Joie Et Tristesse

exprimées au théâtre par la mise en scène et les mots selon les époques et les cultures. Dans l’antiquité grecque, afin de pouvoir exprimer nos émotions on utilisait des masques avec un visage exprimant la joie quand il fallait exprimer une scène joyeuse et un visage triste afin d’exprimer la tristesse ou la douleur. Plus tard, les romains on remplacer les masques par le maquillage dans un même but. Mais il existe d’autres formes d’expression, ainsi dans la culture japonais, le théâtre nô (japonais),

montrer sa douleur, sa tristesse. En effet, il confie au lecteur ses ressentiments, souvent afin d'apaiser le fardeau de sa peine. C’est le cas de Victor Hugo dans son recueil de poèmes Les Contemplations, notamment dans la partie « Aujourd’hui », où il nous fait part de sa souffrance suite à la mort de fille Léopoldine...........Aussi dans son poème, le poète parle aussi de sa joie, de son bonheur. Ainsi, en lisant un poème, on peut voir dans ses vers le sentiment de joie du poète. C’est le cas

il correspond au moment où l'auteur aurait pris le Transsibérien. C'est ainsi que va débuté le voyage où vont se mêler rêve et réalité. C'est un extrait qui se structure clairement en deux mouvement distinct, la première partie où il est pris de joie, une grande enthousiasme et la deuxième partie où il exprime quelque chose de négatif. On va organiser la lecture analytique en utilisant les deux partie. En nous interrogeant sur la manière dont l'écriture poétique rend compte de l'expérience vécue

je ne souffrirai pas, que lorsque tu pleureras, c’est avec joie que je te verrai pleurer. Je te verrai pleurer avec joie tout comme (écoute bien ça) tout comme tu pourras, si tu l’oses (il ne s’agit que d’oser), me voir pleurer avec joie. Il ne faut pas se torturer inutilement » J’ai aimé cet extrait du roman, car c’est à ce moment précis de l’histoire qu’il explique a Chateaugué qu’il est toujours mieux d’essayer de pleurer avec joie même si quelque chose nous rend triste, car après que l’on a

pas savoir demeurer en repos dans une chambre ». La raison qui fait que l’homme ne peut pas rester face à face avec lui-même, c’est qu’alors il prend conscience de son malheur existentiel dans l’expérience de l’ennui qui entraîne nécessairement la tristesse, le désespoir. C’est pour échapper à cela que l’homme se jette dans l’agitation qui le détourne de ses préoccupations existentielles et de sa condition de mortel. Le divertissement est le mouvement qui nous entraîne hors de nous. Nous préférons les

périphrase « un "trou de verdure" endroit généralement propice aux rencontres amoureuses, aux rêves. Le mot "trou" du premier vers prépare déjà le dernier pour lui faire écho. La rivière, personnifiée comme la montagne, chante comme en signe de joie, d'allégresse. La joie de vivre de la rivière se manifeste en accrochant des objets aux herbes comme des guirlandes. Le rejet, "D'argent" met l'accent sur la richesse des jeux d'eau et de lumière. L'apparition du soleil symbolise, avec l'eau, la vie. Les rimes

Surement la première fois que j'y pense au point de le poser par écrit. Un moment de ma vie à oublier, pourtant je ne peux et je ne pourrai pas. Un moment trop intense, échangé de larmes et de rires, de haine et de désir, de peine et d'amour, de tristesse et de joie. Un moment qui est sans doute l'un des plus signifiant de ma vie. Un moment par lequel je n'étais jamais passé, malgré la familiarité que les gens ont avec cet événement. Le ventre noué, un déchirement de l'intérieur, des larmes qui coulent

“assis” v. 1, “accoudé” v. 2, “les yeux fixés” v. 3 à résignation, tristesse, immobilité - Atmosphère: “cheminée” v. 2 : saison morte, froid; “pipe” v. 1 : ennui, désœuvrement; “fagot” v. 1 (en guise de siège): pauvreté - Attraction du bas: “descendre” v. 10, “vers terre” v. 3 - Hyperboles (“âme mutinée” v. 3, “cruautés de mon sort inhumain” v. 4) presque excessives è mal de vivre, tristesse, désespoir 2. Euphorie, joie, espérance - “Espoir” début 2nd quatrain, compléré par “promettre”

vraie satisfaction. Si nous rompons avec la Nature pour tomber dans l’excès, nous deviendrons aussitôt la proie de la souffrance. Ceux là qui se sont usés dans des excès ont marqué dans leur corps les plis de la déception, ils ont le visage de la tristesse de la chair et l’apathie propre à l’ennui. 2) Puisque le critère immédiat de la sensation forte n’est pas fiable, le plaisir doit se choisir, il doit être choisi par la pensée. L’art de vivre implique le calcul des plaisirs. Le but que nous

typologie des passions, chez Hume, s’appuie principalement sur la distinction entre passions directes et indirectes. Les premières sont définies conjointement en extension et en compréhension. D’un côté, elles sont nommées : il s’agit de la joie et de la tristesse, de l’espoir et de la crainte 2, du désir et de l’aversion, ainsi que de la volonté 3. D’un autre côté, elles sont identifiées par cette propriété 1 D’une manière générale, Hume utilise de façon synonyme les termes de ‘passion’, ‘émotion’