Grande Dépression Keynes

ANNEES 1930 I) 1 crise exceptionnelle : A) L’ampleur de la crise des 30’s la singularise des autres crises du 20ème siècle : 1) 1 dépression mondiale qui a débuté avant le choc d’octobre 1929 : 2) 1 dépression d’ 1 gravité sans précédent 3) L’emploi en subit le contrecoup 4) et le commerce mondial se contracte  B) Cependant, au sein de la dépression, les situations sont inégalitaires : 1) Elle touche inégalement les pays 2) Elle touche différemment le secteur industriel et le secteur

de l’urbanisation. (Essor transport ferroviaire) 2) Ateliers à usines puis, entreprises grandissent en surface, en main d’œuvre. Amélioration production et productivité. Concentration des entreprises. (petite entreprise disparait au profit d’une grande) Concentration horizontale : regroupement d’entreprises d’une même branche d’activité. Concentration verticale :

La Grande Dépression La Grande Dépression, dite aussi crise de 1929, est la période de l'histoire mondiale qui va du krach de 1929 aux États-Unis jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. C'est la plus importante dépression économique du siècle, qui s'accompagna d'une explosion du chômage et d'une importante déflation, c’est-à-dire d’un gain du pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une diminution générale et durable des prix. Les années 1920 marquent une période de forte croissance aux États-Unis

baisser le chômage. Depuis la grande dépression aux Etats-Unis, cette théorie est majoritaire. Pourtant, dès le XIXe siècle, Frédéric Bastiat (1801-1850) avait abordé la question et démontré les revers des travaux publics dans son essai « Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas ». Dans ce cas, quel doit être le rôle de l’Etat en matière d’emplois ? Doit-il intervenir pour éviter le chômage ou au contraire doit-il laisser jouer le marché ? Après un rappel de la théorie de Keynes en matière d’emplois (I)

industrialisation, la production passe d'un mode artisanal manuel à un mode de production en grande série qui regroupe les travailleurs dans les usines avec des horaires fixées et une réglementation. Ce premier mouvement d'industrialisation se diffuse progressivement en Europe et en Amérique du Nord. Entre 1850 et 1939, l'expension économique est sans précédent mais la croissance alternent avec des périodes de récession, de dépression. Si les révolutions techniques permettent une amélioration des conditions de vie

JOHN MAYNARD KEYNES Pour les néoclassiques, l’économie de marché est un système fondamentalement stable où toute possibilité de crise et écartée. En situation de concurrence pure et parfaite, des mécanismes d'ajustement automatiques doivent assurer la meilleure situation économique possible sans excédents ni pénuries. Keynes ne partage pas ce point de vue et la Grande dépression des années 30 montrera que le marché livré à lui-même ne parvient pas à s’autoréguler ce qui remet fortement en cause

Croissance économique et mondialisation depuis 1850.   Introduction : ■ Du milieu du XIXème siècle au début du XXIème siècle, le monde a connu une croissance économique sans précédent. Cette croissance n’a été ni continue dans le temps (crises – dépressions – récessions – fortes périodes de croissance se succèdent…), ni continue dans  l’espace… Mais, malgré tout, elle a bouleversé les économies et les sociétés traditionnelles qui existaient jusque-là. ■ Ainsi, à partir du milieu du XIXème, l’industrialisation

DE L’APRÈS-GUERRE L’ordre mondial selon John Maynard Keynes En 1944, la conférence de Bretton Woods mit en place le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale (BM), l’étalon-or et la convertibilité du dollar à 35 dollars l’once d’or. La notoriété acquise par John Maynard Keynes après ses retentissantes critiques du traité de Versailles de 1919 (1), puis ses propositions théoriques novatrices pour sortir de la Grande Dépression lui valurent d’y diriger la délégation britannique. Comme

Bancaire ( Crise Economique John Maynard Keynes (1883-1946) : Conséquence de la Crise de 1929 = Chômage persistant. Keynes est un réformiste non un révolutionnaire. Il veut protéger le système libéral qui lui parait le plus civilisé. Une de ses obsession : le chômage qui est selon lui un véritable fléau, politique et humain. Contrairement aux classiques pour lesquels il ne peut exister que du chômage volontaire (on préfère le temps libre que le L), Keynes considère que le chômage n’est que la conséquence

CHAPITRE I : LE RINCIPAL PROBLEME A ETE RESOLU En 2003, Robert Lucas, prix nobel d’économie en 1995, disait « le principal problème de la prévention de la dépression a été résolu en pratique » en 2003. Au début des années 2000, l’inflation semblait maitrisée aux USA, l’optimisme était de mise, le monde était plus favorable à l’économie de marché qu’il ne l’avait été depuis plus de 90 ans. Si bien que Ben Bernanke, en 2004 (un an avant sa nomination à la tête de la fed) déclare que la politique