Glose

quand c’était fait il faisait un résumé de son interprétation, ce résumé était bref c’était une courte formule en marge du texte, résumant le texte. Cet formule s’appelait la glose. Les étudiants écrivaient cette glose. Sous la glose y avait un sigle qui permettait de connaitre l’identité de l’auteur qui avait écrit la glose. Plus tard , dans le courant du 12°s la renaissance du droit romain va gagner le midi de la France avec les glossateurs. Les glossateurs viennent en France, mais en France il

de Leiris, ainsi cadré, ce segment de phrase vaut devise, et résume de manière frappante le tableau. Dans cette devise le sens des mots est « plus net encore du fait de leur rapprochement »...             Tout cela est suggéré, allusif, voilé : ma glose, par sa clarté, anticipe. Pour l’instant la pâmoison se résout bizarrement en une résurgence de souvenirs. Mis hors d’atteinte de toute réduction par l’idée de « sacré », le choc peut être maintenant soumis à réduction par le recours à la mémoire d’autant

on commence à l’appeler ratio scripta[53]. Il s’agit d’appliquer et d’interpréter le droit uniquement en l’adaptant aux exigences de la société médiévale. Les glossateurs et décrétistes commentent le décret de Gratien. A. Développement sur la glose, le droit et la Loi Les choses s’élaborent de manière centrale à Bologne, où est signalé par plusieurs sources, un professeur de droit, qui est connu sous le nom d’Irnerius. On ne connaît que peu de choses de sa biographie, il s’intéresse

du contenu les indices d’une forme syntaxique (…). (Allaire, 1982: 569) Reprenons nos exemples (1) en {que + P au subjonctif}. A notre sens, il est méthodologiquement douteux: de dire que le terme initial est une P subordonnée parce qu’il se glose par une conditionnelle en si, ou parce qu’il a une fonction de cadrage. 14 Cf. également ce sous-titre de Choi-Jonin & Delais-Roussarie (2006: 93): Quand la prosodie n’est plus un indice fiable pour l’analyse syntaxique

Victor Hugo, poète romantique « Adieu le mystère, le mythe, la loi. Voici la fantaisie et le caprice. », Notre-Dame de Paris, « Ceci tuera cela ». ----------------------- [1] Glossa in Epistolas D. Pauli. Norimbergae, Antonius Koburger, 1474 (Glose sur les Epîtres de saint Paul. Nuremberg, Antoine Koburger, 1474) [2] INVENTION DE L4IMPRIMERIE EN 1445 PAR Johann Gutenberg. Le premier livre imprimé en grand nombre : «42zeilige Bibel » vers 1455. [3] Elizabeth L. Eisenstein, La Révolution de l’imprimé 

impériales remontent à l’empereur Hadrien. + jurisconsultes = doctrine ( Histoire de na naissance du droit qui joue un rôle lors de la renaissance du droit. Accurde rassemble en compilation des commentaires de droit : donne naissance à la Grande Glose. Cette rénovation de la science de droit se fit dans le nord de la péninsule italienne. Les italiens circulent, et le Midi et même le Nord du Royaume de France sont touchés par l’enseignement du droit. 1219 : Pendant le règne de Philippe Auguste

Cependant que le nom et l'âme de celui qui fut Christophore, le Porte-Christ, s'envole par delà le méridien terrestre vers l'autre monde(...) Son nom n'est-il pas le Porte-Christ ? N'est-il pas cette colombe jadis que Noé a lâchée au-dessus du déluge ? » glose Claudel dans sa préface à la nouvelle mise en scène de Jean-Louis Barrault, Pléiade Tome II, p. 1496 5 Claudel, Préface à Jeanne d'Arc au bûcher, Pléiade Tome II, p.1530 6 Claudel, Ibid. 7 Claudel, Le Soulier de satin, Scène I de la Première Journée

étudie les manuscrits. C’est l’initiateur d’une méthode nouvelle d’étude des textes juridiques. Elle s’appel la Glose d’où le nom de l’école. Il faut rappeler que les moines de Bologne redécouvrent des textes inconnus, un vocabulaire oublié. C’est donc un droit complexe. Ils leurs faut donc réapprendre le langage juridique. Ils leur faut avancer mot à mot, phrase par phrase. La glose consiste à en faire l’exégèse = il s’agit de disséquer les textes et les comparer. La réunion de ces explications

Tout se passe comme s’il avait un vieux palimpseste couvert de signes, et qu’il devait, par une interprétation, en restituer le sens, et pour cela, discerner ce qui vient de la source, ce qui a été ajouté ou oublié par le copiste, ce qui est une glose ajoutée par un commentateur partial, etc. 14. En cours de route, nous sommes bel et bien passés des descriptions épaisses, au sens de Ryle, à des interprétations herméneutiques. Geertz estime peut-être qu'il s'est contenté d'adapter l'analyse de Ryle

d’ailleurs qu’implicite d’ailleurs le terme interrogatif « pourquoi » du sujet en tentant d’interroger la notion même de vérité sans ses moindres pôles directifs, cette raison du fait d’être n’est-elle pas davantage hautement significative que toute glose abusive et sempiternelle en ce qu’elle restitue la dimension fatalement inachevée de cette quête vers le « vrai » qui en permet d’ailleurs la continuation actuelle ?