Gentilé

tilleuls ou qui vaquait. S'il reconnaissait quelqu'un qui lui plaisait plus particulièrement il l'appelait d'un ou deux hennissements très mesurés, semblables à des roucoulements de colombe. Et, si celui-là, alors, levait les yeux et lui disait un mot gentil ( ce qui était toujours le cas), le cheval s'approchait de lui à pas aimables, très cocasses*, très volontairement cocasses, casseurs de sucre et un peu dansant, pour venir poser la tête sur son épaule. C'est parfois là qu'il riait, si on li grattait

demanderons en quoi Vautrin est un personnage contrasté. Son portrait est rédigé selon un ordre, d’abord son physique, puis sa personnalité et enfin ses habitudes de vies. Tout d’abord l’auteur nous décrit sa personnalité avec le champ lexical d’un homme gentil et aimé. « Manières souples et liantes » ligne 7 ; « gaieté » ligne 8 ; « obligeant et rieur » ligne 8 ; « ne déplaisait point » ligne 8 ; « offrait aussitôt ses services » ligne 12. On apprend son caractère serviable, généreux. La répétition en

ses coordonnés et enfin son état civil) et grâce à l’identité l’Homme peut jouir de lui-même, se sentir vivre, être ce qu'il est.Exemple de situation 1  : Au collège j’avais un ami qui s’appelle MOHAMED, MOHAMED était gentil mais pas avec tout le monde , gentil avec son entourage mais méchant avec les inconnus , on voulait toujours savoir pourquoi il est comme ça , donc l’exemple de MOHAMED veut montrer que l’identité peut aussi être comme caractéristique comportementale parce que son entourage

ET n° 11 : « Les Vrilles de la vigne », Colette, Les Vrilles de la vigne, 1908, incipit. Autrefois, le rossignol ne chantait pas la nuit. Il avait un gentil filet de voix et s’en servait avec adresse du matin au soir, le printemps venu. Il se levait avec les camarades, dans l’aube grise et bleue, et leur éveil effarouché secouait les hannetons endormis à l’envers des feuilles de lilas. Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent 5 dans les vignes en

déjeuner le matin et se prendre la tête sur ce qui est arrivé à sa bien aimé depuis des années, il sert pas à grande chose. Les étudiants banaux tel que Helena la bimbo aux gros nichons et petit cul, superficielle bien sur, le gentil garçon (car il en faut au moins un gentil sans névrose ni passé trouble) dont j'ai oublié le nom, le brun qui se rebelle, la timide Angela qui cache bien son jeu avec ses airs de pucelle psychopathe. Ce petit groupe m'a rappelé les stéréotypes du film "the faculty"

histoire se deroule en Amérique en Californie à Soledad. Ce sont deux amis George et Lennie qui travail au Ranch en tant que journalier.Lennie a une imposante corpulence, il est tendre, grand et idiot. Au contraire de Gorge qui est petit, malin et gentil. Ils on quittés le précédent endroit ou ils travaillaient car Lennie avait fait une bétise quand il avait vue la robe rouge de la petite fille il a voulu la toucher. La petite a criée si fort que Lennie a prit peur et la agrippé tellement fort que

aujourd’hui de ce que vous allez vouloir demain. Tout cela ne me rend probablement pas très sympathique à vos yeux. En général, quand on commence un livre, il faut tâcher d’être attachant et tout, mais je ne veux pas travestir la vérité : je ne suis pas un gentil narrateur. En fait, je serais plutôt du genre grosse crapule qui pourrit tout ce qu’il touche. L’idéal serait que vous commenciez par me détester, avant de détester l’époque qui m’a créé. N’est-il pas effarant de voir à quel point tout le monde

toilette par les verbes de mouvement « terminait » « enveloppé » « prit » « pulvérisa » «tailla » Un portrait psychologique réduit à un seul adjectif « très gentil » Un portrait moral elliptique fondé sur l’association de notations physiques et psychologiques au sein des accumulations « il était assez grand, mince, avec de longues jambes et très gentil »  effet de rapprochement absurde Insistance sur l’isotopie du sourire : « souriait, joyeusement, bonne humeur »  un personnage heureux de vivre dont

Monsieur Kakuro Ozu est un nouveau résident de la maison 7, rue Grenelle.Une nouvelle personne, riche, différente. Et aussi gentille et polie. Monsieur Ozu est un Japonais, âgé d´une soixantaine d´années et il est veuf depuis dix ans. Voilà, Monsieur Kakuro Ozu est un nouveau résident de la maison 7, rue Grenelle. Une nouvelle personne, riche, différente. Et aussi gentille et polie. Il est difficile d'adhérer au sentiment d'importance qu'a l'une pour l'autre Renée et Paloma car leur rencontre est

comme ça : En effet les visites s'enchaînent, entre son frère et sa belle sœur qui l'ennuient, son sauveur Camille, étudiant taciturne qui se prostitue, une de ses voisines de chambre, Maéva qui quémande son ordinateur pour aller sur Facebook, la gentille infirmière Myriam à l'accent méditerranéen, le policier sentimental en manque de père, un kiné optimiste, un chirurgien pas très aimable etc. Ce roman raconte donc le changement brutal de la vie d’un homme qui pensait finir ses jours seul et tranquille