Gouverne

Définition Le mot démocratie vient du mot grec demos, qui signifie lepeuple et kratos, qui veut dire pouvoir. La démocratie est un système d’organisation où c’est le peuple qui gouverne. C’est un régime politique dans lequel le pouvoir appartient aux citoyens. En refusantque seul une minorité ou une élite gouverne. La démocratie donne une chance à tous les citoyen de s’exprimer et par là de décider de THEME : Démocratie et bonne gouvernance : Enjeux Réalités et perspectives Plan Introduction

question : «  qu’est donc, en fin de compte, le cosmos ? » il va ensuite développer sont envie de comprendre en ce posant diverses questions sur le sujet pour arriver au final a se demander s’il y a des échanges ou des relations avec celui qui nous gouverne et s’il existe. Question 4 Les questions que se posent ce petit nombre d’hommes portent sur l’idée qu’il pourrait y avoir un gouverneur au dessus d’eux qui les fait subsister et s’occupe de faire régner la justice. Ils se demandent

La démocratie consiste en « un effort perpétuel des gouvernés contre les abus de pouvoir » (Alain). Car, « ce ne sont pas les pierres mais les hommes qui constituent le véritable rempart des cités » ( Platon). Née à Athènes sous Périclès ( V ème siècle avant J-C), la démocratie est le régime dans lequel le peuple est le véritable détenteur du pouvoir politique ; elle est communément définie comme « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » ( Lincoln ). La démocratie dans son contenu

règle de la maison « Fait ce que voudras ». S’agit-il d’une abbaye déjà existante, par exemple celle de Seuilly ? Impossible de le savoir. Quoi qu’il en soi Frère Jean n’en veut à aucun prix : « Car comment pourrais-je, dit-il, gouverner autrui, qui moi-même gouverner ne saurais ? ». C’est dans cette remarque, frappée au coin du plus authentique bon sens, que réside le secret de Thélème. Jusqu’ici dans les monastères, les religieux étaient soumis à une règle sévère, qui leur dictait leurs faits

aux grands problèmes (« les gens se sentent menacés par des évènements » … « Les Etats prendront des mesures ») ils mettent en place le libéralisme (« des règles et des valeurs partagées »). ils doivent tenir compte les uns des autres (« mieux gouverner ensemble ») ils doivent s’associer (« agir ensemble au sein d’institutions communes »). Ex : FMI, Banque mondiale, UE, Alena,…) ceux du Nord ont un poids et un rôle prépondérant, mais les émergents progressent (« refléter les réalités de notre

mesure fonde la légitimité du pouvoir politique en ce sens qu’elle relève de l’acceptation volontaire des masses de s’assujettir a son détenteur .Autrement dit c’est cet assujettissement qui est le fondement de la croyance des gouvernes dans le droit des dirigeant a gouverner .Il parait alors que le pouvoir politique ne peut se justifier sans le consentement de ceux a qui il s’impose. Toutefois le pouvoir politique peut ne pas se reposer sur le consentement. Dans cette logique on peut rappeler a juste

mort de deux jeunes adolescents. Cette situation s'est accentuée et a pris la forme de violences urbaines. Le ministre Jean-Pierre Raffarin a alors fait une déclaration pour répondre au sentiment d'insécurité grandissant: « Ce n'est pas la rue qui gouverne ». Cela sous-entendait que la souveraineté de la nation est assuré, non pas par la rue, c'est-à-dire par le peuple, mais par les dirigeants élus. La souveraineté est est ce qui confère la légitimité des détenants du pouvoir. Dans une démocratie,

      Confédération      Union de  plusieurs Etats  qui s’associent  tout en  conservant leur  souveraineté    Fédération      Groupement,  union de  plusieurs Etats  en un seul Etat  fédéral.        Régime : façon d’administrer, de gouverner une communauté. Sortes de régimes politiques : autocratique, démocratique, dictatorial, monarchique, oligarchique, ploutocratique, républicain, etc. Régime représentatif, constitutionnel, parlementaire, présidentiel. Régime libéral, autoritaire,

PHILOSOPHIE : COMMENTAIRE Nicolas Machiavel, dans son traité politique Le Prince, expose ce qui selon lui doivent être l'art et la manière de gouverner d'un homme politique. Dans le Chapitre XVIII de cet oeuvre, Machiavel aborde le sujet de la fidélité et de la parole donnée. Le problème énoncée ici est celui du rapport entre politique et morale. Machiavel commence ce chapitre par une louange adressée aux princes fidèles: "Combien il est louable à un prince de tenir sa parole,(...) chacun en

avec ou sans l’accord des gouvernés. Il s’agit donc de savoir si l’Homme exerce son pouvoir grâce son art. On peut penser au contraire qu’un Homme possédant un art peut ne pas être autoritaire. Pour Platon, la seule définition correcte de l’autorité médicale et de toute autre autorité y compris l’autorité politique est la suivante : un gouvernant peut exercer son pouvoir quelle qu’il soit, ou même quelle que soit son statut social, avec ou sans l’accord du ou des gouverné(s), tant qu’il possède un