Isonomie

seulement les citoyens (regroupés en tant qu’Ecclésia ≈ 40 000 citoyens) qui décident de la vie politique. L’Ecclésia vote les stratèges, les lois et l’ostracisme (citoyens exclus). Les héliées sont les juges qui suivent la loi qui assure l’égalité = isonomie. Il existe une indemnité journalière appelée misthos, permettant aux citoyens d’abandonner leur travail en gardant l’argent (même si le misthos est bas). C’est une démocratie qui est donc bien organisé, égalitaire (tout le monde peut participer

selon l’expression platonicienne. Mais celle-là (c’est-à-dire l’injustice) est plus immédiatement reconnaissable, dès qu’elle contredit radicalement les principes « structuraux » de la nature humaine : dignité de la personne, autonomie ou liberté, isonomie ou égalité, etc.. Il nous est maintenant permis de conclure. Si la distinction du juste et de l’injuste n’est pas inscrite dans l’ordre objectif de la Nature ou de l’Être, si elle ne peut pas être lue dans « le ciel étoilé au-dessus de moi »

auquel tous peuvent se référer. La crise économique qui touche ensuite Athènes, au début du VIe siècle av J.-C., accélère le déclin de l'aristocratie. Un autre législateur, Solon, supprime l'esclavage pour dette et impose l'égalité devant la loi (isonomie = égalité des citoyens devant la loi.) des citoyens athéniens. A la fin du VIIe siècle av J.-C., la tyrannie établie pas Pisistrate clôt la période aristocratique: c'est au nom du dêmos que le tyran concentre tous les pouvoirs entre ses mains. En

piliers : -Egalité devant la loi -Egale participation (plus un devoir qu’un droit =>démocratie direct . de nos jours Référendum ) -Liberté d’opinions Ces 3 points ne valent que pour les citoyens (donc pas les femmes, les esclaves, les étrangers) Isonomie (politique est l’œuvre essentielle de Clisthène qui la met en place par les réformes en 508 et 507 av. J.-C-régime qui garantit la non domination=> donne la domination au peuple) les opposants (Aristocratie=> Elites gouvernent car peuples trop cons)

ploutocratie Rome : république : gouvernement de nature aristocratique (509 av JC) : noblesse sénatoriale qui va avoir le pouvoir politique C) Le gouvernement du plus grand nombre Hérodote : on lui doit le concept du gouvernement du plus grand nombre : isonomie : idée d’égalité dans l’accès au droit et plus généralement dans l’accès aux charges publiques Démocratie : apparue au milieu du 5° siècle av JC : démos : le peuple : l’exercice du pouvoir par le peuple, souveraineté populaire Pour Platon : sévère

Rome : république : gouvernement de nature aristocratique (509 av JC) : noblesse sénatoriale qui va avoir le pouvoir politique C) Le gouvernement du plus grand nombre Hérodote : on lui doit le concept du gouvernement du plus grand nombre : isonomie : idée d’égalité dans l’accès au droit et plus généralement dans l’accès aux charges publiques Démocratie : apparue au milieu du 5° siècle av JC : démos : le peuple :kratein gouverner l’exercice du pouvoir par le peuple, souveraineté populaire

obéissent à leur propre loi, sont autonomes. Idéal de liberté/égalité, reconnaissance de Sparte Aristote isonomie, iségorie (égalité de la parole) garantit la démocratie Liberté du citoyen, politique, égalité relative Idée d'autonomie est conçue comme un but et un moyen de la démocratie reposant sur la liberté et l'égalité. Division systématique du pouvoir attribué au peuple, isonomie et tous les pouvoirs sont limités, confiés à plusieurs personnes car dès cette époque, les grecs ont observé

il y a moins de liberté. Le problème de ce royaume est la gestion de l’eau : il leur manque la vie de cité). Hérodote a donc différencié les gens de la cité et les barbares. Il a définit 2 concepts importants des caractéristiques de la cité : - Isonomie (égalité devant la loi). - Iségorie (égalité de parole). Ces concepts sont seulement valables pour les citoyens. Il va donner une première définition de la cité : c’est l’espace commun où sont régies les affaires des Hommes et des Dieux. Les

d’abord la conformité à la loi : est juste ce qui est conforme à la loi. Mais que vise alors la loi ? Celle-ci vise précisément la justice comprise d’abord comme égalité de chacun, de chaque citoyen, devant la loi, ce que les Grecs appellent l’ « isonomie » : tous sont également soumis aux lois. La loi est donc juste en tant qu’elle garantit une égalité politique, de chaque citoyen devant la loi. Or, en garantissant ainsi la justice ou l’égalité politique, la loi établit par là-même l’ordre et la

comme le dit Claude Lefort la « dissolution des repères de la certitude ». Ainsi, la politique marque, comme l’explique Jean-Pierre Vernant, le règne du « nomoς βasileuς » ou de l’empire du droit dans la cité, qui consacre l’égalité devant la loi (isonomie). 1.2. Sciences sociales, sciences politiques (1) • 1.2.1. Epistémologie de l’objet : fait social ? fait politique ? – Il n’existe pas une et une seule science politique, mais des sciences politiques multiples et distinctes. Le mot « politique »