Ignacio Ramonet Le Krach Parfait

Trésor, à Washington, vingt-cinq millions. Il les offre à la bourse à des taux raisonnables. (...) Cette chute résonne dans un ciel d'été. Pour faire face à la nouvelle situation créée par ce krach, les spéculateurs anglais font revenir d'urgence leurs fonds, leur or, leurs valeurs d'Amérique." - Le krach de Wall Street "(...) Les patrons, enthousiasmés par ces hauts rendements, demandent à leurs ingénieurs d'inventer des machines toujours plus rentables. La prospérité est liée, pensent-ils

citer celle de 1929, 1987, 1998, 2000-2003 et de 2008. Avec le développement des moyens de communications et des nouvelles technologies ainsi que la mondialisation, toutes les économies sont liées les unes aux autres. RAMONET postule dans son ouvrage intitulé « le krach parfait » que «  Le capitalisme connaît en moyenne une crise grave tous les dix ans. Mais un séisme économique d'une aussi forte intensité que celui de L’automne noir 2008, il ne s'en produit qu'un seul par siècle. ». Quelle

importante. Dans ce contexte, on assiste à une multiplication de conflits d’origine ethnique et religieuse entre les composantes d’un même Etat. Parmi ces conflits de la fin des années 90 : la Tchétchénie, le Rwanda, l’Afghanistan, … Comme le note Ignacio Ramonet dans son ouvrage « géopolitique du chaos » : « La plupart des conflits en cette fin de siècle sont des conflits internes, intra-étatiques, qui opposent souvent un pouvoir central à une fraction de sa propre population. » A ces conflits vient s’ajouter

Fleury (1834). - Palm House de Kew Gardens (1848). - Cristal Palace de Paxton (1851). * Béton : - En 1945, explosion démographique et choix délibéré d'un développement matèriel concernant rapidement le plus grand nombre : recherche de solutions parfaites et universelles, efficaces et de haut rendement, faciles et rapidement applicables et normalisables. - De 1955 à 1970 : 4 millions de logements collectifs, soit 270.000 par an (le double de la construction actuelle) - La climatisation de la même

capitale de la zone contrôlée par le PCC) durant l’été 1946 avec la journaliste américaine sympathisante communiste, Anna Louise Strong. Dans la première partie de l’extrait, la lecture de la situation américaine faite par Mao témoigne d’un parfait dogmatisme doublé d’une superbe ignorance de la société américaine (Mao ne parlait aucune langue étrangère et n’a pratiquement jamais quitté le territoire chinois). Le contexte est celui de la mission du général Marshall en Chine qui vise à empêcher

l’information se servent d’un vocabulaire spécifique, hérissé de termes fortement connotés. Pour capter leur public, soutient cet auteur, « ils font appel à ses émotions : l’un des ressorts consiste à l’effrayer, à manipuler la métaphore dans la plus parfaite des ambigüités. Le mot " révolution" est une sorte de refrain : nous serions en train de vivre une révolution qui aurait pour conséquence l’installation d’une société de l’information globale. Nous vivrions ainsi la fin prochaine des distances physiques