Humanité

opposition aux choses données par la nature. Selon Hannah Arendt, la nature renvoie les hommes à leur animalité, leur appartenance à une espèce naturelle. Et toujours selon Hannah Arendt le monde, au contraire, comme la société, les renvoie à leur humanité. Le monde habité par l’homme est artificiel, c'est-à-dire un produit de l'art humain. Nous pouvons faire un autre constat, c’est que la nature a disparu en nous. En effet, l’auteur Merleau Ponty nous dit en s’appuyant sur des exemples et des faits

évoluer, pratiquer l'égalité et la fraternité. QUALITES ESSENTIELLES POUR L HUMANITE ? QUALITES ESSENTIELLES POUR VOUS MEME ? Le courage, la dignité, la tolérance, être curieuse des autres et du monde, la motivation , l'envie de m'améliorer, de travailler, d'apprendre et de partager, la ponctualité, l'écoute, la sincérité, le respect, le sens de la parole donnée, et de l'engagement. QUE DOIT L HOMME A SES SEMBLABLES, A L HUMANITE ? L'entraide, la charité, le respect de l'histoire, justice à tous les hommes

mot qui fait référence au superflu La phrase semble logique mais immorale -> paralogisme (= raisonnement faux qui apparaît comme rigoureux, locuteur de bonne foi) • L.14-16 arg. historique, mise en relation de la couleur de cheveux/humanité = gradation dans l’absurdité Couleur de peau noir/ cheveux roux = couleurs du diable Ici Montesquieu de façon détourné dénonce le fanatisme (l.16 « hommes roux ») Violence : l.16 « mourir »/« tombaient entre leurs mains » C/ Les

phrases courtes l24 à 28 retranscrivent le moment où il reconnait son ami d’enfance et où son humanité apparait de nouveau : on assiste à une sorte de ralenti (« leurs yeux se croisèrent » « Il ne pouvait se résoudre à frapper" "Il  sourit doucement ») qui selle à nouveau l’amitié des deux hommes. Puis quand Liboko est tué, Sango Kerivu sombre dans l’afficliction : l32-36 et laisse apparaître son humanité (« Je pleurais sur Liboko ») 3) La mort absurde du héros La mort brutale de Liboko décrite

« plus » (l 93) définie le caractère définitif de l'impossibilité; opposition entre le souhait et la réalité: antithèse « Je voudrais bien, je voudrais tellement, mais je ne peux pas » (l 93-94) souligne que Bérenger ne parvient pas à abdiquer son humanité III- Héros ou anti-héros ? 1- La médiocrité humaine La réaction de Bérenger au départ de Daisy est en décalage avec la gravité de la situation: considération touchante mais ridicule (« Tu n'as même pas déjeuné! » l 7-8), égoïste (« Daisy, ne

ressources, la convoitise, la hiérachiedes peuples vis à vis de leur développement, la pseudo "lutte des classes", ainsi que la ségrégation des cultures par l'hégémonie d'une idéologie prônant la consommation massive et le déni de la réalité d'une humanité vivant sur le dos de ses semblables. De nos jours, chacun connait les problèmes inhérents au système actuel, cependant il est de plus en plus difficile d'en être correctement informé. La plupart des problèmes majeurs auxquels l'humanité se heurte

finalement cela prendre conscience de soi, prendre conscience que je demeure Un et identique derrière des états différents, c’est avoir le sentiment de sa personnalité. L’Homme prends conscience de sa personnalité mais il prends aussi conscience de son humanité, il arrive à se distinguer des choses. L’Homme existe à ses yeux et ce qui le différencie des autres objets ou des animaux c’est que les autres sentent et que nous, Humains, nous ressentons. Nous sommes également capables de penser comme les

philosophique sur la science. * Ensuite parce que l'interprétation de la notion d'adulte pose peut-être d'autres problèmes que des lois de développement. Si devenir "adulte", c'est "être" homme, au sens de construire son "humanité", alors comment interpréter cette humanité elle-même ? Elle n'est peut-être pas seulement un "fait", mais aussi une "norme", une "valeur" : devenir adulte, c'est construire sa "liberté", son "esprit critique", sa "responsabilité". On est alors sur autre terrain de réflexion

européens. Les comportements des indiens sont les mêmes que ceux des européens, ce qui prouve la fraternité entre les deux peuples et l’humanité des indiens. Les indiens sont des sauvages qui vivent en autarcie avec la nature, renforçant leurs humanités et les éloignant de la perversion car eux-mêmes vivent en harmonie avec la nature, loin des lieux mercantiles européens tel que le confirme Las Casas dans l’extrait du chapitre 6 de la controverse de Valladolid : « Mais ce paradis qui leur a été

référence à une « nature humaine ». Chaque culture a un aspect contingent et conventionnel, c’est-à-dire particulier. Notre culture aurait pu être autre, nous n’aurions pas été moins humains. Autrement dit, notre humanité ne colle pas à nos manières de faire et d’être. Il y aurait donc une humanité plus essentielle que celle définie par nos coutumes culturelles. Et en effet, avant d’être français, allemand ou vietnamien, ne sommes-nous pas des hommes appartenant à la même espèce ? C’est vrai. Mais cette