Héroï-comique

-La Jalousie du barbouillé - 1650 -Le Médecin malgré lui - 1666 -L'Étourdi ou les Contretemps - 1655 --Mélicerte - 1666 -Le Dépit amoureux 16 décembre - 1656 -Pastorale comique - 1667 -Le Docteur amoureux - 1658 -Le Sicilien ou l'Amour peintre - 1667 -Les Précieuses ridicules - 1659 --Amphitryon - 1668 -Sganarelle ou le Cocu imaginaire - 1660

dégoût vis-à-vis d’un être caricatural et grossier. Afin de tenter de comprendre le sens du texte, nous aborderons tout d’abord la notion de comique, issue du portrait de Gnâthon, avant de mettre en valeur les aspects satiriques qui mènent peu à peu le lecteur à un rejet de cet homme haïssable et plus généralement de tout homme de ce type. I- Portrait comique 1) Comportement bestial, goinfrerie du personnage. - Glouton = pille la table, métaphore militaire « pille la table », les mains symbole

avec le beau Christian. On le ressent avec ces propres paroles et les didascalies qui les accompagnent, « à part, dégrisé. C’est vrai, je suis beau, j’oubliais ! » (l.26). En plus de ce décalage, s’ajoute le registre comique qui lie tous les textes. Apparaît principalement, le comique de situation. Dans le texte A, on retrouve un Dom Juan entouré de deux femmes auxquelles il fait la cour. Il est alors en mauvaise posture et est obligé de jouer un double jeu en faisant croire la même chose aux deux

Introduction : En 1673, Molière représente une nouvelle comédie : Le Malade imaginaire dont le principal registre est le comique. A l'acte III scène 5, une dispute éclate entre Monsieur Purgon, Argan et Toinette. En effet, Monsieur Purgon surprit une discussion entre Argan et Béralde ( Acte III scene 4 ) et comprit qu'Argan ne voulait pas prendre son traitement qu'il lui avait prescrit, alors qu'en réalité c'est Béralde qui chassa Mr Fleurant hors de la pièce, car il devait administrer le lavement

haustere ‘’pisse vinaigre’’ _le registre -le comique causé par les caractères de P et B. B alcoolique P est acariâtre; B bon vivant aime le vin ’’l’ecuelle est déjà vide’’ ‘’ je ne pensais pas avoir tout bu’’. pluche=peluche sur les vêtements’’trépighe de colère’’=marque une certaine agressivité, elle est comparé à une maladie 7 ‘’fièvre’’. Perso de B gentil, P caricature de la vieille fille, mal lunée, perso de comédie attendus. -le comique crée par des oppositions : opp entre P et B. P et

humains, puisqu'il les présente tous dotés d'un défaut. Son texte est un portrait caricatural, qui s'achève par une anecdote, caricature du bavard frimeur, mais qui est aussi une distraction pour le lecteur par sa chute. 1-le personnage 2-l'intérêt comique I. LE PERSONNAGE A. Son omniprésence ~ L'auteur met l'accent sur le bavardage du personnage qui n'intéresse que lui : il monopolise la conversation. Anaphore du « il » = omniprésence, qui est progressivement remplacé par « je », qui traduit

sujet emprunté à la vie quotidienne. • Des personnages ordinaires. • Une action vive et rythmée aux nombreuses péripéties. • Une structure classique : trois ou cinq actes ; exposition, nœud, dénouement. • Une attention portée aux jeux de scènes comiques. • Elle se donne pour but de divertir par la peinture de la société, et de dénoncer les vices et corriger les mœurs (castigat ridendo mores, le rire corrige les mœurs). Les Femmes savantes (1672) de Molière sont une satire des milieux intellectuels

couleur, fraîche, grasse, appétissante", rien dans la cervelle, capable de rien, juste à être mariée. =>Candide est pitoyable, simple à l’extrême. Dans le dernier paragraphe « leurs genoux tremblèrent, leurs mains se rencontrèrent » => rapide, comique. => La mère de Candide ne se marie par avec son père parce qu’il a pas prouvé un nombre assez énorme de quartiers => critique des aristos qui ne se fient pas à l’amour, juste au pouvoir/fric. => Jugement des personnes par leur grade "n’a

1) - Synthèse Corpus · Document 1, François Rabelais, Gargantua, “Prologue”, 1534 · Document 2, Henri Bergson, Le Rire. Essai sur la signification du comique, 1924 · Document 3, affiche du film Le Dictateur (Charlie Chaplin), 1940 · Document 4 , Laurence Consalvi, “Des écla… boussures de rire”, article paru dans Deux mille ans de rire, permanence et modernité (collectif), Presses Universitaires Franc-Comtoises/Les Belles Lettres, Paris 2002 Le rire est

uniforme est liée à son histoire et au statut même de la comédie chez les théoriciens classiques. On distingue habituellement trois périodes au dix-septième siècle. De 1590 à 1623, c’est une période relativement faste pour le théâtre et le genre comique en particulier : la fin des guerres de religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au