Gervaise Et Les Hommes

Le petit soldat  : nommé Jules originaire de Plogoff en Bretagne tué par Jeanlin. Pluchart : un socialiste, responsable départemental de l'Internationale. Rasseneur : ancien mineur, contre la violence. Propriétaire du bar. Résumé : Fils de Gervaise Macquart et de son amant Lantier, le jeune Etienne Lantier s'est fait renvoyer de son travail pour avoir donné une gifle à son employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un nouveau emploi

aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle nuancé de mille couleurs, qui m'entourait. » (ligne 3 à 5). Les personnes autour de lui se révèlent fascinée par ce qu'il est : un Persan. Ce texte a pour objectif de montrer que la différence entre les hommes ne se fait point par leur façon de penser mais plutôt par leur physique. Autrement dit, chaque physique correspondrait à une personnalité précise. Ceux qui se ressemblent physiquement se ressembleraient mentalement. Or c'est une faute généralisation

Première partie Étienne Lantier, fils de Gervaise Macquart (voir l'Assommoir), arrive une nuit de mars à la fosse du Voreux, où l'accueille le vieux Bonnemort. Il prend pension chez une famille de mineurs, les Maheu. Les parents et les sept enfants, dont Catherine, Jeanlin et Zacharie, vivent entassés dans la promiscuité. Étienne trouve du travail à la mine, qu'il découvre. Intégré à l'équipe de Chaval, il comprend enfin que Catherine, qu'il avait d'abord prise pour un garçon, est une fille. Catherine

cyniquement lucide. Zola dans Germinal donne une description très précise et objective du milieu souterrain de la mine grâce à un vocabulaire très technique, mais de manière plus personnelle il transforme la mine en véritable monstre qui dévore les hommes comme le suggère le nom : le Voreux. Le puits de la mine du Voreux devient une image moderne du Minotaure qui prélève cruellement son tribut de chair humaine. Cette transformation en symbole est produite par une série de métaphores, « gueule (…) gloutonne »

d'alliances et de maintien de la paix. 1.2 Le second document est un extrait du roman « L'assomoir « écrit par Emile Zola en 1877. Il s'agit d' un texte descriptif, en effet le para texte en haut du texte et le titre nous apprennent que Gervaise une blanchisseuse donne un repas à l'occasion de sa fête. La scène se passe dans le milieu ouvrier de la fin du XIX ème siècle. Ici l'auteur nous décrit les protagonistes entrain de manger une oie et le para texte nous apprend les mets qui ont

terme « trompettes » se précise ici. Le chant se mue en cris féroces tels ceux du lion en colère. C) Un spectacle total Le chant lexical de la musique et du bruit en général est omniprésent dans ce texte. En dehors des chants qui animent les hommes, la présence de trompettes ou de tambours dans des constructions comparatives (lignes 7 et 9) donnent une dimension spectaculaire à la scène. « Le large amphithéâtre » où se déroule l’action associé au participe présent « acclamant » (L 15) évoque

courtois : à travers les siècles de nombreux héros feront office de modèle et de stéréotypes incontournables dans notre littérature. Ulysse a effectué par exemple, tout au long de son voyage des prouesses, affronté de multiples dangers, qui provenaient des hommes, des dieux, ou encore de monstres prodigieux. Par bien des aspects, Ulysse paraît comme un homme qui a accomplit des exploits grâce a ses qualités exceptionnelles qui lui valent une réputation. Qu’il s’agisse des vingt jours de navigation entre Ogygie

La bête Humaine est un roman naturaliste écrit par Emile Zola et publié en 1890. Le contexte de l'oeuvre. Cette œuvre fait parti de l'ensemble des vingts romans des Rougon-Macquart, et parle ici de Jacques Lantier, fils de Gervaise Lantier, elle même fille d'Antoine Macquart, le descendant direct de la « fondatrice » de l'arbre généalogique. La bête humaine fait parti des trois romans les plus importants de cet ensemble, et est compté comme le dix-septième des vingt romans. Dans ce

l'escalier prêtait encore une couleur fantastique. Vous eussiez dit d'une toile de Rembrandt7 marchant silencieusement et sans cadre dans la noire atmosphère que s'est appropriée ce grand peintre. 1. rabat : grand col rabattu porté autrefois par les hommes. 2. Ce vieillard s'appelle Frenhofer. 3. affriande : attire par sa délicatesse. 4. débile : qui manque de force physique, faible. 5. truelle à poisson : spatule coupante servant à découper et à servir le poisson. 6. pourpoint : partie du vêtement

population : les chants d’Homère circulaient à travers la Grèce Antique et exposaient aux habitants des situations héroïques et des luttes meurtrières, mais ils faisaient aussi connaître un monde où s’agitaient dans des lieux lointains les Dieux et les hommes. L’exotisme exerce une fascination parce qu’il est étranger à l’environnent connu et habituel. Le goût pour le dépaysement et pour l’ailleurs a inspiré les auteurs du XIXème siècle : de Chateaubriand à Flaubert, dont le roman Salammbô connut un succès