Jeu de levées

maître et le premier valet de la garde-robe lui ôtent sa chemise de nuit, l'un par la manche droite, l'autre par la manche gauche. Puis ils lui passent une nouvelle chemise qui a été apportée par un fils de France ou le grand chambellan. Le roi se lève alors de son fauteuil, et on l'aide à ajuster son haut de chausse; le grand maître de la garde-robe ceint l'épée au roi, lui passe le reste des vêtements: la veste, le justaucorps et la cravate. On lui présentait quatre mouchoirs sur un plateau

matérielle. Un monde, une réalité que l’on cherche à fuir, dans le divertissement, dans le loisir. Le loisir c’est par définition le temps non travaillé, libéré du travail que l’on assimile au temps libre, les contraintes pesant sur le travail étant levées. Le loisir est le temps du délassement et du divertissement. Se divertir, c’est littéralement se détourner ,et ici se détourner de ce monde du travail en particulier pour s’évader, se distraire. Il semble donc que le travail et le divertissement

la mort. Le drap couvre d’habitude les corps morts.  Champ lexical de la misère « grisatre,souffrent,punir » ce qui crée une atmosphère morbide. La fin  Le titre de l’œuvre – Fin de partie symbolise la fin du jeu d’échecs, symbole de la mort.  La fin du jeu est quelque chose que l’on ne peut pas éviter on voit ici un parallèle avec la fin de partie de la vie dont le dernier pas que l’on ne peut pas éviter est la mort.  Clov dit même dans la première ligne de sa tirade « Fini

s'approche pour l'embrasser sans dissimuler sa joie » (l. 46-47) Procédé: litote Avec l'utilisation de la litote qui crée un effet d'atténuation, l'auteur montre que le goupil agit de façon consentante. Citation 1.2: « Hersent, qui se plaisait à ce jeu, "lève la cuisse". » (l. 46-47) Procédé: euphémisme L'auteur utilise la figure de style de l'euphémisme pour atténuer l'acte sexuel interdit commis par Renart et Hersent. Explication 1: Renart est conscient que ce geste n'est pas permis et il prouve

ordinateurs..etc). Ces ateliers libre dure 20 mins, puis tous s'assoie à leurs places pour le goûter. A chaque table un enfant se lève pour servir ses camarades, après les avoir compter. Ensuite, la petite section étaient diviser en 2 groupes; un faisait un atelier peinture qui consister à peindre le dessin de la mascotte T'choupi en bleu et le deuxième groupe faisait un jeu de Domino. La moyenne section faisait un atelier graphisme (ex: maitrise du dessin). L'heure de récréation arrive. Retour en

règne è quelque chose de pesant. -« plateau vide » l30 à nouveau rien è Renforce l'idée qu'on suggère déjà qu'il va se passer quelque chose. - l9 à 14 : Complément circonstanciel de temps : précision des indications. c) Jeu de scène initial - Indication scénique avant le levé de rideau, l'auteur se préoccupe de donner des indications même sans la vue du spectateur. - « entend carillonné » l20 : son - Indication de gauche à droite, précis de l'auteur. - Attitude, regard, déplacement : complément

stichomythie des vers 15 à 20. Le conflit s’exprime par la négation, employée par Eraste comme par Lucile pour rejeter la faute sur l’autre : « non, votre cœur, Eraste… »/ « non, Lucile… ». Les personnages restant dans le déni, le malentendu n’est pas levé et la rupture est prononcée par Lucile (« nous rompons »). Mais cette rupture n’est voulue par aucun des deux personnages et le désarroi qui fait suite à cette annonce s’exprime dans des phrases interrogatives (« oui, vraiment, quoi ? n’en est-ce pas

presque plus de lait » « Il fait froid » « J'ai essayé de faire du feu ... Ça ne fonctionne pas » précise la garde « Le soleil est en retard » Création d'une fissure dans le mur, etc... 3/ présentation des personnages Le garde profite du jeu de portes des personnages ( entrant et sortant par toutes les portes sans prêter attention au public) pour informer les spectateurs ainsi que les lecteurs sur le nom des personnages ainsi que sur leur rôle dans la pièce. DOUBLE ÉNONCIATION : ce garde

mais il note également l'attitude malicieuse de la jeune fille. De retour à Ille, chez les Peyrehorade, ils parlent sur le mariage qui doit avoir lieu le lendemain. Alphonse, le futur marié,est déjà habillé pour la noce. Il assiste à une partie de jeu de paume opposant l'équipe locale à une équipe d'espagnols.Voulant venir au secours des siens, Alphonse se jette dans la partie. Mais sa bague de diamants le gêne dans ses mouvements. Il la retire, et pour ne pas la perdre, il la passe au doigt de la

narrateur prend à parti le lecteur dès les premières lignes du récit en assurant de la fiabilité et de la véracité des faits qu'il va conter "Je sais [les faits que je vais raconter] parce qu'ils me sont familiers comme le soir qui tombe et le jour qui se lève". Le personnage "Pierre-Ange Destinat" est présenté sur le mode d'une biographie (mention de son statut, de son surnom, insertion de dates) ce qui donne l'illusion que la personne décrite a vraiment existé. Alors c'est réussi ou pas ??? [pic]