Glose

par rapport à ce droit païen. Le droit romain reste l’enseignement de base Il y a 4 étapes fondatrices du droit romano-germanique : L’école des glossateurs : on cherche à comprendre et à expliquer le sens originaire du droit romain, la Glose. (Grande glose d’Arthur) L’école des post-glossateurs : On quitte l’étude servique du droit romain, on le soumet à différents distorsions car on l’adapte. On se sert du droit romain, on l’extrapole, on le déforme afin de traiter des droits, on en a besoin

son nom à la méthode employée par ces juristes et par Inérius en particulier : la glose. Gloser, c’est commenter le digeste. A) Les glossateurs : des hommes et une méthode. Inérius, qui est le fondateur de l’école, a enseigné à Bologne entre 1088 et 1125. On doit à cet homme, qui est un grammairien, l’invention d’une nouvelle méthode de commentaire inspiré par la grammaire notamment, qu’on appelle donc la glose. C’est un commentaire qui consiste à décortiquer le texte mot par mot. Le maître

pendant très longtemps. La Glose = le prof explique et lit les textes et ensuite il va résumer son exposé par une phrase la plus précise possible et les étudiants inscrivait dans la marge un petit commentaire. On a des d’archives qui sont entièrement glosé et il y a des gloses successives. Il y a un certains nombres d’élèves qui vont quitter Bologne et devenir eux même professeur comme un certain Azon quoi va s’installer a Montpellier. Azon va composer la grande Glose qui est une compilation des

ses méthodes : Il s’agit d’étudier le code, le digeste, les novelles et les institutes qui constituent le corps du droit romain (corpus juris). La méthode : la lecture d’un passage et explication. 1) La glose : c'est l'explication littérale. Les professeurs étudiant la glose étaient les glossateurs. On étudie le cas, le problème juridique posé, la solution donnée, l’argumentation. Puis on résume, on fait une synthèse qu’on appelle la somme. Les premiers glossateurs sont ceux de Bologne

d'études. Ces écoles seront baptisées: l'usage à l'italienne. Le première est celle des glossateurs. La deuxième est celle des commentateurs. 1) École des Glossateurs: se développe en Italie du Nord au 12-13 siècle, ce mot provient de la glose en grec. Glose signifie une parole, une explication donnée pour un mot. On explique un mot, on signifie ce qu'il veut dire. Ces ecclésiastiques vont donc se livrer à des gloses grammaticales, analytique, ou encore critique. On y dégage des principes qui permettent

perdant toute capacité de renouvellement et d’adaptation à une réalité changeante et de plus en plus complexe. Le résultat en a été une perte de sens et d’efficacité, qui finit par remettre en cause l’administration elle-même. Que n’a-t-on pas glosé sur les fonctionnaires « rond-decuir », « fainéants », l’administration incapable de se réformer, et autres qualificatifs subjectivant ou idéologisant les causes d’une telle difficulté de changement. En cherchant à imiter l’entreprise privée, prise

semble pas que l'on puisse avancer que la jurisprudence est l'oeuvre des tribunaux, « transfigurée » par la doctrine, car l'information brute précède toujours le commentaire et celle-ci permet à chacun ... en principe, de rétablir la réalité sous la glose.         On ne saura jamais si ce bruit fait autour de la jurisprudence et à son propos, qui contribue - que cela soit raisonnable ou non - grandement à lui conférer une place de plus en plus large parmi les sources du droit, trouve son origine dans

décrit ; les genres poétiques ont cependant tenu une grande place dans les époques passées : épopée, chanson de geste, poésie didactique et engagée (art poétique, épigramme, satire, fable), expression personnelle (blason, élégie, églogue, épithalame, glose, madrigal, roman courtois, pastorale), etc. Figures de style Allégorie de l'Alchimie De nombreuses figures de style servent à enrichir l'expression poétique ; elles peuvent fonctionner sur un ou plusieurs vers. En voici quelques-unes. Reprise

des gloses ( ?) qui petit à petit sont enrichis. On appelle leurs auteurs les glossateurs. Un moine, Acurse ( ?), va essayer de faire une synthèse de toutes les gloses connues pour garder les meilleurs, le texte produit s’appelle la Grande Glose ou la Glose Ordinaire : meilleur synthèse du droit romain au milieu du XIIIème siècle. Ces gloses tentent d’adapter le sens du droit romain au monde médiéval de telle sorte que certaines d’entre elles acquièrent le même prestige que le texte romain lui-même

mots, explications matérialisée par de rapides commentaires qui étaient placés entre les lignes ou en marge, tous ces commentaires s’appelaient des gloses (le terme de glose vient du grec glosa qui signifie la langue), ces annotations étaient signées par les auteurs. Ainsi l’école des glossateurs tire son nom de la pratique de la glose. Les gloses se présentaient de la manière suivante, sur une page (grande page) le texte romain était au milieu et ce texte était tout autour, entouré d’annotations