Jeu de levées

cacher dans le sommeil. J'en ai parlé à une où deux mamans qui copine avec moi à la sortie de l'école, mais elles me comprennent pas, elles sont épanouies entant que mère au foyer. Moi j'ai du mal à vivre dans le train train quotidien, je me lève pour emmener les enfants à l'école. Puis je fume une clope en buvant mon chocolat, je fais le lit du plus grand des plus petits Samuel, puis regarde l'ordre de la chambre pareil pour la chambre de Florian qui lui fait sont lit en général. En

succession d'exclamations « Ah ! ; comme me voilà faite que je suis mal bâtie construit le personnage de la maîtresse, exagérément affolée par son apparence, et permet a Cléanthis de la caricaturer. Il s'agit de la ridiculiser tout à la fois par le jeu de scène et le caractère hyperbolique de ses paroles La domestique utilise à son tour le pronom impersonnel on , qui témoigne de son mépris, pour décrire les actions de s maitresse. Cependant on se mire, on éprouve son visage de toutes les façons, rien

forme de voyageurs et venaient frapper aux portes ; sans doute ils trouvaient un peu de bonheur à éprouver la faim, la soif et les passions de l’amour. Seulement, dès qu’ils pensaient un peu à leur puissance, ils se disaient que tout cela n’était qu’un jeu, et qu’ils pouvaient tuer leurs désirs s’ils le voulaient, en supprimant le temps et la distance. Tout compte fait ils s’ennuyaient; ils ont dû se pendre ou se noyer, depuis ce temps-là; ou bien ils dorment comme la belle au bois dormait. Le bonheur

Intro : Cet extrait est issu de l’acte 1 scène 1 de la comédie « Les jeux de l’Amour et du hasard » de Marivaux écrite en 1730. Marivaux utilise la technique du marivaudage à travers un jeu de travestissement qui oppose mariage, amour, et condition sociale pour dépeindre la société du 18èmes siècle. Cette scène est une scène d’exposition, nous verrons en quoi elle est originale. Nous verrons cela a travers une discussion animé par des conflits de 2 personnalités qui expose la scène. I. Une discussion

Jean Genêt, Les Bonnes, 1947 Présentation En l'absence de Madame, Solange et Claire imitent leur maîtresse. Elles endossent tour à tour le rôle de Madame ou d'une des deux bonnes. Ce jeu mélange fascination et répulsion pour une patronne qu'elle vénère mais qu'elles haïssent en même temps. Jean Genêt pousse à son paroxysme la violence des rapports entre maîtresse et suivantes, transformant les rapports en véritable confrontation. La pièce s'inspire du crime des sœurs Papin, fait divers survenu

les lieux du crime des lignes 20 à 33, avant d’aborder le rebondissement de l’intrigue des lignes 34 à 45 et enfin, la divulgation de l’hypocrisie des personnages de 46 à 56. Fidèle à son nom, Renart est rusé et maître manipulateur. En effet, son jeu d’acteur se dévoile à la ligne 1 : “les yeux troubles, la pelisse hérissée” et sa perfidie à la ligne 9 “Renart attendait mieux de son oncle”. Alors que Renart fait à son oncle une proposition réticente, qui est en fait un avertissement masqué, il

(utilisation de la musique notamment)Lady Hurf, metteur en scène [théâtre dans le théâtre], joue la comédie : elle« invente » le personnage du duc de Miraflor pour masquer son ennui.Peterbono, voleur bien maladroit mais entrant petit à petit dans le jeu de L. Hurf.Nombreux procédés comiques : les interventions de l’orchestre (trémolos, marche funèbre…), les réponses embarrassées et répétitives de Peterbono, le nom ridicule donné aux voleurs, le côté faussement tragique de la situation…Lord Edgard,

sens entendu par Aristote. Le rideau se lève sur une chambre « style Louis XV », où deux femmes discutent. L’une des deux femmes est habillée en bonne et habille l’autre femme d’un style plutôt bourgeois, avec de grands gants et une belle robe. D’apparence, cela ressemble tout à fait à la scène de confidence, scène de prédilection dans les tragédies, citons par exemple Acte I, scène 4 du Phèdre de Racine où Phèdre se confie à Oenone. Le lecteur lui voit le jeu des deux sœurs mais pas le spectateur

Matheson, a écrit les nouvelles présentes dans ce recueil à des âges différents, “Paille humide “ à l’âge de 26 ans (1952), “Appel longue distance“ à 27 ans (1953), “J’veux voir le père Noël “ à 31 ans (1957) “Au bord du précipice“ à 32 ans, et “Le jeu du bouton“ pour ses 44 ans (1958). Ce n’est quand 1958 qu’il publiera le recueil de nouvelle “Au bord du précipice“. Ce n’est pas sa première publication de recueil, en 1956 il avait déjà publié “La poupée à tout faire“. La cause de l’écriture de ce

se donnait l'air d'un rustique, d'une culture rudimentaire [...] mais sous ses airs débonnaires, le champion engagé dans une lutte sans merci " De Gaulle n'est pas dupe -> Staline veut impressionner De Gaulle : impression de jeu de théâtre scène tragi-comique : lève son verre 30 fois p99 : " il leva son verre en l'honneur de la France, qui avait maintenant des chefs intraitables " ( cf. De Gaulle) p 99 => discours Staline b-un adversaire à la mesure de De Gaulle -> obstacles à la signature