John Locke La Souveraineté

territoire -La population -L'organisation politique §1-Le territoire L'existence d'un territoire est considéré comme nécessaire à l'établissement d'un état, que cet état soit important ou limité. Le territoire est la base de la théorie de la souveraineté de l'état en droit international au travers des frontières qui matérialisent l'espace étatique. Pour autant les frontières ne sont pas immuables la perte d'une portion de territoire n'entraine pas la disparition d'un état. En effet, face au danger

peuple). Il fait un pacte de sujétion en échange de leur protection et d’un minimum de liberté. Si le roi dépasse le pouvoir et va au-delà, il devient un Tyran. Le roi ne serait alors plus divin, et l’autorité ne serait plus religieuse. Thomas HOBBES, John LOCKE et Jean-Jacques Rousseau développent alors leurs idées sur le passage de l’état de nature à l’état social : - Thomas HOBBES => le léviatent. Il développe la théorie contractuelle au profit de l’absolutisme de la monarchie. D’après lui, l’état de

droits de l’Homme et du citoyen, extraits. Le texte est le préambule de la DDCH. La première phrase est la position de l’Assemblée Nationale comme étant représentante du peuple français. C’est cette représentation qui lui confère son caractère de souveraineté. Le préambule constate l’existence des droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme. Ces droits sont issus de la nature humaine, il faut donc les reconnaître et les protéger. Les droits naturels ne sont toutefois pas illimités. Il s’agit

révolution le régime qui est très ancien est tombé en quelques jours. Entre le 5 mai et le 5 août 89 le régime disparaît, cette mise à mort se constate sur tout les plans : social, juridique et politique. La réunion débouche sur un changement de souveraineté (mise à mort pol de l’ancien régime royale et la mort social de l’ancien régime). Le contrôleur général des finances Mr. NECKER fait un discours mais ne répond pas aux contestations des députés, la question du vote par ordre ou par tête reste muette

Pères fondateurs décident de mettre un terme à ces conflits internes, en mettant au point un système de démocratie fédérale, à l’origine de l’architecture politique américaine, permettant ainsi le respect de l’autonomie, de l’indépendance et de la souveraineté de chaque région afin d’éviter toute frustration (chaque région possède donc les trois pouvoirs). De plus une autorité principale est mise en place à Washington, dans l’unique but de prendre en charge la sécurité, l’économie interne et les affaires

Lumières- Temps fort dans la construction de la pensée du DC, apparition de notions (doctrine) qui vont irriguer le DC. De plus, il y a une promotion du libéralisme. Grands auteurs : * Jean Jacques Rousseau : influence démocrates * John Locke : théoricien de la séparation des pouvoirs * Montesquieu : 1748 avec l’Esprit des lois. Distinction de la séparation des pouvoirs et donc la protection des libertés. Tout le DC s’est construit sous 2 grandes influences doctrinales :

garantie des droits sont donc des principes qui doivent être établis et protégés au sein d’une société pour que celle-ci puisse se réclamer d’une constitution légitime. La séparation des pouvoirs est une théorie née sous la révolution anglaise grâce à John Locke, puis reprise par Montesquieu, afin de lutter contre les formes absolutistes du pouvoir. C’est une doctrine libérale qui veut protéger les droits et les libertés des individus en évitant la concentration du pouvoir entre les mains d’une seule institution

devient rapidement un modèle de référence pour l’ensemble des régimes et particulièrement européens. Ainsi ce régime se caractérise en théorie par la reconnaissance de la souveraineté du Parlement puisqu’il est le représentant du pouvoir suprême : celui détenu par peuple au statut d’électeur. C’est ce concept là que défend John Locke (1632-1704) dans son Traité du gouvernement civil où il évoque la légitimité démocratique du parlement détenteur du pouvoir de légiférer. Cependant de nos jours, l’existence

de la République , Jean Bodin définit la souveraineté à travers certains caractères : - Inaliénable. - Imprescriptible. - Indivisible. - Absolue. La souveraineté est dans l’Etat. En démocratie elle appartient au peuple, en aristocratie elle est dans les mains d’une élite et en monarchie c’est le roi qui la détient. C’est ainsi que les rois vont s’appuyer sur les écrits de Bodin pour considérer qu’ils sont titulaires de la souveraineté et que par conséquent leurs pouvoirs sont

par un organe spécialisé doté d'une administration permanente - en ce sens, dans la cité grecque il n'y a pas d'État puisque les citoyens remplissent à tour de rôle des fonctions politiques et judiciaires. En second lieu, un État dispose de la souveraineté, c'est-à-dire qu'à l'intérieur de la société, son pouvoir est supérieur aux autres pouvoirs, du père sur sa famille, du maître sur ses serviteurs, etc., et qu'à l'extérieur, il ne se soumet à aucune puissance étrangère. Enfin, un État se fait