Gouverne

de gouvernants agis pour les gouvernés, il n’agis plus par le peuple Lincoln. Les citoyens possèdent encore à l’égard du pouvoir un droit de participation (vote) mais ils n’ont plus de droit de contestation c’est-à-dire de liberté d’opposition par rapport au gouvernement du fait qu’ils ont accepté de légués le contrôle du pouvoir à cette minorité. La volonté des citoyens se trouve entre les mains des gouvernants qui constituent la volonté générale. Le peuple gouverné agis alors par référendum au

critique :  Le thème de cette lettre s’organise autour du champ lexical de la monarchie « monarque, roi, ministre, grandeur souveraine » et du pouvoir « régné, obéir, gouverne, ministre »  On observe la progression de la lettre : portrait du roi en différentes parties : portrait physique, « caractère », goûts, moyens de gouverner  Des allusions sur des faits réels : « une maîtresse qui en a quatre-vingts », « le roi de France est vieux » renvoyant à la date « 1713 » et donc au règne de Louis XIV

régime dans lequel un seul gouverne avec comme objectif de faire prévaloir le bien commun 2. L’aristocratie avec un petit nombre d’individus qui exercent le pouvoir avec encore le souci de l’intérêt général 3. La République où le plus grand nombre exerce le pouvoir politique suprême. Viennent ensuite trois types de régimes avec des gouvernants exerçant uniquement dans le but de satisfaire leurs intérêts particuliers : 4. La tyrannie dans laquelle un seul gouverne en accordant la primauté

représentative La forme de cette démocratie est remise en question, de sorte qu’elle commence à perdre son caractère représentatif, pour deux raisons : la rupture du lien entre gouvernants et gouvernés (A) et la naissance d’une nouvelle démocratie dit “illibérale” (B). A - Rupture du lien entre gouvernants et gouvernés Un des principes principaux d’une démocratie représentative est la souveraineté nationale, qui appartient au peuple et qui l’exerce par des représentants. Cependant, depuis quelques années

sur les manières dont s’exerce le pouvoir et sur ses limites. Ex : sur une automobile, le frein se justifie, on en a besoin pour limiter la puissance de la voiture. Tout homme qui a du pouvoir est tenté d’en abuser donc il faut le limiter. « Gouverner c’est contrainte à se plier à des règles. » Pierre MANDES FRANCE. Le contrôle du pouvoir est assuré par un juge, c’est un contrôleur. Mais qui contrôlera le contrôleur ? Qui a le dernier mot ? Dans un Etat de droit le dernier mot revient au juge

et a l’exercice du pouvoir politique ainsi qu’à la protection des droits des gouvernés car la raison d’etre de l’état c’est d’abord d’assurer une vie harmonieuse en société a l’interieur d’un état PARTIE 1 : THEORIE GENERALE DE L’ETAT Pouvoir politique sous trois angles différents pour répondre a la question : comment les hommes ont-ils imaginer et conçu leur gouvernement, la manière de se gouverner, de vivre en société Chapitre 1 : L’ETAT Observations introductives : L’Etat

interne) La naissance d'un État est subordonnée à la réunion de ces trois caractéristiques, mais qui nécessite une Constitution dont l'objet est d'unir et régir de manière organisée et hiérarchisée l’ensemble des rapports entre gouvernants et gouvernés au sein de cet État, en tant qu'unité d'espace géographique et humain B) Constitution La Constitution établit le statut de l'État fixant les règles et principes destinés à encadrer la désintégration des titulaire du pouvoir ainsi que son exercice

politique : est une préoccupation de limitation de contrôle et de révocabilité des détenteurs d’un pouvoir politique. La responsabilité politique dans le cadre d’une relation gouvernant – gouverné. L’objet de cette responsabilité est d’assurer la persistance de l’identité de volonté politique entre les gouvernés et les gouvernants. Elle suppose ni préjudice ni faute. La simple divergence d’intention entre l’exécutif et le parlement suffit a justifier la défiance. De même un telle divergence entre

semi-directe  2.4.2 Démocratie participative o 2.5 Notions voisines • 3 Histoire de l'idée de démocratie o 3.1 Les philosophes grecs et la notion de démocratie  3.1.1 Thucydide et Périclès  3.1.2 Platon : l'incapacité du peuple à bien gouverner  3.1.3 Aristote o 3.2 La notion de démocratie dans la philosophie moderne  3.2.1 Tocqueville : l'égalité des conditions et le risque de tyrannie de la majorité o 3.3 La notion de démocratie dans la pensée contemporaine  3.3.1 Karl Popper

son pouvoir. On peut lire à la ligne 4 : «  L'homme s'attachent à ce qui lui appartient : l’État n'appartient pas aux ministres ». Dés le début de son règne, Frédéric II prend une série de décisions pour marquer son autorité et montrer qu'il gouverne seul. En effet, il veut se montrer comme étant le premier serviteur de l’État et il se comporte comme tel. On voit cela aussi à la ligne 7 : «Le souverain est quand à lui attaché par les liens indissolubles au corps de l’État». Encore une fois, Frédéric