Imago

actions enchâssées. * La théâtralisation générale de la vie et de l’art qui caractérise l’âge baroque induit le théâtre à se mettre en scène lui-même. Au XVIIème siècle, théâtre = moyen de représentation de la nature, comme un miroir du monde (imago mundi). Ambition du dramaturge = réfléchir dans tout ou partie de chacune de ses œuvres l’une des facettes du monde. Or, les contemporains perçoivent le monde lui-même comme un théâtre : réfléchir le monde n’est donc rien de plus que réfléchir le théâtre

inconscients. C'est encore un processus diachronique, qui participe à la découverte des relations transférentielles et de la métonymie et de la répétition dans le transfert. La psychanalyse entame particulièrement ce qu'il en est de ses idéaux et de ses imagos, ainsi que de ses déterminismes psychiques, au point d'être assez salutaire en matière de complexe narcissique. Si bien que la psychanalyse est une méthode d'introspection et d'analyse de sa psyché qui favorise une meilleure compréhension et appréhension

l’interprétation. Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 86.198.75.66 - 01/12/2011 17h32. © De Boeck Université Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 86.198.75.66 - 01/12/2011 17h32. © De Boeck Université Le terme image – tiré du latin imago – désigne la représentation visuelle d’un objet. Nous savons que l’image est polysémique, que sa signifiance est toujours contextuelle et subjective. Quand on se réfère à l’image, on pense à l’acte du regarder ; ainsi un objet entre dans notre champ

qui nous est toujours familier et reste indémodable. Présent à toutes les époques, il a adopté tous les styles, il s'est frotté à toutes les techniques, à tous les médiums, à toutes les actualités. Evoquons, pour mémoire, ses origines funéraires (imago : moulage en cire du visage des morts), rappelons d'autres mythes fondateurs de notre culture occidentale chrétienne : Dieu créant l’homme « à son image », ou encore le Saint Suaire tendu au Christ par Véronique – la vera icon... N'oublions pas que

105-106, 1994, p. 153-179. Corbeil J.-C., « Essai sur l’origine historique de la situation linguistique du Québec », in A. Valdman et al., Le Français hors de France, Paris, Honoré Champion, 1979, pp. 21 – 32. Durand M. Histoire du Québec, Paris, Imago, 1999. Lavoie T., « Le Français québécois », in P. Gauthier et T. Lavoie, Français de France et Français du Canada. Les parlers de l’Ouest de la France, du Québec et de l’Acadie, Lyon, Centre d’études linguistiques Jacques Goudet, 1995, pp. 345

deuxième puissance dont parle Merleau-Ponty et qui ne cache aucun tempérament double. Pour restituer toute sa complexité à l’image, il suffirait d’ailleurs de faire retour sur la richesse de ses racines étymologiques. Image est un calque du latin imago qui désigne en propre une imitation matérielle, en particulier les effigies des morts. La complexité du vocabulaire grec de l’image « eidolon » révèle ce qu’elle suscite selon qu’on privilégie certains traits définitionnels ou fonctionnels ou pas :

possédant le langage ». De ce qui précède, il en sorte que la capacité linguistique semble n’appartenir en propre de l’homme et le distingue de tous les autres vivants.  2. Image Du Latin « imago  » qui veut dire la représentation. La notion d’image à un sens plus large. Elle évoque analogiquement une chose, avec ou sans support matériel. D’une part, l’image engage la représentation, tant dans le champ d’une théorie bien construite

relations et cohérence, moyen âge ( des relations/systèmes pareilles lui manquent ( c’est son intérêt avec la technique générique qui lui donne un tel système Auguste Comte[4] : - deux chapitres commencent avec une citation de lui (p.68/155) 3) imago dei : Bible : l’homme crée à l’image de Dieu ( LPE clonage - épilogue/fin :narrateur = espèce post-humane ; seule solution et même « rédemption »[5] est la création d’une espèce post-humane ( clone de la nouvelle espèce= intelligente, immortelle

Smirgel retrouve de commun dans les deux sexes. Elle évoque elle-même Stoller1 pour dire, avec lui, que le refus du féminin serait la peur de l’attraction de la féminité primaire, de la symbiose primitive avec la mère, de l’intériorisation d’une imago maternelle terrifiante (n’est-ce pas l’attraction des refoulements originaires décrits par Freud en 1925 que nous retrouvons ?)2. L’identification primaire à la mère que nous avons vue chez Sami l’empêcherait d’accéder à la virilité, la dissociation

investi des imagos maternelles et paternelles. L’imago étant défini comme le reflet, resté inconscient de la relation de l’enfant à ses parents. La régression est un retour vers une position antérieure, à un stade antérieur de l’individu. Les imagos Les imagos maternelles : ce sont des traces d’un vécu fusionnel où le sujet et objet étaient confondus et qui s’inscrivent dans l’inconscient : on parle de relation d’objet primaire, de narcissisme primaire, de moi idéal. Les imagos paternelles :