Joan Fontaine

siècle) qui bien que confronté à la mort omniprésente: peste, guerres de religion et autres calamités s'avère s'affranchir de ses émotions pour donner un point de vue sur son art de vivre (en l'occurrence ici de mourir). Nous évoquons maintenant la Fontaine, au siècle du classicisme français, célèbre pour ses fables qui sut dissimuler ses idées. Tout est fait pour ne pas s'exprimer ouvertement pour ne pas froisser le Roi Soleil, son souverain tout puissant. La fable les obsèques de la Lionne rejoint

autres et peuvent être plus craintifs du monde qui les entours. Exemple : La publicité présentant la console " Play Station " fait se succéder des images virtuelles où se déroulent des combats d'une très grande brutalité. Une phrase de Jean de La Fontaine " La loi du plus fort est toujours la meilleure " est mis en avant. M. Paul Blanc (UMP, pyrennee orientale) attire l'attention de Mme le ministre de la culture et de la communication. Il lui demande donc s'il est judicieux, au moment où le Gouvernement

TEXTE I Fables de La Fontaine(1678) : « Le Savetier et le Financier » Pb : Comment La Fontaine à travers cette fable parvient-il à expliquer que l’argent ne fait pas le bonheur en mettant en apposition ses personnages ? I/ La Fontaine chercher à plaire à son lecteur à travers un récit vivant : a) Des personnages en opposition : • Titre : « Le Savetier et le financier » : mise en place de 2 personnages aux différents métiers. Savetier = Cordonnier (métier artisanal

de concepts par un lien grammatical pour les faire ressemblants. Exemple : « Là, dans les grands bois, Tristan se sent en sécurité comme derrière la muraille d'un fort château. » (Joseph Bédier) « Adieu veau, vache, cochon, couvée. » (Jean de La Fontaine) « Va, cours, vole, et nous venge. » (Corneille) Un torrent de larmes Énumération : Gradation : Hyperbole : Métaphore : Énoncé une à une des parties d'un tout. Exemple : Exemple : Exemple : Disposition des termes selon une importance croissante

Nous avons lu des fables de différentes époques et de différents auteurs : Esope, Phèdre, La Fontaine, Charles Clerc, Arnold Lobel. Nous avons remarqué des caractéristiques communes : - c’est un écrit assez court, - la fable est écrite pour illustrer un enseignement, elle veut apprendre comment se comporter à son lecteur : il y a une morale (elle est placée au début ou à la fin le plus souvent), - la fable met en scène des animaux qui ont une double nature, animale et humaine : ils se comportent

Corpus Ce corpus est constitué de trois textes, parlant tous de la guerre en cherchant à la dénoncer. Dans les extraits de Micromégas (1752), Les Caractères (1688) et 188 Contes à régler (1988), Voltaire, Jean de La Bruyère et Jacques Sternberg évoquent la guerre. Par quels procédés les auteurs dénoncent-ils la guerre dans ces textes? En effet, ces différents auteurs utilisent différents procédés littéraires pour dénoncer la guerre. Dans le premier texte, de Les caractères, Jean de La

cent ; mais par un prompt renfort Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port Don Rodrigue au Roi (Corneille, Le Cid, acte IV, scène 3) LA FONTAINE La raison du plus fort est toujours la meilleure Jean de La Fontaine, Le Loup et l'Agneau, Fable X, Livre Garde-toi, tant que tu vivras, de juger des gens sur la mine. Jean de La Fontaine, Le Cochet, le Chat, et le Souriceau, Fable V, Livre VI BIRROTTEAU La richesse rend tout supportable, tandis qu'il n'y a pas de bonheur qui ne succombe

|fait-elle jour ? | |LECTURES ANALYTIQUES (groupements de textes) | |- Texte n°1 : La Fontaine : Fables « La jeune veuve » LIVRE VI, FABLE XXI. | |- Texte n°2 : Voltaire : « femmes soyez soumises à vos maris » dans Mélanges, Pamphlets et Œuvres polémiques.

lutte contre l’ennui) et celui du moralisateur qui donne une leçon morale (peu être vu comme « ennuyeux »). Or ce sujet vient de la théorie exposée par La Fontaine dans la fable « le pâtre et le lion » notamment = la relire ! = « conter pour conter me semble peu d’affaire » ; mais aussi « une morale nue apporte de l’ennui ». La Fontaine refuse d’être un « moralisateur » (souvenez-vous qu’il est « libre penseur », « libertin » au sens philosophique du terme) : idée alors d’une notion différente

analytique : « Le jardinier et son seigneur » de Jean de la Fontaine « Le jardinier et son seigneur » est extrait des Fables de la Fontaine dont la parution s'étend de 1668 à 1694. L'auteur s'inspire de court récit en prose de l'Antiquité, notamment d’Ésope qui est un auteur du VIème siècle av. J-C et également de Phèdre, auteur latin du Ier siècle av. J-C, dont sa particularité est décrire des fables en vers. Dans cette fable, La Fontaine offre une vision de la société de son temps en mettant en