Inconsciente

pensées inconscientes, refoulées par la conscience, laquelle ne voudrait pas penser certaines choses. Certaines maladies produites par ces refoulements montre la nécessité de supposer l’existence d’un inconscient de nature physique. Selon Freud l’inconscient, est une entité psychique autonome intérieur à chacun et inaccessible à la conscience. Le sujet y refoule des images et des idées qui correspondent à ses pulsions inconscientes. Ainsi il existe en chacun de nous des processus inconscients qui

par nuit, c’est la première fonction du sommeil. - Le conscient rejette l’inconscient. Dans une thérapie freudienne, les rêves deviennent importants et il apparaît alors une ornirothèque (collection de rêves). Cet inconscient dit qu’on est dirigé par des forces inconscientes, tout en s’en rendant compte. Quel est le sens de la vie ? C’est nous qui en donnons un sens. Psychanalyse freudienne : Thérapie où on travaille ; association d’idées. Les comportements (comportementalisme mieux que la

deux ans, le moi (principe de réalité) se forme vers 2 ans, suivi par le surmoi (principe de morale) vers 4-6 ans. Nos comportements sont dirigés par les pulsions et les traumatismes de l’enfance (inconscients). Ces trois instances sont en lutte perpétuelle, le ça exprimant des pulsions (inconscientes) que le moi doit réprimer ou satisfaire en fonction des circonstances. Le moi joue un rôle de régulateur des conflits intrapsychiques (équilibre) sinon l’angoisse risque d’envahir l’individu et se

L’homme est-il un sujet rationnel, conscient, libre, maître de lui-même et de ses actions, ou, au contraire, est-il un être de pulsion et de désirs déterminé par la partie inconsciente de son psychisme ? L’homme, selon Freud, est un être de pulsion et de désirs déterminé par la partie inconsciente de son psychisme. En effet, les principaux facteurs influant sur le comportement sont les pulsions de nature sexuelle (pulsion de vie) et agressives. La personnalité, selon Freud, est constituée du Ça

Aperçoit-on bien toutes nos pensées ? C ) Sait-on vraiment toujours à quoi on pense ? 1 ) Des pensées inaperçues. 2 ) Le caractère superflu de la conscience réflexive. III ) PEUT-ON PARLER D'UNE PENSEE INCONSCIENTE ? A ) Peut-on fonder l’hypothèse d’une vie psychique inconsciente ? B ) La structure de la vie psychique. IV) LA CONSCIENCE MORALE. A ) La voix de la conscience. B ) Qui parle ? INTRODUCTION La notion de conscience a toujours intéressé la philosophie, car elle

qu’avec l’hypothèse de l’inconscient, un soupçon est porté sur le sujet : loin d’être le principe de lui-même, il est dénoncé comme étant l’effet de phénomènes qui lui échappent, les processus inconscients. Affirmer à partir de l’hypothèse de l’inconscient qu’une part essentielle du psychisme est inconsciente revient à affirmer que des émotions, des sentiments, des désirs, des raisonnements sont éprouvés par le sujet sans le savoir, laissant l’organe de l’autonomie du sujet – la volonté – sans aucun

montrent que l’obsession de Marie a un sens mais que ce sens lui est difficilement accessible dans la mesure où le symptôme obsessionnel dont elle souffre a pour fonction de lui éviter la reconnaissance et la confrontation avec des sentiments inconscients inadmissibles pour sa conscience morale. Lors de notre premier entretien, Marie m’explique longuement ce qu’elle ressent. Elle a toujours peur qu’il arrive quelque chose à son fils mais surtout qu’il prenne froid et tousse. Comme elle redoute

Voici pourquoi l’hypothèse de l’inconscient est légitime selon Freud: “On nous conteste de tous côtés le droit d’admettre un psychique inconscient et de travailler avec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et légitime, et que nous possédons de multiples preuves de l’existence de l’inconscient. Elle est nécessaire, parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l’homme sain que chez le malade, il se

Par exemple dans « l’avenir d’une illusion » (de Freud) il raconte l’histoire d’une femme obsédé par le lavage des mains (c’étais pour elle une pulsion elle ne pouvait pas résister) qui était l’expression symbolique d’un désir de pureté d’origine inconsciente (le désir refoulé réapparaissant de manière angoissante), elle n’était donc pas responsable de son obsession du lavage des mains car elle n’avait pas conscience de son origine. On peut prendre aussi en exemple l’histoire du petit Pierre qui avait

sur ce que l’on fait ou dit n’est pas aussi complète/ totale qu’on le voudrait. Chacun peut perdre le contrôle de ses actes. Le comportement humain ne se ramène pas qu’à des choses conscientes. 1. Les fondements théoriques : les déterminismes inconscients. 1.1. La psychanalyse freudienne. Freud a suivit une formation en médecine et devient docteur en 1881. Issu d’une famille modeste de vienne, la situation sur le plan matériel n’es pas garantie. Il a commencé à exercer sa médecine sur des