Humanité

cesse de m’être étranger. Je le reconnais comme un autre « moi-même », un semblable auquel je peux faire droit et accorder du respect, qui partage avec moi la même humanité. C’est dans cette relation première à autrui, où l’échange n’a plus la signification économique, « donnant-donnant », que nos valeurs, qui se confondent avec notre humanité même, trouvent leur source. Les échanges entre les hommes n’ont donc pas seulement une signification marchande. Les hommes ne se définissent pas comme de simples

demeure un gain ? 3- La condition pour que l’échange soit un gain Si échanger est un phénomène constitutif de notre humanité (Aristote : l’homme est naturellement politique), il est cependant nécessaire, pour que cela soit toujours le cas, que l’échange réponde à certaines exigences. Il y a nécessité de régler les échanges pour permettre à chaque individu de réaliser son humanité. Ce n’est pas pour autant l’échange qui doit être remis en question, que ceux-là mêmes qui échangent. Dans quel but et

pouvons créer une chose, la modifier, trouver des solutions à des problèmes naturels, biologiques... Grâce à notre jugement nous pouvons comprendre et analyser ce que nous percevons, pour ainsi modifier quelque chose, construire, développer notre humanité. Par exemple, les recherches scientifiques aboutissent à des innovations médicales qui sauvent des vies. La construction d'une digue évite aux riverains de voir ce qu'ils avaient acquis détruit. Le travail permet donc à l'homme d'utiliser toutes

Q.10  Le quiétisme repose sur l’idée que les autres peuvent agir à notre place alors que l’existentialisme définit chaque homme par ses actions. Q11.  Ensemble des limites a priori de l’existence humaine. Q12. Sartre refuse une idée, celle d’une humanité inscrite dans une essence, donnée à la naissance : pour l’auteur il faut parler plutôt de condition universelle de l’homme. Dans une deuxième partie il analyse cette universalité de condition selon deux points de vue.

manifestation spécifiquement romaine. Pour les romains, l'homo humanus s'oppose à l'homo barbarus. Il cherche à s'élever, s'ennoblir par l'incorporation de la "paideia" grecque (l'érudition de l'hellénisme tardif). En visant à rendre l'homme libre pour son humanité, à lui faire découvrir sa dignité, la Renaissance a renoué avec ce thème. Son point de départ est une interprétation déjà fixe du monde où l'essence universelle de l'homme est considérée comme évidente. Cette présupposition est métaphysique, c'est-à-dire

que la technique est une façon rationnelle d'ordonner des éléments matériels pour atteindre un objectif voulu : la réalisation d'une œuvre. C'est en cela que la technique est indéniablement humaine, elle a toujours été inhérente à l'homme et son humanité reste sa caractéristique première. C'est l'outil qui sépare l'homme de l'animal. Cependant il n'en a pas toujours été ainsi et la pensée commune a souvent considéré la technique autrement qu'à sa juste valeur. La technique trouble l'ordre des choses

Extrait du film ( ~5min) Stanley Kubrick, 2001 l'odyssée de l'espace (scène de baston d'Hommes déguises en singes) Pour Marx, l'Homme affirme son humanité par son travail. Travail permet de dominer la nature. OR dans le film de Kubrick, le fruit du travail de l'Homme prend le dessus. Domine la nature GRACE a la nature, mais domine l'Homme après ma nature. Pour Kubrick il faut un nouveau rapport avec la nature. L'outil est signe de puissance et de domination de la nature, mais entraine la domination

1_ le rôle des lumières et de combattre les préjugé et divulguer la vérité. But : faire évoluer la société Les valeurs des lumières : La raison, l 18-19-37 La vérité, l10-14 La tolérance, l 37 L humanités l 37 Le respect l 35 La nature l 34 Les combats des lumières : _ l 3 l oppression, la dureté, la barbarie _la violence _ l indifférence, l inhumanité l 36 _ la tirani l 20-31, le despotisme _l Abu de pouvoir _l absurdité religieuse, la superstition, le culte _les préjugé

Aristote dit que « l’homme est un animal politique », il ne peut se réaliser pleinement qu’à l’intérieur de la cité. Quelqu’un qui prétend vivre seul, soit est un Dieu, soit un monstre, c’est quelqu’un qui ne reconnait pas son humanité. « On ne peut vivre seul sans perdre son humanité » Autrui et la dimension éthique. Pour Levinas, quand je rencontre autrui, c’est le découvrir sous la forme de son visage. Les expressions du visage traduisent la richesse de la vie intérieure, le visage est une extériorité

comprend finalement le sens des propos de la déesse : la terre est leur grande mère et les pierres sont ses os. Ils jettent donc des cailloux. Ceux lancés par Deucalion se transforment en hommes, ceux par Pyrrha en femmes. Une humanité nouvelle est ainsi recréée, une humanité dure comme la pierre, « qui endure le travail et la fatigue ». Évaluation : « La création du monde », « Deucalion et Pyrrha » 1. Comment appelait-on ce qu’il y avait avant la création de l’univers ? …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………