Joie Et Tristesse Plaisir Et Douleur

autobiographique et ses interlocuteurs • 1) Solitude du narrateur Le texte commence par une sorte de vérité générale qui semble remettre en cause la légitimité de l’autobiographie : « Chaque homme est seul et tous se fichent de tous et nos douleurs sont une île déserte. » Le narrateur se dédouble, se regarde écrire et parle de lui à la troisième personne dans le premier paragraphe, comme s’il prenait de la distance avec cette écriture autobiographique vouée à l’échec (on ne peut communiquer

acheté la pauvreté avec mon corps et mon âme Et j’y ai trouvé de grandes richesses." Au milieu de l’agitation d’une époque troublée, la vie d’Omar Khayyâm semble avoir été assez douce, partagée entre l’étude des sciences, la poésie et les plaisirs faciles. Nezam fonda pour lui un observatoire à Marv et le chargea, avec huit autres savants, de la réforme du calendrier devenue indispensable à cette époque. Ce calendrier, le "Djelali", faisait correspondre le premier jour de l’année avec le solstice

.......................................p 14 Partie 3 : Les facteurs modificateurs des émotions I. L'alcool................................................................................................................p 18 II. La douleur...........................................................................................................p 21 III. Les drogues.........................................................................................................p 23 Conclusion

Le bonheur consiste-t-il à accomplir tous ses désirs ? Introduction : Accomplissement des désirs = façon naturelle de l’Homme pour se satisfaire Satisfaction = plaisir, et on le dit moment de bonheur, si bien qu’il nous paraît qu’une vie heureuse est une vie consacrée au plaisir. On considère communément que si tous nos désirs sont faits alors on est parfaitement heureux. Néanmoins, le désir n’implique-t-il pas toujours des émotions malheureuses comme celle de la frustration, de l’insatiabilité

poème « Las, où est maintenant », Du Bellay développe une tonalité élégiaque pour mettre en place le thème de la perte d’inspiration. Nous montrerons donc comment la composition très rigoureuse de ce sonnet permet au poète d’exprimer sa déploration (tristesse et regrets). I. LES DEUX QUATRAINS, MARQUE DE L’ELEGIE L’apostrophe initiale « Las » (vers 1) donne immédiatement au sonnet sa tonalité élégiaque. En effet, les regrets vont être la marque récurrente de ces deux quatrains. Ils sont rendus

dans son lit de douleur. Consumer les jours de l'âge fort, comme le vieillard passe les jours du repos ! Toujours attendre, et ne rien espérer ; toujours de l'inquiétude sans désirs, et de l'agitation sans objet ; des heures constamment nulles ; des conversations où l'on parle pour placer des mots, où l'on évite de dire des choses ; des repas où l'on mange par excès d'ennui ; de froides parties de campagne dont on n'a jamais désiré que la fin ; des amis sans intimité ; des plaisirs pour l'apparence

Les Fêtes galantes de VERLAINE Eléments d'interprétation Première interprétation Dans son second recueil de 22 poèmes, Verlaine s'inspire de Watteau et des autres peintres qui, au XVIIIe siècle surtout, ont évoqué les plaisirs d'une société élégante et frivole. Sous le nom de fêtes galantes, on désignait alors une variation sur le thème du théâtre : des personnages élégants se livrant à des songes amoureux et à des conversations tendres. A la différence des Poèmes saturniens, le livre n'est

intentionnelle. L’expression de la sensibilité serait donc l'extériorisation suivant la réception de cet élément extérieur. Christian Bobin choisit comme exemple d’élément extérieur un métal et comme réception la brûlure. Évidemment une réaction à la douleur physique est plus systématique qu’à un élément troublant la psyché cependant un individu atteint d’analgésie congénitale par exemple un “insensible” sur le plan physique. La question des bienfaits de l’expression de sa sensibilité se pose parce que

simples et qu’il lui faudra élucider sa propre existence en lien étroit avec celle de sa sœur. En effet, la première ambiguïté est relevée par René mais elle concerne d’abord plutôt Amélie. En effet, après coup, René comprend ce « mélange de joie et de tristesse » chez sa sœur, ainsi que « le soin qu’elle prit de [l]’éviter » autant de signe qui, d’après le héros, sont en fait des stratégies destinées à le « tromper ». Le mot tombe en effet en clausule du deuxième paragraphe comme une verdict terrible

règles monastiques tolèrent quelques moments de joie à une petite élite, à ne pas associer au rire dit diabolique. Il faut faire la distinction entre les « bons » et les « mauvais » rire. Au XIIIe siècle, un célèbre chirurgien Henri de Mondeville, préconisait le rire comme médicament. « Le chirurgien, disait-il, interdira la colère, la haine et la tristesse à son patient. Il lui rappellera que le corps se fortifie par la joie et s’affaiblit par la tristesse ». Ainsi, plus tard dans le Moyen-âge, le rire