Horace Acte 3

1 Le théâtre Étymologie : du grec « theatron », ce que l’on voit, les sens de théâtre : 1°) Spectacle 2°) Édifice dans lequel on montre ce spectacle. 3°) Genre littéraire destiné à être mis en scène. 4°) C’est un art : l’art dramatique (du grec ‘drama’ : l’action) qui remonte à l’Antiquité. Origines Selon la tradition, c’est le poète de l’antiquité grecque Thespis qui aurait inventé la tragédie en mettant en scène, en faisant jouer ses poèmes par des acteurs masqués (cf. : chariot de Thespis)

Répétition sur plusieurs mots d'une sonorité consonantique (harmonie imitative) « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » — Racine, Andromaque, acte V scène 5 L’assonance [Stylistique] répétition d'une voyelle sur plusieurs mots d'une même phrase « Tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire » — Racine, Phèdre, acte I scène 3 [Poétique] Rimes qui s’accouplent sur un groupe vocalique formé d’une voyelle tonique identique et d'un phonème consonantique variable « Un soir de demi-brume

Inspiration historique. Les dramaturges du XVIIème siècle aiment à citer dans leur Préface leurs sources antiques. Corneille, lorsqu’il écrit en 1640 sa tragédie Horace s’inspire de l’Histoire romaine de Tite-Live, livre I, XXIII « Comme il se trouvait chez les deux peuples trois frères jumeaux, à peu près de même force et de même âge, les Horaces et les Curiaces, Tullus et le dictateur d’Albe les chargèrent de combattre pour la patrie : l’empire appartiendra aux victorieux. Voici la convention qui fut

de conflit: entre les générations, entre les sexes, entre les différentes classes sociales. A l'acte 1 Arnolphe annonce son mariage avec sa bien aime. Ce qui nous montre clairement la tournure que va prendre l’histoire. A l'acte V Horace se marie avec Agnès du premier acte au dernier on parle de « mariage ». Dans le texte on a aussi un regard sur le mariage arrangé qui nous montre. Le père décide du mariage des enfants en fonction de ses propres intérêts politiques, économiques et sociaux. les devoirs

qu'il écrive ses premiers vers qui le conduiront à sa première comédie : Mélite, puis Clitandre, la Veuve, la Galerie du Palais, la Suivante, la Place Royale, Médée et L'illusion comique. Les pièces s'ensuivront, dont les plus connues seront Le Cid, Horace ou Cinna. En 1947, il est élu à l'Académie française. 2. Sur la pièce : La pièce « L'illusion comique » est issue de l'édition LAROUSSE, Petits classiques. Les personnages sont Matamore, un soldat fanfaron, Clindor, le serviteur de Matamore

Pierre Corneille est un dramaturge français , frère de Thomas Corneille . Il est né à Rouen le 6 juin 1606 et est mort à Paris le 1er octobre 1684 . .Il a écrit plusieurs pièces de théâtre célèbres comme « Le Cid » , « Cinna » , « Polyeucte » et « Horace » . .Dans ces œuvres , sont souvent représentée la richesse et la diversité qui représente les valeurs et les grandes interrogation de son époque . .Il s’inspire du baroque et du classicisme dans ces œuvres et se sert de la tragédie et de

l’histoire du théâtre, les valets sont devenus des personnages de premier plan, à l’image de Sganarelle qui est le seul, autre que Dom Juan, personnage développé de la pièce. Il incarne parfaitement le valet de comédie par sa proximité avec son maître (acte I, scène 2) « Eh ! Mon Dieu, je sais mon Don Juan sur le bout des doigts… », mais également par son caractère. Les valets de comédie se divisent en deux catégories, les vifs ou simples d’esprit. Sganarelle appartient plutôt à la deuxième catégorie

sur plusieurs mots d'une sonorité consonantique (harmonie imitative) | « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? »— Racine, Andromaque, acte V scène 5 | | l’assonance | [stylistique] répétition d'une voyelle sur plusieurs mots d'une même phrase | « Tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire »— Racine, Phèdre, acte I scène 3 | | | [poétique] Rimes qui s’accouplent sur un groupe vocalique formé d’une voyelle tonique identique et d'un phonème consonantique variable | « Un

L’école des femmes ACTE V, Scène IV Une scène comique ou pathétique : Introduction : L’école des femmes, est une comédie de Molière en cinq actes, et elle est jouée en 1662. La pièce reçoit un grand succès mais aussi plein de critiques, notamment pour son immoralité. C’est une scène qui est à la base pathétique mais qui va très rapidement tourner au comique. Nous allons d’abord voir le cote pathétique de cette scène et ensuite son cote comique. Cette scène est-elle vraiment une scène

l’ironie voltairienne et le registre satirique. LECTURES ANALYTIQUES : Texte 1 : J. De La Fontaine, Fables, « Les obsèques de la lionne », VIII, 14, 1678-79. Texte 2 : Cardinal de Retz, Mémoires : Les portraits de la reine et du duc d’Orléans. Texte 3 : Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 24. Texte 4 : Voltaire, Candide, Chapitre XVIII de « Candide et Cacambo montent en carrosse. » à « ce n’est pas ce qui l’étonna le moins » (1759)  Texte 5 : Encyclopédie, Article « Autorité politique », Diderot