Gouverne

l'intermédiaire de représentants désignés lors d'élections au suffrage universel.  Thucydide rapporte les propos qu'aurait tenus Périclès au sujet de la nature de la démocratie athénienne. La démocratie y est définie par le fait que la majorité y gouverne. Cette description du régime athénien fait l'éloge d'un système politique où les honneurs (magistratures) sont distribués en fonction du mérite et non de la naissance, et où la pauvreté n'exclue pas une participation politique. Elle met aussi en

et égaux. Et la communauté politique est aussi formé en vu de créer des normes et des lois. Dès lors, on peut différencier deux types de gouvernement, celui qui gouverne avec les lois et celui qui gouverne avec les décisions. Et Aristote va défendre le gouvernement de droit et de loi, car d’après lui « nous ne laissons pas un homme gouverner, nous voulons que ce soit la loi, car un homme ne le fait que dans son intérêt propre et devient alors un tyran. ». Le gouvernement de décision peut donc être

pour aboutir à nos jours, en passant par Athènes, les cités italiennes, la France, l’Angleterre, les Etats-Unis… Il a cherché à théoriser la notion de gouvernement représentatif à partir d’une analyse historique dans laquelle le rapport gouvernants-gouvernés et le passage de témoin entre tirage au sort et élection jouent un rôle primordial. Selon Manin, la thèse centrale de cet ouvrage est que « le gouvernement représentatif doit être compris comme une combinaison d’éléments. » : c’est en fait la combinaison

d’autre part réactive chez les gouvernés le sens de leur appartenance au « grand groupe » grâce à l’exercice collectif d’une prérogative partagée. Ainsi, cela démontre bien que c’est par le vote au suffrage universel que les gouvernés peuvent élire eux-mêmes leurs gouvernés et leur conférer un pouvoir légitime de gouvernance. Par ailleurs, dans les démocraties, est mis en place la plupart du temps un pluralisme de partis qui permet de donner un choix conséquent aux gouvernés vis-à-vis de ceux qu’ils

privilégie la raison, capacité à dominer : justification de l'ordre politique, l'homme doit dominer tous les appétits et les mouvements de l'âme : pouvoir de gouverner, le roi est celui qui s'est dominé ses passions. L'homme est au-dessus des animaux par la raison, l'homme à une partie raisonnable qui gouverne une partie animal qui est de gouverner : doit se lire de manière prophétique, reconstitution de ce qui a été déchiré vision eschatologique. L'Eglise comme communauté · Savoir reconnaître

C’est donc la pratique constitutionnelle qui a pu mettre en échec la IVe République, qui est le fait des hommes politiques. On verra alors dans un premier temps l’existence d’une République des députés (A), puis des gouvernants très éloignés des gouvernés (B). A] Une République des députés  G. Vedel emploie cette expression pour qualifier la IVe République. Il définit ainsi un « système super médiatisé, où le corps électoral n’est plus qu’une magistrature morale ». Cela veut dire que les électeurs

intéressant de répondre à cette question par la négative , car malgré la volonté de rationalisé ce régime pour éviter les dérives du passé ( III ème République) la IV ème république fut échec d’une part parce que le parlement empêcher le gouvernement de gouverner mais il ne gouvernait pas à sa place , les détournements de procédure , le système électoral qui favorise l’émiettement et une opposition quasi systématique au régime Ainsi nous verrons dans un premier temps l’échec de la stabilisation du régime

y-a-t-il vraiment une raison d’Etat ? Si la raison d’Etat semble indispensable au pouvoir pour gouverner efficacement, elle apparait être néanmoins bien souvent amorale. Pourtant, les sociétés contemporaines lui apportent progressivement une légitimité nouvelle, et permettent à la raison d’Etat de préserver les libertés de tous. La raison d’Etat semble indispensable au pouvoir pour gouverner efficacement, mais apparait comme amorale La nécessité de la raison d’Etat Toute action

a une autorité incontestable: l'histoire parle pour lui et le droit (héréditaire: ne garantit en rien le mérite. On peut le voir dans plusieurs fragment: - fragment 28: comparaison avec le commandement à bord d'un bateau "On ne choisit pas pour gouverner un vaisseau celui qui est de la meilleur maison" - fragment 55: c'est une sottise d'avoir un seul au commande d'un pays et qui est plus intéressé dans l'affaire - fragment 23: "[...] Et de là viennent ces mots: le caractère de la divinité est empreint

personnes hautes placées et où les trahisons et coups bas étaient monnaie courante. Agrippine n'eut qu'une seule ambition, voir son fils Néron, qu'elle avait eu d'un premier mariage avec Domitius Ahenobarbus, monter sur le trône impérial et donc, gouverner à travers lui, car, à cette époque hautement masculine, elle n'aurait jamais pû monter sur le trône en tant qu'impératrice. Fine politique, elle savait que Néron avait droit à la succession impériale étant l’arrière petit fils de l’empereur Auguste