Indice de Shannon

successivement ci-apr•s. Dans la conception statistique ou mathŽmatique (Brilloin, 1971; Shannon et Weaver, 1949), l'information est une donnŽe quantifiable dont l'intŽr•t rŽside dans la frŽquence d'occurrence. Une sŽparation nette est ici faite entre le contenu et le contenant de LÕinformation. La prŽoccupation porte exclusivement sur l'aspect physique de lÕinformation. Une telle conception est notamment vŽhiculŽe par Shannon et Weaver (1949) qui soutiennent que le concept d'information n'a rien ˆ voir

lieu à des interprétations ou à des représentations dont les significations sont très différentes. La première acception est la plus étroite au niveau des sens. Elle ouvre à la théorie de l’information formulée en 1947 pour la première fois par Shannon et Warren Veaver. Cette théorie est mathématique et est relative à la mesure et à la transmission des signaux électriques. Cette mesure et physique, quantitative et statistique. Elle ne prend pas en compte le mot information qui signifie mettre en

chercheur à l’UM1 : les comportements dirigés vers un but sont régulés par deux boucles de feedback15. Une indique la distance qui les sépare du but à atteindre, l’autre indique la vitesse de progression dans l’atteinte de ce but. Les affects sont des indices qui régulent les comportements en termes d’effort à fournir, de relâchement à s’autoriser, de gestion des priorités. Les comportements peuvent obéir à deux sortes de contrôle : planifié et lent qui est ordonné par le cerveau ( top-down) ou bien spontané

- permet à l’information de prendre une signification. Ex. : Raconter ses vacances à quelqu’un. II. Les composantes de la communication Modèle de Shannon Modèle de De Vito, Chassé et Vezeau  [pic] À l’origine, la communication a été envisagée comme un processus simple mettant en relation 3 éléments de base (modèle de Shannon) : un émetteur envoie un message, au travers d’un canal vers un récepteur, dans un contexte perturbé de bruits. Ex. : - le canal ou voie de communication

. . 5.8.1 Th´eories logiques de l’intention . . . . . . . . . . . . . . . . 5.8.2 La th´eorie de l’action rationnelle de Cohen et Levesque . . . 6 Communications 6.1 Aspects de la communication . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.1 Signes, indices et signaux . . . . . . . . . . . . . . 6.1.2 D´efinition et mod`eles de communication . . . . . 6.1.3 Cat´egories de communication . . . . . . . . . . . 6.1.4 A quoi sert la communication? . . . . . . . . . . . 6.2 Les actes de langage . . .

l'ENIAC le dernier grand calculateur avant l'ordinateur. Invention du transistor par Bardeen, Brattain et Shockley aux laboratoires Bell. Le Manchester MARK1, premier ordinateur construit sur le plan de von Neumann. Le mathématicien américain Claude Shannon publie sa théorie mathématique des communications et introduit l'acronyme bit (BInary digiT) pour désigner le plus petit élément d'information. Invention de l'assembleur, langage de programmation de bas niveau. Le UNIVAC 1, premier ordinateur commercial

les ressources du sujet. La première partie du livre, rédigée par Gérard Salem, traite de la théorie et de la pratique de l’hypnothérapie. Au survol historique succèdent quelques explications concernant l’état hypnotique, puis la description des indices auxquels on le reconnaît, des moyens de le provoquer, d’en faciliter l’éclosion spontanée ou de « l’accompagner », de l’art de l’utiliser dans la relation thérapeutique, en tenant compte de ses atouts comme de ses limites. La deuxième partie de

des sciences sociales? On sait que I'auteur, Ingenieur-docteur en Sciences physiques a voulu appliquer au champ de la communication des methodes de formalisation empruntees au:x algorithmes mathematiques, tout comme l'ont fait les cyberneticiens Shannon et Weaver. La publication chez un editeur de sciences « dures », et dans une collection dirigee par les Telecommunications, contribue a inflechir negativement la reponse. Mais la preface d'Edmond Lisle maintient l'ambiguite du rapport Sciences-Technique-Societe

deux approches d’extraction sont par nature très différentes. Dans l’extraction de texte, les segments textuels clés (le plus souvent les phrases entières) sont identifiés par un ensemble de critères statistiques, de position, de présence de mots indices ; la génération du résumé est essentiellement une affaire d’assemblage avec par exemple un ordonnancement des phrases respectant la résolution des anaphores. Dans le document source, les phrases ont généralement des relations entre elles qui permettent

Moráva bulgare et la Margà lituanienne. Les plus notables des prolongements asiatiques sont le nom de l’Avantī indienne, qui correspond aux Avance, etc., et celui de l’Indus, vieil-indien sindhu-, apparenté à celui du Sinn affluent du Main, et du Shannon irlandais ; mais leur faible proportion montre qu’il ne s’agit que de l’application de noms anciens à de nouveaux cours d’eau. Le statut privilégié de l’hydronymie s’accorde avec la théorie de Boettcher (1999) selon laquelle les premiers Indo-Européens