Jansénistes Et Jésuites

réunis autour du futur roi Charles X et qui veulent un retour pur et simple à l’Ancien Régime); Mathilde de La Mole, jeune fille de la grande noblesse parisienne, orgueilleuse, elle tombe amoureuse de Julien par désir d’originalité. L’abbé Pirard, janséniste (adepte d’une doctrine religieuse au XVIIe siècle condamné par le pape pour son rigorisme excessif et persécutée par la monarchie. Aux XVIIIe et XIXe siècles, cette doctrine survit comme courant d’opinion opposé à l’autorité absolue du pape et de

religieuses du début du siècle concernent principalement en France les populations protestantes. Cette situation conduira à la guerre des Cévennes contre les Camisards. De plus en 1709, Louis XIV demande l’expulsion et la dispersion de la communauté janséniste, et la destruction du palais royal, symbole de ce mouvement. Le 17 octobre 1685 au château de fontainebleau Louis XIV signe un édit baptisé la révocation de l’édit de Nantes. Dans la logique de l’absolutisme de Louis XIV, exercice autoritaire du

sont les persécutions religieuses au début du siècle ? • Qu’est-ce que la révocation des l’édit de Nantes ? Où a-t-elle lieu ? Qui en prend la décision ? • Quelles sont les mesures de tolérance prises pendant la régence ? • Qui sont les jésuites ? Les jansénistes ? Qu’est-ce qui les différencie ? . Le domaine intellectuel et artistique : • Qui sont les grands peintres du XVIIIème siècle ? • Qui sont les grands musiciens du XVIIIème siècle ? • Qu’est-ce que l’encyclopédie ? Quel est son

ce détachement progressif des esprits à l’égard de l’Eglise : d’abord les longues discussions théologiques qui eurent lieu au 17ème siècle entre les divers partis religieux, jésuites, jansénistes quiétistes…, avaient entamé peu à peu l’autorité ecclésiastique ; puis les persécutions contre les protestants et les jansénistes avaient fini par révolter les consciences : et enfin la dévotion hypocrite qui envahit la cour dans les dernières années du règne de Louis XVI devait fatalement provoquer une

En effet les considérations et les pratiques religieuses marquent aussi fortement le siècle avec la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV en 1685, qui met fin à la tolérance vis-à-vis des protestants, et le poids des Jésuites et des Jansénistes.  Les écoles jésuites apportent deux éléments essentiels dans la formation du classicisme : le goût humaniste pour les Anciens reconnus comme modèle de beauté et de sagesse, et la psychologie, qui vise à connaître l’homme, à discuter sur lui, mesurer

protestants fuient. En 1685, Louis XIV révoque l'Édit de Nantes, c'est alors l'apogée de l'intolérance religieuse en France. Jésuites et jansénistes La seconde partie du siècle est profondément marquée, dans la vie politique comme dans la vie culturelle par la lutte fratricide que se livrent jésuites et jansénistes. Son enjeu ? La domination idéologique de l'Église.. Les jésuites, jusque là, exerçaient une influence considérable. Cet ordre, fondé en 1540 par Ignace de Loyola, est puissant, très organisé

déporter de leur domicile en cas de trouble. Certains durent donc envisager de fuir. La diffusion des idées des Lumières est certainement aussi un facteur de motivation pour prêter ou non-serment. La présence d’un nombreux clergé gallican et janséniste dans le Bassin Parisien est pour certains une des raisons pour lesquelles le serment a eu beaucoup de succès dans cette région. II. Une époque imprégnée des idées des Lumières. A. Deux points de vue divergents. D’inspiration gallicane, la

c'est-à-dire que ce mouvement littéraire apparait pendant le règne de Louis XIV. C’est pendant la monarchie absolue. Dans le contexte religieux : il y a des nombreuses poursuites aux protestants mais la plus importante c’est celle des jésuites aux jansénistes. Dans le contexte intellectuel : Richelieu fonde l’académie française pour que le rayonnement du pouvoir royal monte avec les nombreux artistes qui apparaissent, Louis XIV continue aussi à faire plusieurs d’autres académies. Les auteurs

(Harvey) ; Pascal s’interroge sur la place de l’Homme dans ce grand tout opposition entre nature humaine et nature animale (Descartes), l’homme se distingue de l’animal car il est capable de parler problème de la grâce divine : cœur des débats (Jésuites vs Jansénistes mais aussi dogme de la prédestination chez les Calvinistes) : les possibilités de la nature humaine sont mises en question (ex. : Pascal dans Les Pensées présente l’Homme comme misérable sans la présence divine) idéal du savoir-vivre : l’honnête

Biographie : Corneille : (17éme siecle) Fils de la haute bourgeoisie de robe, Pierre Corneille fait de brillantes études chez les Jésuites et exerce la charge d'avocat général à la table de marbre du Palais pendant vingt ans. Il se fait d'abord connaître et apprécier grâce à ses comédies tel Mélite en 1628. Il est ensuite remarqué par Richelieu qui lui verse une pension. Cette association s'achève avec Le cid qui vaut à Corneille la gloire nationale et inaugure une série de chefs-d'oeuvre.