Hannah Arendt Tradition Age Moderne

l’antisémitisme, le racisme…En fait de tout ce qui a constitué les origines du totalitarisme (Hannah Arendt). Le colonialisme, le racisme, … n’étaient pas des éléments consubstantiels de la mondialisation libérale, ils l’accompagnaient. Ils ont été défaits. Le totalitarisme ne reviendra pas, il a été défait. Les Origines du Totalitarisme (Hannah Arendt, 1951) : résumé Sur l’antisémitisme Hannah Arendt analyse dans ce livre l’émergence de l’antisémitisme politique, à la fin du XIXe siècle, inédit

sentiments des victimes et des témoins de la Shoah. Depuis 1945, témoignages, romans, poèmes, essais continuent à être publiés rencontrant des succès divers auprès du public. Sommaire [masquer]  * 1 Traditions littéraires juives et littérature de l'anéantissement * 1.1 Rupture ou continuité des traditions littéraires juives? * 1.2 Mort du yiddish * 1.3 Culpabilité des survivants * 2 Témoignages pour la Mémoire et pour l'Histoire * 2.1 Journaux intimes d'adolescentes * 2.2 Chroniques

synonyme de civilisation, est marqué par la diversité. Il n’y a pas une culture humaine, explique Lévi-Strauss, mais des cultures humaines. Il y a autant de visages de l’humain qu’il peut y avoir de cultures, sous la forme de leurs langues, de leurs traditions, de leurs mœurs. Le XVIII ème siècle, fier de sa techno-science, avait cru pouvoir revendiquer le monopole de la culture, en laissant tout ce qui n’entrait pas dans son cadre, dans la catégorie informe des « barbares », des « sauvages », des « primitifs

traditional Western discourse on religion. The first kind of repetition is almost always regarded as true repetition, as authentic, “inner” continuation of a religious tradition – the continuation that at the same time presupposes a possibility of the rupture with the merely external, conventional, historically accidental form of this tradition - or even requires such a rupture. According to this view the inner, spiritual fidelity to the essence of a religious message gives to a believer the right to adapt

INTRODUCTION De la démocratie représentative à la démocratie participative et vice versa Réflexion sur l’évolution d’une démocratie ancienne, représentative par tradition, participative par choix de femmes et hommes politiques Que veulent les citoyens ; comment leurs représentants élus exercent-ils le (les ) pouvoir(s) qui leur ont été confiés ; comment les exécutants (techniciens et bureaucrates) appliquent-ils les décisions prises ? Quelle est l’évaluation des actions : par qui, pour qui

conditions de vie n’ont d’ailleurs que très peu évoluées entre les sociétés aborigènes et le début des sociétés modernes (condition de vie d’un ouvrier). Les différences de revenu proviennent plus des façons d’organiser la vie que des organisations économiques (plus il y a de vice, plus les revenus sont élevés). Aux origines de la suprématie européenne. En Europe naît la croissance économique moderne :une croissance s’appuyant sur un renouvellement technologique permanent, débordant la croissance démographique

sur pied. Idole sacrée pour les uns, principal responsable de la misère humaine pour les autres, l'Etat déchaîne les jugements les plus virulents. On s'accorde seulement à dire que dans la mesure où il paraît incontournable dans notre vie politique moderne, il n'est sans doute pas un simple organe parasite dont on pourrait choisir de se passer. Si tel est le cas, comment peut-on tirer le meilleur parti de l'Etat, cette structure toujours prête à sacrifier ses sujets lorsque ses intérêts propres sont

l'image et la télé font un couple parfait. Le Monde et le Figaro se vendent beaucoup moins que Closer ou Télé 7 Jours. Les Français perçoivent le monde à travers la télévision. On est dans un système de rumeurs avec un support technique ; au Moyen-Age, le principal média était l'Eglise : quelqu'un prenait la parole et racontait un récit, puis venaient les rumeurs ou les contestations. Ce qui apparaît important aujourd'hui ne l'est pas, et ce qui est important n'intéresse plus personne. Chapitre

Philosophie à l’Université de Bourgogne Frédéric GROS Professeur de Philosophie à l’Université Paris Est Créteil François MARTY Professeur émérite de Philosophie au Centre Sèvres “Pourquoi y a-t-il quelqu’un plutôt que personne ?” Hannah Arendt “La fatalité, c’est personne, la responsabilité, c’est quelqu’un.” Paul Ricœur “Noé ! Noé ! Noé ! Pourquoi t’es pas sur le bateau ?” Julien Clerc   2   RESUME : Nous sommes devenus insoutenables. Il faut organiser une responsabilité

énergies renouvelables. Section 2 : Les causes de la dégradation mondiale de l'environnement I/ Un grand responsable : le système productiviste A/ Le système productiviste : un système autodestructeur Ce système qui apparait à la fin du Moyen Age a pour priorité la recherche du profit, la croissance quantitative, la marchandisation du monde et la domination sur la nature. B/ Un système destructeur de l'environnement Le productivisme est hostile à l'environnement, il représente une expulsion