Je Ne Suis Ni Grec Ni Athénien Mais Citoyen Du Monde

I) L’origine de la civilisation occidentale * La double Origine : Le monde Grec et origine judéo-chrétienne. Problème de l’unité : deux origines complètement opposées, notamment sur le plan religieux. Extrait de la Bible : chapitre 17 verset 16. Comment faire la synthèse de ces deux origines ? * Le monde grec (8°avt JC ; 5) : -polythéisme, polythéisme profondément politique le devoir d’un citoyen athénien et de reconnaître ses dieux, de les prier pour la sécurité de la cité (car

exercer une autorité politique, à conduire les affaires de la cité. Si les Grecs sont à l’origine de la Polis conçue comme une communauté de citoyens — ils ont inventé tant le mot que la chose elle-même —, ce sont les Romains qui, par leur pratique des institutions, ont donné corps à la notion de citoyenneté. Mais, dans l’Antiquité, le citoyen, contrairement au citoyen des époques révolutionnaire et contemporaine, ne peut être confondu avec le résident de la cité : la raison en est que le corps civique

cette construction politique élaborée. Il semble ainsi que les États proche-orientaux ont forgé la quasi-totalité des formes et structures politiques. Pour autant si le politique est certes un objet bien établi, il ne s'agit en aucun cas d'une pensée ni d'une théorie politique. : « jamais le mythe, la loi, la coutume dans leur ensemble ne deviendront objet de débat explicite, parce qu'elles continuent à relever du sacré, et du sacré seul »11. Les hommes d'États proche-orientaux se préoccupent avant

l’émergence de la république à Rome. Ce chamboulement dans les institutions de l’époque ouvre la voie à une catégorie de la population dont les intérêts restaient reclus jusqu’alors : la plèbe, qui regroupe cette partie de la population qui n’est ni esclave ni patricienne. Cette population, en menant sécession, fait valoir les premières aspirations démocratiques de Rome. Nous allons nous interroger sur les conséquences de l’influence de la plèbe sur les premières années de la république et sur ses actions

disciple de Socrate. Platon est le principal philosophe qui a permis à l' enseignement de son maître (qui n'a laissé aucune trace écrite, d'être transmis aux générations futures jusqu'à l'époque contemporaine. Platon va méditer sur l'instabilité du monde sensible et les apparences. Il créa une école l'Académie,sur le modèle pythagoricien. Nous nous demanderons quelle influence Platon a t-il eu sur la cité grecque d'Athènes et postérieurement sur notre société. Pour commencer, nous étudierons la

achevée par la défaite d’Athènes. La culture grecque athénienne se trouve vaincue. On aurait pu croire que l’histoire serait sauvée par Alexandre le Grand, mais ses successeurs ne savent pas maintenir l’empire qu’il a formé et la Grèce est perdante au change. La Grèce entre dans l’obscurité, son temps est achevé et laisse la place à l’ère romaine. L’épicurisme, le scepticisme, le stoïcisme seront des réponses à cette déréliction. L’homme grec est privé de son cadre : la polis. Il est perdu. La question

INTRODUCTION AU VOCABULAIRE JURIDIQUE Séance de TD : le monde diplomatique 39 euro 1an/ 12 num au lieu de 54 courrier international 6 mois 28 numéro + 2 hors series 59euro ( au lieu de 90) 1 - Intro 2 - La théocratie 3 - La loi 4- La citoyenneté 5 - Les régimes politiques. 6 - L'Etat. 7 - Les sources du droit. 8 - La justice. 9 - Les moyen de droit : la peine et la preuve. 10 -La famille. La haute antiquité : la mésopotamie, l'Egypte ancienne, la grece antique, rome. Institutions

PANÉGYRIQUE DE TRAJAN, PLINE LE JEUNE ; ÉLOGE D’HÉLÈNE, ISOCRATE Le panégyrique de Trajan de Pline le jeune, et L’éloge d’Hélène d’Isocrate, quoiqu’ils soient, pour l’un, grec, pour l’autre, romain, et séparés par trois cents ans d’intervalle, présentent des similitudes marquantes tenant à leur format commun. Plus encore que le souci du style, en effet, c’est la difficulté des éloges et l’habileté, la ressource, les sinuosités qu’ils requièrent, qui rassemblent ces louanges, ouvragés de telle façon

Homère (en grec ancien Ὅμηρος / Hómêros, « otage » ou « celui qui est obligé de suivre »[1]) est réputé avoir été un aède (poète) de la fin du VIIIe siècle av. J.-C. On lui attribue les deux premières œuvres de la littérature occidentale : l’Iliade et l’Odyssée. Il était simplement surnommé « le Poète » (ὁ Ποιητής / ho Poiêtếs) par les Anciens. Il est encore difficile d'établir aujourd'hui avec certitude si Homère a été un individu historique ou une identité construite, et s'il est bien l'auteur

politique, doit donc chercher à améliorer ses concitoyens, et ne peut s’en prendre qu’à lui-même s’ils l’oppriment, car alors il aura échoué. Socrate va jusqu’à se dire le seul véritable homme politique, car seul il cherche à rendre meilleur les Athéniens, et à affirmer ne craindre aucune accusation, aucun procès, puisqu’il est parfaitement juste. Quatrième partie : le mythe Socrate achève alors par un récit, qu’il dit croire véridique, et qui annonce un jugement pour chaque âme après la mort