationalité, infinie confiance entre l’être humain, croyance en la capacité des sociétés de s’autogouverner». C’est pourquoi le concept de sphère publique

Narr Verlag, 1998, p. 36 : « (...) il n'y a pas un mais des postmodernismes c'est-à-dire un ensemble d'expériences dont la diversité même rend impossible une définition d'ensemble ». 7 8 Habermas Jürgen, « La modernité : un projet inachevé. », in Critique, n° 413, oct. 1981, pp. 950-967. Habermas Jürgen, Le discours philosophique de la modernité, trad. par C. Bouchindhomme et R. Rochlitz, Paris, Gallimard, 1988, Fumaroli Marc, La Querelle des Anciens et des Modernes, Paris, Gallimard-Folio, 2001

toujours de circonstance et le recensement des conditions de possibilité d'un accord entre interlocuteurs reste toujours nécessaire. C'est bien d'ailleurs ce à quoi s'emploie le philosophe allemand contemporain Jürgen Habermas, avec son étude de la communication et de l'intercompréhension. Habermas observe d'ailleurs que si les hommes peuvent s'entendre tout au long d'une argumentation c'est qu'ils font référence, ne serait-ce qu'implicitement, à des normes universelles réglant leur discours. Ainsi, dans