Irène Théry

entp. Pôl natalistes (allocs fam, …). La baisse de la fécondité (ISF europ = 1,5): causes: elle débute en 65, aggravation de la situation sur le marché du L, sentiment d'insécurité durable, crise du mariage (mais naissances hors mariage impttes, Irène Théry dit que les couples concubins ont les mêmes pratiques sociales que les mariés et que c'est une période transitoire qui dure dc plus lgtps qu'auparavant), progrès de la contraception, gonflement des classes moyennes dc diffusion de l'idéal de la

Le droit ne faisant plus de différence entre enfants légitimes et enfants naturels, la situation de ces enfants est semblable et la naissance hors mariage n’entraîne pas réellement de différence dans l’éducation et la vie des enfants. Ainsi, Mme Irène Théry souligne qu’ « aujourd’hui, toutes choses égales par ailleurs, on estime que les modes de vie familiaux, les modes de consommation, les modes d’éducation des enfants ne présentent pas de différences significatives selon que les parents sont ou non

éthiques L'anonymat du don de gamètes pose de nombreuses questions relatives aux origines et à la filiation sous un angle social, symbolique et génétique. Plusieurs prises de position s'entrecroisent. Nous pouvons citer celle de la sociologue Irène Théry qui s'est prononcée en faveur de la levée de l'anonymat des dons d'engendrement[]. Ou au contraire, celle de l'anthropologue Françoise Héritier pour qui «la filiation biologique est une hérésie, il n'y a de filiation que sociale.» Enfin, une toute

enfants naturels c'est-à-dire issus de parents non mariés. Dans les recompositions familiales, le père « géniteur » n'est pas forcément le même homme que le père légal, qui n'est pas forcément non plus le père qui assure l'éducation de l'enfant. Selon Irène Théry8(*), sociologue et juriste, les enfants peuvent avoir plusieurs pères : des pères légaux et des pères de faits. Je ne suis pas d'accord avec cela. Pour moi, un enfant n'a qu'un seul père. Les autres sont des substituts. Il existe cependant des

grossesse. Ex : aujourd’hui le législateur semble rechigner à employer le terme « divorce », en effet ce terme fait référence à un échec donc on privilégie aujourd’hui des expressions moins connotées « démariage » (expression de la sociologue Irène THERY) ou « cessation anticipée de mariage » Aujourd’hui le terme « parentalité » est apparu en droit de la famille étant à se substituer au terme « parenté » pourtant la « parentalité » n’est pas un terme juridique, c’est plutôt le fait de se comporter

direction commerciale France Renault BONNETON Sébastien • Relation investisseur IR Team GDF BRIANÇON Valérie • Responsable de l’agence Comnsport, communication horsmédia et événementiel par le sport CERISOLA Nicolas • Diplôme ESCOM De BRETEVILLE Irène • Attachée parlementaire FAVERAUX Stéphane • DEA lettres, littérature et civilisations classiques et modernes, concepteur-rédacteur GARNIER Florence • Diplômée ISG, gérante agence Marketing Efficiency GUÉRIN Serge • Doctorat sciences de l’information

au champ de la vie   privée   et   de   l’autonomie   de   la   volonté   des   individus,   qui   y   voient   donc   une   « affaire personnelle » échappant aux exigences du « principe  d’ordre  collectif ». Le couple, écrit la sociologue Irène THÉRY, « se trouve désormais fondamentalement responsable de sa temporalité. Lui accorder sens suppose de penser la vie commune comme  un  itinéraire  partagé,  une   conversation   continuée,  sous   l’égide  de  la   liberté  sans   laquelle   il

et les années 2000 (exemple : le concubinage devenu un phénomène important). Au regard de ces raisons, il a donc fallu réformer le droit de la famille. Ces réformes ont été précédées de réflexions. Deux rapports ont été publiés en 1998 (par Irène Théry) et 1999 (Françoise Dekeuwer-Defossez). Ce mouvement a conduit a plusieurs lois : la loi du 15 novembre 1999 qui a introduit le PACS. Puis la loi du 3 décembre 2001 qui apporte les réformes du droit des successions. La loi du 4 mars 2002 sur l’autorité

Larousse donne la définition du demi-frère : « frère de même père (frère consanguin) ou de même mère (frère utérin) seulement » mais il ne donne pas encore la définition de quasi-frère. Ce terme est utilisé dans le langage sociologique, notamment par Irène THERY qui s’en sert pour désigner des enfants élevés par un même couple sans partager de lien de sang.[24] Pour ma part, j’entends par fratrie l’ensemble des frères et sœurs qui partagent un vécu fraternel comme dans cette citation de Monique CANTO

2010, panor. p. 1250. 29 (29) S. David, obs. préc. (note 10), in AJ famille 2009, p. 452. 30 (30) A. Colomer, Les régimes matrimoniaux, 12e éd., Litec, 2004, no 141, où l'auteur cherche à définir la notion plastique d'intérêt de la famille. Adde, R. Théry, « L'intérêt de la famille », JCP, G, 1972, I, 2485. 31 (31) V. Egéa, obs. préc. (note 10), in D. 2009, AJ, p. 2489. 32 (32) V. Larribau-Terneyre, note préc. (note 10), in Dr. famille 2009, comm. no 150, p. 20. 33 (33) V. toutefois J.-C. Montanier