Humanité

séparé en deux types de soucis : le souci de la réalité et le souci d’accomplir son humanité. Le souci de la réalité se résume au souci des honneurs, des plaisirs et de l’argent. Ce souci est important parce que l’humain est un animal, c’est-à-dire qu’il souffre lorsqu’il ne comble pas ces besoins et parce qu’il faut prendre tenir compte de ces besoins pour prendre soin de notre âme. Le souci d’accomplir son humanité se réfère à celui de se faire des amis et d’être un citoyen responsable dans sa cité

367) b) Une humanité entière dans le vice. son jugement pessimiste concerne toute l’humanité, insistance sur cette universalité : « tout le monde »(l.361), « l’humanité »(l.362), « les hommes »(l.364), « l’humanité »(l.375). Description d’une humanité hypocrite, dont l’apparence est contraire à la nature profonde détestable : « tous les masques tombaient devant mon regard »(l.361). Mise en avant du caractère hypocrite et mensonger des hommes. Métaphore violente pour décrire une humanité sale et dans

la bête.Seulement, cette capacité à se représenter sa situation le rend beau, à la manière d’un héros tragique racinien. C’est aussi cette faculté à se savoir faible qui lui donne son humanité. Il échappe à l’illusion d’une supériorité à la nature. Comment se savoir misérable pourrait donner à l’Homme son humanité, sa grandeur ? Cette grandeur peut-elle masquer sa faiblesse à terme, au point qu’il se laisserait tomber dans l’illusion ? Outre le fait de nous interroger quant au fait de savoir si se

distingue l’homme de l’animal. Le travail et la technique l’arrachent à l’instinct et le remplacent. Mythe de Prométhée. Kant. La technique est une négation de la nature de l’homme. Elle inscrit l’homme dans la culture, lui donne conscience de son humanité et de sa liberté. La transformation de la nature renvoie à l’homme l’image de son pouvoir, et donc de sa liberté. Hegel Les techniques permettent une maîtrise de la nature. L’homme n’est plus soumis aux déterminismes naturels. 2. Le

périphrases dépréciatifs en terme de moralité. Elle l’accable de travers. Elle dit que Jason est son crime, qu’il est l’incarnation de ses crimes et de ses forfaits. C – Barbare et humanité Médée est tellement outragée qu’elle qualifie Créon de barbare (L497). Elle fait part d’un oxymore : « barbare et humanité », l’humanité qui renvoie aux enfants. Elle oppose la « prétendue » générosité de Créon en la cruauté effective qu’il représente. Elle renverse le sens du mot barbare. A la fin de cette

fondamentale du sens (ou non-sens) de l’histoire, du progrès historique (et peut-être de son déclin). Ceci nous amènera inévitablement à traiter des liens qui unissent l’homme et l’histoire. L’homme est-il un être qui se réalise (qui exprime son humanité) historiquement ? La connaissance historique a-t-elle un rôle positif à jouer dans la vie humaine, est-elle source d’enseignement ?

conduisaient » (l.2) ensuite lorsque Montaigne passe à la réflexion générale il utilise le présent de vérité générale « appelons », « sont », voit » (l.12), ainsi nous pouvons voir que l’auteur passe à la réflexion et à l’analyse 2. L’affirmation d’une Humanité plurielle contre la notion de monstruosité - champ lexical de la globalité = référence religieuse « Dieu », « immensité », « infinité des formes » l.12-13 : référence à Dieu → argument d’autorité → participe à appuyer, à formuler la thèse : idéal

pour un monde meilleur, une nouvelle humanité dont -t-il définit la charte dans l’ Évangile de Matthieu, au chap 5, 1-12… Pour y parvenir, le fils de Dieu trace le chemin à suivre: la kénose. Le fils de l’ homme, indique St Paul dans sa lettre aux corinthiens, n’ a pas considéré comme une proie à saisir d’ être l’ égal de Dieu. Mais il s’ est appauvri pour nous enrichir de sa pauvreté. C’ est dire, en effet, que le chemin qui conduira vers cette nouvelle humanité passe par la nouvelle naissance. Une

ingénieurs les techniciens et les ouvriers, ne font que mettre à la disposition des hommes des moyens de plus en plus performants pour vivre de plus en plus confortablement ou pour se détruire. Ce sont les hommes qui en décideront. Une humanité sans progrès serait une humanité sans vaccins, sans antibiotiques, sans hôpitaux, sans laser ni scanner, sans greffe d'organes.Les modes de vie seraient précaires, l'agriculture très rude et la médecine toujours aussi peu avancée. Les moteurs et machines à vapeur

alors le coeur libre de tous soucis. Il vivaient a l'écart a l' abris des peine et des misères. La terre féconde produisait spontanément une abondante récolte, et eux-mêmes, dans la joie, vivaient de leurs champs au milieu de biens innombrable. Cette humanité bien heureuse était fondamentalement pacifique. Elle ignorait la réalité, la concurrence. Et pratiquait spontanément la justice. Le bonheurs y est décrit de manière idéal comme absence du travail de douleur, comme absence de peur de mourir, bien vaillance