Horace Acte 3

FEMMES Comédie LES PERSONNAGES ARNOLPHE, autrement M. DE LA SOUCHE. AGNÈS, jeune fille innocente, élevée par Arnolphe. HORACE, amant d'Agnès. ALAIN, paysan, valet d'Arnolphe. GEORGETTE, paysanne, servante d'Arnolphe. CHRYSALDE, ami d'Arnolphe. ENRIQUE, beau-frère de Chrysalde. ORONTE, père d'Horace et grand ami d'Arnolphe. La scène est dans une place de ville. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE CHRYSALDE, ARNOLPHE. CHRYSALDE Vous venez, dites-vous, pour lui donner la main? ARNOLPHE Oui, je

DES FEMMES Comédie LES PERSONNAGES ARNOLPHE, autrement M. DE LA SOUCHE. AGNÈS, jeune fille innocente, élevée par Arnolphe. HORACE, amant d'Agnès. ALAIN, paysan, valet d'Arnolphe. GEORGETTE, paysanne, servante d'Arnolphe. CHRYSALDE, ami d'Arnolphe. ENRIQUE, beau-frère de Chrysalde. ORONTE, père d'Horace et grand ami d'Arnolphe. La scène est dans une place de ville. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE CHRYSALDE, ARNOLPHE. CHRYSALDE Vous venez, dites-vous, pour lui donner la main? ARNOLPHE Oui, je veux terminer

décédé en 1684. Il est un des trois grands auteurs de théâtre du XVIIème siècle en France, avec Molière et Racine. Corneille, auteur baroque (L’illusion comique, 1636), donne aussi au classicisme français quelques-unes de ses plus grandes œuvres comme Horace (1640), Cinna (1642), Polyeucte (1643). Sa pièce la plus connue est néanmoins Le Cid (1637), celle-ci, en son temps, suscite la controverse (la fameuse querelle du Cid) faite en raison de la liberté que s’est fait Corneille sur les règles strictes

FEMMES Comédie LES PERSONNAGES ARNOLPHE, autrement M. DE LA SOUCHE. AGNÈS, jeune fille innocente, élevée par Arnolphe. HORACE, amant d'Agnès. ALAIN, paysan, valet d'Arnolphe. GEORGETTE, paysanne, servante d'Arnolphe. CHRYSALDE, ami d'Arnolphe. ENRIQUE, beau-frère de Chrysalde. ORONTE, père d'Horace et grand ami d'Arnolphe. La scène est dans une place de ville. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE CHRYSALDE, ARNOLPHE. CHRYSALDE Vous venez, dites-vous, pour lui donner la main? ARNOLPHE Oui, je veux terminer

» Je veux qu’elle réponde : « Une tarte à la crème » ; En un mot, qu’elle soit d’une ignorance extrême ; Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer. Molière (1622-1673), L’École des femmes, acte I, scène 1, v. 82 à 102, 1662. L’École des femmes, mise en scène d’Éric Vigner à la Comédie-Française en 1999, avec Bruno Rafaelli (Arnolphe) et Jean-Claude Drouot (Chrysalde), © L. Lot. Analyse il d’un éloge ? Appuyez votre réponse sur l’étude

Acte V, Scène 9 Au XVII : Mouvement classique sous le règne de Louis XIV qui régit la tradition littéraire, nous la retrouvons ici sous la plume de Molière qui nous propose une œuvre classique, ce qui n’empêche pas une relative souplesse. L’École des Femmes respecte les 3 unités : L'action principale centrée sur le mariage d’Agnès en 24 heures et ayant lieu «Dans une place de ville». Anorlphe est présenté comme un vieux barbon et Agnès comme une jeune fille que ce premier personnage à fait élevé

ils faut les moucher et en rallumer d'autres toutes les 25 minutes. Donc intervention du personnel technique donc interruption de la représentation, pendant les entractes, qui étaient nécéssaire. Conséquences du matériel sur l'écriture théatrale. Un acte ne devait pas durer plus de 25 min, les 5 actes sont des injonctions esthétiques du théâtre d'Horace, mais il y a aussi des contraintes techniques. La scène et la salle sont éclairés par des lustres, des chandelliers. A la fin des années 1630 on voit

formules en ancien français comme « vous estes un fort grand voyou » acte I, scène 1. La récurrence du scatologique, en particulier le mot « merdre » qui apparaît une trentaine de fois dans la pièce renvoie aussi à Rabelais. Le titre de la pièce rappelle Œdipe Roi, de Sophocle, les ombres des ancêtres de Bougrelas font penser aux fantômes qui apparaissent à Hamlet, les personnes empoisonnées aux festin des conjurés (acte I, scène 4) rappellent Britannicus, qui se fait empoisonner par Néron

---------------------------------- Au cours de l'Acte 1, sc. 3, Arnolphe retrouve après son absence une Agnès conforme à ce que le spectateur apprend d'elle dans l'exposition : soumise, simple et docile. A la scène 5 de l'Acte 11, Agnès dévoile pour l'étonnement et le plaisir du public qu'elle ressemble à « l'astre d'amour » décrit par Horace. A Arnolphe, elle avoue tranquillement sa rencontre avec le « jeune homme » et revit en le contant ce moment privilégié dont elle ne mesure pas encore toute

souffre profondément. 3 / Le monomaniaque, obsédé par le cocuage, monomaniaque utopiste qui veut, contre tout et tous affirmer que son système est le bon 1 / Arnolphe est hanté par la crainte d’être cocu. Pour échapper aux misères du cocuage, le barbon Arnolphe a décidé d’épouser sa pupille, recueillie dès l’âge de 4 ans et qu’il a pris soin d’élever dans une complète ignorance des réalités de l’amour et du monde. Donc Arnolphe est aux prises avec une jalousie dévorante (Acte II, scène 5). Le langage