Gentilé

une certaine importance à la religion.  Le nom du comte Muffat est inspiré du mot « muffe », employé très souvent à l’époque dans le langage familier pour désigner un « lourdaud sans manière ». Il occupe une place importante. Fontan est un « gentil » acteur. C’est le mari de Nana entre Janvier et Octobre 1868, et commence à la battre. Il devient alors méchant. Fontan est d’une sexualité relativement active, et répugnante. Georges est un jeune homme plutôt efféminé. Il tombe lui aussi sous

Magasin des suicidesMon premier ressenti à la lecture : Dans quelles mesures cette scène est-elle visuelle ? (sur quoi repose la dynamique du texte ?)Sur les dialogues Ponctuation = intensité du discoursLa description du magasin nous aide aussi à imaginer le décorLe langage familier nous donne l’impression de faire partie de la scène comme si un proche nous parlait. Elle répète tout ce que dit son client ce qui crée un rythme dans la scène. La narration ne prend pas bcp de place ds ce

peut préciser le nom de 3 manières différentes : - par un adjectif qualificatif, - par un complément du nom, - ou par une proposition relative. Exemples d'expansions : A partir du nom "dauphin" Le gentil petit dauphin. • Le nom dauphin est précisé par 2 adjectifs qualificatifs : gentil et petit. • Le dauphin de l'océan Pacifique. Le nom dauphin est précisé par le complément du nom : de l'océan Pacifique Le complément du nom est introduit par une préposition (de, du ou d'). • Le

du nez. Alors, elle décidait de s'enfuir à une ville voisine. Les gens pensaient qu'elle était un animal sauvage. Par conséquent, il l’excluait en tirant sur elle. La gazelle était blessée et son sang coule. Oh ! Pauvre gazelle ! Elle était gentille. Mais dans ce monde, la plupart ne voient. Que les apparences qui sont toujours trompeuses. Taher Ayadi. Le lion et la souris Il était une fois; un lion affamé qui se trouva pris dans un filet. Il ne pouvait en sortir et

jamais le Canada, parce que tu es un ami de Lando.» (p.97) L’amour entre Valcourt et Gentille est brutalement détruite par le contexte de mort qui les poursuit. La nouvelle famille ne survit pas plus que les milliers d’autres arrachées par le fléau social. De ce fait, l’auteur expose ce qui s’est produit dans les familles du pays, car c’est la même chose que dans la famille principale. Dans l’extrait suivant, Gentille stipule le résultat du désastre humain sur sa famille, donc sur les autres aussi :

Micaëla qui annonce à Don José qu'elle vient de la part de sa mère, elle lui remet une lettre qui conseille au jeune homme d'épouser... la porteuse de la lettre car « il n'y en a pas de plus sage et de plus gentille ». Don José relit la lettre : « il n'y en a pas de plus sage ni de plus gentille ». Un vif tumulte se produit. On apprend que Carmen « railleuse à son ordinaire » s'est moqué d'une ouvrière, qu'il en est résulté une bagarre et que Carmen a marqué une croix de saint André au couteau sur

antonymes sont des mots de sens opposé: Certains on un mots totalement différent, tel que: beau et laid. gentil et méchant. se réveiller et dormir* d'autres sont formés par préfixation tel que: directe et indirecte

disant plus jamais de voodoo. L’auteur du livre raconte la belle histoire d’amour de Bonnie et Clyde Bonnie Parker, jolie fille de +- 18 ans travaillait comme serveuse dans un resto..Les hommes l’importunaient, seul Ted l’agent de police était gentil avec elle, il était amoureux d’elle.. Près du resto vivait une famille pauvre avec 8 enfants dont les 2 aînés Buck et Clyde commettaient de petits vols. Bonnie rencontra Clyde et bingo… le grand amour. Très vite, ils devinrent la plus célèbre bande

a un objet qui est personnifié aussi. • ____ Personnifications • ____ Répétition, touche servant à se moquer de Jupiter. • Ces personnages ont un caractère. • ____ Les grenouilles sont des peureuses. • ____ Le soliveau est gentil et est impressionnant (sérieux, fait du bruit). Synonyme avec le monarque des Dieux de Jupiter. • Tous ces personnages sont personnifiés et d’ailleurs on constate qu’ils ont des majuscules. • Comme dans presque toutes les fables, l’histoire

Louis Sanmarco de présenter la demande auprès du gouvernement métropolitain. Reçu à Paris par le ministre de l'Outre-mer, Bernard Cornut-Gentille, Louis Sanmarco reçut cette réponse sans ambiguïté : " Sanmarco, vous êtes tombé sur la tête ? N’avons-nous pas assez des Antilles ? Allez, indépendance comme tout le monde !"2 La réponse du ministre Cornut-Gentille reflétait la pensée du général de Gaulle, qui confia à Alain Peyrefitte : "Nous ne pouvons pas tenir à bout de bras cette population prolifique