Hobbes Léviathan 1 Chapitre 5

le mot « code » est critiqué et critiquable car il n’a pas le sens actuel parce que ce sont des compilations fourre tout, il n’y a pas de thématiques, pas de systématisation. Cela change avec le droit romain qui est plus rationnel pour nous. TITRE 1: L’ANTIQUITE (3000 avt JC-565 ap. JC) : DE LA LOI DES DIEUX AUX LOIS DES HOMMES L’antiquité constituerait un carrefour entre la préhistoire et l’histoire. Chaque peuple aurait déjà connu des codifications, c’est la préhistoire du droit. C’est dans

la fois le triomphe des rois de (capétiens) mais elle marque surtout la garantie des libertés anglaises car si le roi JsT était rentré en vainqueur il n aurait pas manqué des seigneurs anglais une dure vengeance car refus de combattre à ses cotés. 1) La grande charte Cette défaite, en ruinant son prestige, va être le prélude de la « grande charte » : la Magna Carta qui est le 1er texte écrit de l’ère constitutionnelle moderne. Càd, l’apparition d une opposition aristocratique à la monarchie

LP se situe dans ce berceau géographique, elle résulte d’un cheminement qui remonte très loin dans le temps, qui sort parfois des strictes frontières de l’Europe, pour former « l’héritage judéo-chrétien ». Chapitre 1 – Les origines composites Section 1 – Les racines antiques §1 : L’antiquité gréco-romaine A- Grèce antique Il y a une part d’artifice à essayer de trouver dans l’antiquité gréco-romaine, les origines de nos LP. Fustel de Coulanges, dans un ouvrage « la cité antique »

1) L’extension du droit de suffrage en Europe occidentale L’extension du droit de suffrage a obéi à des lois très variées : diverses et chaotiques. Le penseur classique Stein Rokkan a distingué deux modes de propagation : le modèle anglais et le modèle français. Le modèle anglais correspond à une extension du droit de suffrage lente et progressive, le « progressive improvement ». Ce modèle est typique des pays qui ont connu une consolidation territoriale précoce et une continuité des organes

aurions encore des choses à apprendre au sujet de la biologie, de la psychologie ou de la sociologie. Bref, le cadre général dans lequel s’inscrit la question de savoir si l’on peut réduire la société à une somme d’individus est celui des relations entre 1 From an interview on September 23 1987, to Woman's Own, published October 31 1987. Full quote: "[People constantly requesting government intervention] are casting their problems at society. And, you know, there's no such thing as society. There are

R.I.D.C. 1-2004 I BIBLIOGRAPHIE COMMENTÉE H. AUBRY, L’influence du droit communautaire sur le droit français des contrats........................................................................................................... 221 G. BLANC-JOUVAN, L’après-contrat. Étude à partir du droit de la propriété littéraire et artistique...................................................................................... 223 M. BUSSANI, V. V. PALMER, Pure Economic Loss in Europe ....................

DROITS DE L’ HOMME ET LIBERTES FONDAMENTALES COURS N°1 Les droits de l’homme (« droit humain », pour l’ONU) relèvent d’une démarche universaliste considérant que tous les hommes sot égaux en droits, au-delà de la nationalité, de l’appartenance ethnique, etc… Les libertés fondamentales sont respectées par et dans le droit positif des Etats, s’appliquent aux ressortissants d’un pays. Les Etats sont donc libres de réduire ces libertés (cf lutte actuelle contre le terrorisme). Depuis quelques années

méthode, un style de pensée qui va servir à penser les choses de manière différent. Elle n’a jamais de fin, pas de thème. Chaque philosophe, décide son style et son courant. Elle doit se nourrir d’autres sciences (histoire, économie, …, actualité). Chapitre 1er : Mondialisation, système-monde Un être humain,… c’est une subjectivité, la loi d’un corps qui a des besoins et des désirs qui passent essentiellement par trois organes sensoriel : le geste (vie), la main pour fabriquer (travail), la bouche

(lois ordinaires), la jurisprudence financière du CE/CConst/Cour des Comptes sont des textes montrant le lien entre les finances publiques et le droit. TITRE I : Les cadres politiques et économiques des finances publiques Chapitre I : Les finances publiques : un facteur de développement politique de l’Etat Joseph SCHUMPETER (1883-1950), l’Histoire de l’analyse économique. C’est un hétérodoxe. Il est à l’origine de la « destruction créatrice ». « Ce sont les besoins financiers

une chose c’est les actions, les actes en particulier. Cette distinction fondamentale posée par le code civil reste celle que nous connaissons aujourd’hui. A) Définition du mot bien et chose : La différence entre les deux ? Article 311 – 1 du code pénal : Article consacré au vol qui dispose que le vol « est la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui ». Cet article se situe dans le livre 3 qui se consacre au crime et délit contre les biens. On a un mélange de bien et de chose ici