Impasse Du Doha

à l’agonie ................................................. 114 Épilogue .................................................................................................................................................... 116 Chapitre 9 - Les impasses de la crise actuelle ........................................................................................... 119 Quel dénouement pour la crise actuelle ? ......................................................................................

Analyses beaucoup plus récentes : Du 20 E sicle : meilleur représentant français de cet analyse : Badie. Ce sont des analyses qi remettent en cause les principes qui prévalaient dans les analyses précédentes au nom des impasses de celles-ci Pourquoi les impasses ? Première impasse  On croit que se sont les relations politiques qui dominent les relations économiques. En fait c’est le contraire. La puissance de l’état est largement battue en brèche par plusieurs acteurs et en particulier par rapport

celle des priorités se sont modifiées, et l’annulation des assemblées du FMI et de la Banque mondiale, en septembre 2001, a privé les opposants à ces institutions d’une occasion de mobilisation. De même, lors de la réunion ministérielle de l’OMC à Doha, les mouvements contestataires ont semblé marginalisés. Il est possible que le choc désarme durablement les formes violentes de la contestation. Mais il nous paraîtrait hasardeux de parier sur la démobilisation des oppositions que suscite la mondialisation

croissante attachée à la relation entre commerce et développement. Cette relation figure désormais en bonne place dans l’agenda international, que ce soit au titre des négociations conduites dans le cadre de l’Organisation mondiale du commerce (cycle de Doha) ou au nom du consensus de Monterrey . Cette relation est toutefois ambivalente car elle est également le lieu de tensions et de vives récriminations comme l’illustrent, par exemple, les débats autour de l’impact des subventions que les pays développés

puissance des voisins). On voit que ceux-ci ont une vision unilatérale ( à sens unique) du commerce internationale, une visions nationaliste : les gains de la nation se font sur l’affaiblissement des autres nations. Cette vision conduit à une impasse qui sera détruite par Adam Smith dans son livre « la richesse des nations » en 1776, Il dit qu’il n’est pas possible qu’un pays soit toujours en déficit et que d’autres se fassent du blé sur le dos des autres nations. Ce sont les exportations qui

80 par les crises du $. 3   - Stratégie et militaire à Perte de puissance couronnée par o Défaites militaires : § Vietnam ; § Somalie ; § Iran : 78 – 79 : révolutions islamistes + échec « Two Pillars » (Arabie Saoudite + Iran) Impasses stratégiques : § Afghanistan : stratégie Afpac + COIN : insurgés = Talibans, idée = favoriser le bon accueil des GIs auprès population à dégager un sentiment de pacification à échec insurgés § Iran : Two Pillars o - Mais une puissance…

quitte à les aggraver. D'un côté, cette évolution présente des dangers : elle redonne un rapport de force plus favorable aux grands pays industriels et marginalise certains pays en développement. D'un autre côté, elle permet de contourner certaines impasses de l'OMC liées, notamment, à la pratique du consensus et au comportement de "passager clandestin" des pays membres. 1. Introduction De quoi parle-t-on exactement l suo éou l acrséi ax Dans la terminologie o q’n vqee cod r o u ? r s

 Sur le commerce mondial et le protectionnisme Les membres du G20 s'abstiendront d'introduire et s'opposeront à toutes les formes de mesures commerciales protectionnistes et reconnaitront l'importance d'une prompte conclusion des négociations de Doha. Le commerce et la libéralisation de l'investissement faciliteront une croissance forte, durable et équilibrée et doivent être complétés par notre engagement inébranlable à résister au protectionnisme sous toutes ses formes. Sur les déséquilibres commerciaux

Multilatéral sur les Investissements", préparé par l'OCDE, qui achevait de subordonner les gouvernements des États membres aux desiderata financiers et juridiques des investisseurs internationaux. Le piétinement du cycle de négociations OMC dit de "Doha" encore que ce soit à double tranchant. Et, peut-être, la décision de certains pays émergents désendettés de se passer des services trop contraignants du FMI, ainsi que les projets latino-américains de banque régionales. 8 – Ce schématisme

mondiale. La fin du XXè pourrait être en 1990 avec la chute du communisme soviétique. C’est le siècle des grandes idéologies et de leur échec politique. Il pourrait sinon avoir fini lors de l’attentat du 11 septembre 2001. Lors de la conférence de Doha (capitale du Qatar) en novembre 2001, la Chine adhère à l’OMC. Evènement important : la Chine a connu une croissance de 10% depuis 34 ans. A partir de 2001-2002, elle prend une place dans l’économie mondiale. Le XIXe siècle était le siècle de l’Atlantique