Hobbes égalité

L'homme n'est-il seulement qu'un loup pour l'homme ? C'est la dérivation du classique « homo homini lupus » que l'on trouve chez Hobbes par exemple. Quand à l'aube de l'humanité Caïn tua Abel, son berger de frère, de ses propres mains, il engagea malgré lui la rupture tragique de l'homme face à son prochain (et donc à lui-même). C'est cette relation, ce lien que nous devons réparer. L'optimisme kantien, qui vise l'espèce, envisage un progrès moral qui fera de l'homme un humain véritable (à

de lui, lorsqu’il dit : « Le peuple de la communauté est le pilier de la religion, ce qui rassemble les musulmans et l’arme pour combattre les ennemis Cette représentation négative du peuple existait aussi en Occident. Le philosophe anglais Thomas Hobbes fut le premier à avoir étudié le terme « peuple » dans son livre Le Citoyen (1). Il dit au sujet du peuple qu’il est composé de « barbares », en raison de leur amour de la guerre, et que le mal fait partie de sa nature. Au XIXème siècle, le philosophe

gouvernement et son principe, que sa nature est ce qui le fait tel, et son principe ce qui le fait agir. » Montesquieu Hobbes et le grand Léviathan : S’il n’existait pas de pouvoir, chaque individu chercherait à atteindre ses fins à savoir la conservation et l’accroissement de ses forces. De cette façon, chacun s’efforcerait de détruire ou de dominer l’autre. L’état de nature selon Hobbes est donc un état de guerre de chacun contre chacun. Le contrat permet d’en sortir : chacun cède alors le droit

cartésianisme tout au long du XVIIIe siècle[réf. nécessaire]. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique[2]. Il se démarqua

sociabilité ainsi que par son égoisme. Donc, il est enclin à résister aux autres et à agir dans son propre interêt, parfois au détriment d’autrui. Sans lois juridiques et morales, ce serait la loi du plus fort qui règnerait. Cet état de nature est, selon Hobbes, un état de guerre de “chacun contre chacun” ou “l’homme est un loup pour l’homme”. En effet, chacun est persuadé d’être capable de vaincre autrui et n’hésite pas à l’attaquer pour lui prendre ses biens dont sa liberté. Donc, cette loi totale s’autodétruit

unique et précieux autour duquel les autres êtres vivants viennent concourir à l’épanouissement visé. Dans ce sens, le capitalisme avec sa recherche effrénée du profit alimente cette volonté malsaine de domination de l’homme. Ceci nous rappelle Thomas Hobbes « L’homme est un véritable loup pour l’homme ». Ceci est d’autant plus vrai que ce système entretient la domination des plus forts (ceux qui possèdent le capital « cf cours de Mme Dubois »). La vie se présente comme un véritable challenge où à la

nous arrivons à vivre ensemble ? Qu'est-ce qui fait que nos conflits se règlent la plupart du temps de façon pacifique ? Des réponses, à l'époque, étaient hérités de la philosophie politique du XVIe siècle : les philosophes du droit naturel. Thomas Hobbes, John Locke, dont l'influence a été considérable sur le monde occidental. Ces auteurs nous considéraient individuellement avec des passions, mais le fait que nous soyons des individus doués de raison allait nous permettre de vivre ensemble. Pour d'autres

ici de collaboration entre les êtres humains pour former une société apte à la bonne entente générale. Néanmoins, cette collaboration peut être entendue comme une sorte de défense naturelle de l'homme face à son prochain. Homo homini lupus; selon Hobbes, l'homme est naturellement égoïste et entre dans une logique de domination de son prochain, et c'est pourquoi l'individu, selon ce principe, interagit avec ses semblables non par amour naturel mais par crainte et intérêt personnel, ce qui porterait

preuve dans son pouvoir de légiférer est donc divine et il doit alors respecter le Droit naturel qui régit les relations entre les hommes pour ne pas se diriger vers une attitude de tyran. Comme le dit plus tard Rousseau dans le Contrat Social et Hobbes dans le Léviathan à propos du droit naturel, les hommes à l’état de nature sont régis par ce droit mais concède leur liberté à un être qui les gouvernera dans le respect de cet état de nature en cherchant à dépasser les normes qui l’animaient, vers

Lumières ? Les Œuvres majeures des Lumières ? On peut distinguer différents acteurs. En effet nous avons les « précurseurs », les philosophes rationalistes du XVIIe siècle, tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke, et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières. La France constituait le centre de ce mouvement philosophique, dont un des premiers représentants fut le philosophe